Magnus Anémonius [Fiche terminée]

Nom : Anémonius

Prénom : Magnus

Sexe : Masculin

Âge : 24 ans (19 au début du RP)

Royaume : Terres Oubliées (Airian au début du RP)

Camp : Maléfique (jadis Bénéfique)

Race : Sorcier

Caste : Shilen Knight : L'équivalent d'un mage guerrier, accouplant l'art du corps à corps à la magie. Magnus tenant d'ailleurs bien plus du combattant que du sorcier, à l'instar de Thanos qui en opposition à son cousin, privilégiait d'avantage la maitrise de leurs dons héréditaires naturelles en matière de sorcellerie. Faiblesse que Magnus a pu compenser en utilisant la flamme d'Udun d'une manière...très particulière.

Pouvoirs : Serviteur de la flamme d'Udun

Niveau 1
• Trait de feu : Simple attaque de feu, ce jeune serviteur de la flamme d’Udun n’est pas en mesure d’invoquer les ténèbres, cependant le feu lui obéis et peu devenir une arme mortelle.
• Brasier : A la fois défensive et offensive cette technique permet à celui qui l’invoque d’être entouré de flammes sans que son adversaire puisse le toucher, mais si celui-ci le tente quand même alors il se verra bruler.

Niveau 2
• Bouclier d’énergie : Vous êtes sur le voie des ténèbres, l’ombre d’Udun s’empare peu à peu de votre cœur et de votre âme, en échange de quoi, elle vous permet d’invoquer ce vortex, un bouclier puissant contre lequel les attaques de la lumière ne peuvent rien si votre adversaire est d’un niveau égal ou inférieur au votre.

Niveau 3
• Trait de feu : Le feu est devenu votre allié, perdant sa couleur rouge vif il devient noir comme l’ébène, il peu alors prendre la forme que vous souhaitez lui donner et devient une arme à part entière.
• Brasier noir : Évolution du brasier, le brasier noir voit la proche nature qui vous entoure mourir sous votre ordre et devenir un puissant brasier de flammes qui peu attaquer votre adversaire et n’est plus une simple défense, il semble vivant.

Armes :

- Morglistàl : Glaive porté par les hauts rois des Terres Oubliées. Forgé mille ans avant notre ère par les artisants de Plénium pour célébrer l’accession au trône du sorcier Anémonius. Il fut transmit de génération en génération par la famille royale jusqu’à sa disparition. (en réalité volé par Maraxia, frère cadet de Lucian il y a trente ans). Avec le temps, l’épée revint à Magnus, membre de la branche secondaire et descendant direct de Maraxia Anémonius.
Prononciation : Mor-gliss-tell.
Étymologie : morth (roi, seigneur), glisthàl (acier).

[Note] Une bien sinistre légendes coure au sujet des propriétés de cette arme. Nul ne sait si la nature de ces fables sont réellement fondées, mais bien plus que de prendre leur vie, cette dernière se serait vue affublée de l'essence d'Ohrmazd et aurait la faculté de dissoudre l'âme de ses victimes, où selon la volonté de son détenteur, de s'en emparer.

- Targe en bronze & Glaive Airien : Souvenirs perdus de ses allégeances de jadis envers la patrie du vent.

- Teräs Käsi : Plus une discipline de combat qu’une arme à proprement parler. Cette pratique est très ancienne et remonterait jusqu’aux premières guerres d’héritage qui ravagèrent les contrées d’Erade il y a plus de mille ans. Originaire de Rugilian, le Teräs Käsi fut créer dans le but d’affronter à main nu un ou plusieurs adversaires armés et…probablement pour écraser leurs rivaux naturels originaires du royaume d’Oltian. Il aura fallut trois siècles pour voir cet art martial se propager dans les cinq patries.
Prononciation : Ti-res-key-si
Etymologie : teres (main), keysi (argent)

Le Terâs Käsi était également appellé « Voie du Dragon Rouge »

Physique :

Taille : 1m 80
Poids : 70 kilos
Couleur des cheveux : Aile de corbeaux
Couleur des yeux : Jadis Caramel, désormais érubescent. Phénomènes principalement dû aux changements occasionnés par l'immersion croissante de Magnus dans la face sombre de l'Ether.

