VOTRE PERSONNAGE

.:.[ Nom : Stergen

.:.[ Prénom : Calarenne

.:.[ Sexe : Masculin

.:.[ Âge : 20 ans

.:.[ Royaume : Amilian

.:.[ Camp : Neutre

.:. [ Métier : Guerrier

.:.[ Race : Malarian

.:.[ Pouvoirs :

*Maîtrise de la Terre

*Chant Malarian

*Transformation en Corbeau

.:.[ Armes :

*Griffes d’acier

*Sabre normal

* Epée à double lame

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.:.[ Histoire :

Par une nuit sans lune, alors que la seule lumière des étoiles éclairait le ciel nocturne, une vie fût donnée pour une autre vie. Dans la propriété de la riche famille Stergen, des bourgeois qui s’étaient enrichit en faisant du commerce sans trop se soucier de savoir qui étaient leurs partenaires ou d’où venaient leurs marchandises. Le père, Valens, était un homme qui aimait l’argent, mais qui n’avait pas mauvais fond. Il se définissait lui-même comme absolument neutre : c’étaient aux autres de se soucier de ce qui transitait par son entreprise prospère, pas à lui. Avec sa famille, s’était un homme joyeux et affectueux, qui couvrait d’affection son unique petite fille. Il était pleinement heureux... Et puis tout changea brusquement. Sa femme, le soleil de sa vie, mourut en donnant naissance à leur fils. Elle n’eu que le temps de serrer son enfant dans ses bras, et de murmurer un nom, qu’elle avait été cherchée dans les méandres de son esprit.

Elle s’éteint ensuite dans les bras de son époux, et par ce qu’elle l’avait souhaité, il nomma le petit garçon « Calarenne ». Pendant quelques temps, Valens se renferma sur lui-même, ravagé, mais il fini par reporter tout son amour sur ses rejetons, et particulièrement le dernier, pour qui sa douce était morte. Il fit de lui son successeur, et se mit très tôt à lui apprendre le métier. Il lui apprit à lire, écrire et calculer, mais malheureusement, plus il grandissait, et moins l’enfant semblait s’intéresser aux choses du commerce. Certes, il était capable d’en maîtriser tous les aspects, mais il n’y prenait aucun plaisir, il n’y avait chez lui aucune passion, et son père se rendait bien compte qu’il n’irait pas loin de cette façon. La sœur aînée, elle, prit goût à tout cela, mais l’ironie voulu que leur géniteur ne s’en aperçoive pas, trop concentrer sur notre héros pour cela, ce qui avait le don d’exaspérer la demoiselle au plus haut point et de lasser son frère.

En désespoir de cause, il voulu faire de lui un artiste. Alors qu’il avait douze ans, le jeune Calarenne se mit donc à apprendre l’usage de la harpe. Son professeur était un vieux troubadour à la retraite, qui avait parcouru le monde dans sa jeunesse et qui profitait souvent des pauses pour raconter ses aventures, peut être un brin exagérées, à son jeune élève, qui l’écoutait, émerveillé, et qui se jura de faire de même plus tard. En parallèle, il progressa rapidement avec son instrument, ravisant son père. Mais cela n’était pas destiné à durer. Alors qu’ils assistaient, comme tous les ans, à la cérémonie du Feu Sacré. C’était l’année du quatorzième anniversaire de notre héros... Et son nom sorti de la Coupe, à la grande surprise des siens. Son paternelle protesta faiblement, mais il n’osa pas s’opposer à la Guilde Malarian, et ne pu que regarder son fils chéri partir avec les quatre autres Elus, la mort dans l’âme, mais impuissant.

Calarenne suivit donc pendant six ans l’entraînement des Malarians. Au début, il était franchement sceptique quand à son sort, convaincu qu’il devait y avoir une erreur et désirant retrouver sa famille. Mais, pendant une des brèves périodes de visites qui lui était accordé, il pu constater que son père avait enfin accordé l’attention qu’elle méritait à sa sœur, et qu’ils étaient heureux. Affranchit de ses craintes de les voir dépérir sans lui, il s’investi à fond dans sa formation. A sa propre surprise, il se révéla un guerrier doué, et assimila rapidement le maniement des armes. C’était presque instinctif chez lui. Il excella d’abord dans l’utilisation du bâton de combat, puis trouva son arme de prédilection : l’épée à double lame. Il suivit l’enseignement complet, apprenant en outre à comprendre et à utiliser son pouvoir de métamorphose, jusqu’à arriver au stade où il doit parcourir les quatre Royaumes pour finir son entraînement...