Magnus est un bel homme à l’aspect magnétique. De grande taille, il possède un doux visage taillé en lame de couteaux, un nez délicat, légèrement busqué et des sourcilles naturellement effilés…son apparence sort toute fois de l’ordinaire. Le bel adonis aurait parut parfaitement normal n’eussent été l’extrême blancheur de sa peau et le fait que ses yeux, dont les profondeurs abyssale témoignant d’un curieux mélange d'andrinople purpurine et de clarté rubis, semblent légèrement iridescents. Ses cheveux couleurs minuits peuvent êtres tantôt attachés, coiffés, ou répartis autour de son beau visage en une longue cascade aux couleurs du soir, accentuant fortement son côté très « Ange des Ténèbres »…en passant la main dans ses mèches effilées, on peut également y ressentir une vigueur et une souplesse inhabituelle...

L’apparence du jeune Anémonius pourrait très bien s’accomoder à la grâce puissante, et dangereuse dont se parent parfois les légendes prompts aux Nosferatu et aux créatures du crépuscule…

D’une opulence changeante mais toujours ténébreuses, Magnus a vue défiler de nombreuses gardes robes au cours de son existence…du style tantôt sobre, tantôt mondain, jusqu’au purement guerrier. Actuellement son habillage se constitue de vêtements principalement sombres ou rouges mais dotés d’une élégance érotiques qui n’a rien d’obscène. Sa tenue n’est pas emprunte d’une complexité trop forte mais vise toute fois à mettre en valeur son statut et sa puissance au sein des Terres Oubliées, toute fois, il arrive que Magnus soit tout aussi bien capable de se parer d’un accoutrement bien plus passe-partout lorsqu’il décide de se mêler à la foule. Dans ce cas, il s’agit d’un genre beaucoup plus strainge mais capable de souligner discrètement son physique à la musculature puissante et élancée.
Détails subtile, notre bel Incube a conservé deux armures distinctes, en rapport avec certains éléments antérieures à son passé. La première est une armure d’or magnifiquement ouvragée. surmontée d’une cape d’un bleu azuré à l’emblême d’Airian. Étincelante, elle symbolise le soleil et l’héroïsme. La seconde en est l’antéchrist total, d’une noirceur huilée, elle semble avoir été moulé sur les formes de l'Anémonius et exhibe un style tout aussi complexe que la précédente bien que très distincte. Triste et oppressante, elle arbore une longue cape d’armorweave sanglante, rabattue sur l’épaulière droite de son plastron, dissimulant ainsi l’emblème à moitié effacé d'une anémone noire...

Description Morale :

Magnus...doux nom de glace issu des rêves de Morphe...qui est-t-il...?

Magnus est l'avatar d'Appollon, l'incarnation de la fureur de Mars...et de la douceur d'un Seraphin...il est cet étrange mélange de grâce et d'audace accouplé à cette fragilité espiègle dont est pourvu tous jeune gens de son âge. Magnus est un garçon doux et sensible au tempérament de feu qui, malgré son jeune âge, lui aura valu une forte autonomie et une combativité aussi virulante qu'agressive. Connu pour avoir été jadis l'un des soldats les plus zélés de Plénium, notre jeune corbeaux prend souvent très à coeur ses responsabilités. Mais...derrière l'assurance de Magnus se cache une faiblesse masqué...et enfouis dans les profondeurs de son coeur. Car notre beau rejeton d'Héraclès au charme sensuelle et audacieux est un enfant de la tragédie et du chagrin. Le passé qu’il porte sur ses épaules n’a fait que lui apporté la haine, la froidure…et la peur de perdre ce qu’il avait de plus chère...