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.:.[ Physique :

Calarenne est un jeune homme d’une vingtaine d’années. De haute taille, il dépasse le mètre quatre-vingts de plusieurs centimètres. Il possède des cheveux noirs de jais avec de légers reflets bleutés, semblable au plumage du corbeau dont il peut prendre l’apparence. Ils sont coupés relativement courts, et lui tombent de chaque coté du visage, ainsi que dans le coup, en formant plusieurs mèches de tailles variées. Ses traits sont doux, reflétant une impression de tranquillité et de pacifisme, mais pouvant aussi se durcir de manières incroyables quand leur possesseur est vraiment en colère ou alors extrêmement résolut, formant un contraste saisissant. Cette impression se manifeste surtout la première fois qu’on assiste au phénomène, mais persiste souvent en plusieurs occasions... Enfin, a supposer que l’on ait l’occasion d’y assister à plusieurs reprise, se qui est loin d’être couru d’avance.

Eclairant cette figure qui garde tout de même sa douceur naturelle presque tout le temps, son regard est d’un bleu sombre et profond. Il pétille d’une intelligence joyeuse et un peu désabusée, et est doté d’une grande intensité, même si celle-ci ne contient pas une once d’agressivité. Malgré l’apparente tranquillité de ce visage, son corps est souple et musclé, entraîné au combat et au maniement des armes. Il est plutôt bon au corps a corps, et excelle particulièrement avec les épées à doubles lames. Il en porte d’ailleurs une attachée dans le dos, et elle reste son arme de prédilection. Ce modèle là est fait d’ébène sculpté et d’acier délicatement gravé, aillant autant un coté esthétique qu’un coté utilitaire et mortel. Néanmoins, par ce qu’elle n’est pas toujours ni pratique ni discrète dans certaines situations, il arbore un sabre bien affûté au coté. C’est cette fois le fourreau qui est taillé dans le bois obscur, tandis que la poignée, par contraste, est ivoire avec une garde d’or.

Depuis peu, il est aussi équipé des redoutables Griffes d’Acier des Malarians au niveau des mains. Celles-ci sont d’ailleurs protégés par des plaques de métal sombre articulé, compromit entre résistance et souplesse. Son armure légère a été faite de la même façon, et il porte également une côte de maille terne. L’ensemble est surmonté par une cape d’un noir intense, qui l’enveloppe totalement à l’exception de la tête, laissant à peine voir ses bottes de cuir renforcées dans les mêmes teintes que le reste. Elle cache également un détail peu commun chez un guerrier, une harpe délicatement sculptée, elle aussi en ébène.

.:.[ Caractère :

Calarenne est plutôt du genre calme et réfléchit. On l’a éduqué en lui apprenant la négociation, et même si il n’est pas devenu un marchand, il a quand même développé son intelligence. C’est aussi grâce à son père et à son envie de faire de lui un commerçant qu’il est aussi patient. Mais si il est très difficile de le mettre en colère, une fois qu’il l’est, ce n’est pas pour rien, et il peut alors faire montre d’une violence qu’on ne soupçonnerait jamais chez lui au premier abord. Dans ces moments là, il fait généralement preuve d’une grande obstination contre l’objet de sa rage, n’abandonnant pas tant que celle-ci n’aura pas été calmée. Le reste du temps, c’est pourtant un garçon un brin négligent sur les bords. Difficile à abattre, il voit toujours le coté intéressant ou positif des choses. Il ne se soucie pas vraiment des difficultés qu’il rencontre, préférant voir ça comme des aventures en chemin que comme de réelles épreuves.

Tout cela fait de lui un homme plutôt joyeux et de bonne compagnie. Il se lie assez facilement, mais s’accommode parfaitement de la solitude... Si ce n’est qu’il a alors tendance à soliloquer, voir à avoir des conversations avec lui-même en continu, se qui peut être assez surprenant si on le surprend. Il aime aussi voyager, et rêve de parcourir le monde depuis qu’il est jeune, ce qui fait qu’il est assez heureux d’avoir enfin une occasion de le faire. Du reste, il prend aussi grand plaisir à se déplacer dans les airs sous sa forme de corbeau quand l’occasion se présente.

.:.[ Qualités/défauts :

Qualités : On pourrait citer son calme, sa joie de vivre, sa façon de prendre la vie du coté positif, sa patience et ses talents de guerrier. Il est de plus doté d’un grand sens de l’honneur et d’une loyauté à toute épreuve : une fois qu’il a donné sa parole, il ne la reprend jamais. Par contre, gare à celui qui trahirait ses engagements... Il possède également un grand sens de la réflexion qui s’encre dans l’intelligence et a la capacité de prendre du recul par rapport à la situation. Sans compter qu’il n’est pas mauvais musicien et cavalier accomplit.

Défauts : Il est peut être un peu trop sûr de lui par moment, encore que cela soit tempérer par sa tendance à la réflexion. Quand il se met en colère, il devient violent, et peut alors foncer tête baisser pour apaiser sa rage.

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