... une force alimenté par la violence de sa colère. Un force que Vierna ne parvenait pas...et n’ait jamais parvenu à comprendre et appréhender de la part de son jeune frère. Une colère parfois capable d’agir comme un carburant…

…car tel est Magnus…un héros perdu au passé emplie de douleur…

…et le plus puissant soldat d’Airian (Il ne s’agit là que d’une métaphore, bien entendu. Non d’une affirmation) , de tous les temps peut être. Le plus rapide…le plus fort. Un diplomate désarmant…un guerrier indomptable. Sur terre comme sur mer, personne ne peut rivaliser avec lui, et non seulement il a la puissance et l’habileté, mais il a aussi du panache, cette rare et inestimable alliance d’audace et de grâce. Il est le meilleur dans tout ce qu’il fait…le meilleur qu’il y ait jamais eut. Et il le sait. À Hyshnar, on l’a baptisé le Héros Sans Peur. Pourquoi pas… ? Que pourrait-t-il craindre… ?

À part…

À part cette peur qui l’habite, et érode les murailles érigées autour de son cœur…
Magnus pense parfois à la menace qui lui ronge le cœur comme un dragon. Dans les terres Oubliers, les enfants de Plénium se racontent des histoires de dragons vivant dans les fournaise irradiante du soleil lui-même…ils disent aussi que les petit cousin de ces dragons vivent dans les bain à fusion qui donnent leur énergie au monde démoniaque, et alimentent la fournaise éternel du gouffre infernal…

…mais la peur de Magnus est une autre espèce de dragon. Un dragon à sang froid, un dragon d’une espèce morte…un dragon omniprésent dans les ténèbres insondables qui ont marqué la pureté de son subconscient et qui, dans une pantomime insupportable lui ont révélé la froidure d’un monde fondé sur des illusions et des espoirs contris…un monde où le voile de votre destiné tombait comme un glas sombre et sinistre le jours de votre naissance…

…et tout cela selon la nature de votre lignée.

Un monde impitoyable…un monde de peur, de larme, et de liberté volé.

Voilà le genre de peur qui habite Magnus…il a dans le cœur une vieille voix, froide et morte qui murmure « tout meurt…même la liberté »
Le jour il ne l’entend pas, un combat, une mission, un simple rapport devant le conseil de la Tour des Nuages lui fait même oublier qu’elle est là. Mais la nuit…la nuit les murs qu’il a érigés commencent parfois à se déliter…il arrive qu’ils se fissurent. La nuit, le dragon de la triste réalité s’insinue dans les fissures et rampes jusqu’à son cerveau pour lui ronger l’intérieur du crâne. Le dragon murmure ce que Magnus a perdu. Et ce qu’il perdra encore…
Le dragon lui rappelle, toutes les nuits, comment il a vu les larmes rouler sur le beau visage de Vierna dans qu’elle lui murmurait pour la dernière fois « Je t’aime Magnus… ». Le dragon lui rappelle, toutes les nuits, comment il a perdu Vierna…celle qui l’avait considéré presque comme un fils durant les quinze première années de sa vie…comment sa mère lui a été enlever le jour de sa naissance…et comment sa famille lui a été arraché. Le dragon lui rappelle ce qu’il a perdu…et ce qu’il perdra encore.

« Tout meurt, Magnus…même ces petites étoiles que tu a tant chéri par le passé, finissent par se consumer… »

Tout ce qu’il peut opposer à ces murmures, ce sont les souvenirs qu’il garde des sourires de ses amis d’enfances, perdu, eux aussi…les complicités de ses frères d’armes, et la voix de ses paires.

Et parfois, il n’arrive même pas à s’en souvenir…parfois, les ombres du royaume Oubliés le rattrapent, et la vérité ne fait que lui sauter aux yeux. Cette même vérité qui aliment les effluves de sa fureur durant un combat…et qui le plonge chaque jour, un peu plus dans un désespoir sans fin…son talon de faiblesses.

« Tout meurt…et toi………..tu es si seul, Magnus. Faible lueur dans un océan de ténèbres… »

Qualités/défauts :

Très jeune, Magnus aura toujours montré une grande autonomie accouplée une très forte rapidité d’apprentissage. Sa bonté et sa gentillesse naturelle lui permis souvent de s’attirer la sympathie et les bonne grâce des autres, mais sa très grande sensibilité fut souvent considéré comme un poids mort…peut après le traumatisme subi à la fin de son adolescence, Magnus a légèrement modifié ces traits de caractère jusqu’à se créer lui-même un masque de stoïcisme qui lui permit de faire disparaître ses qualités comme ses défauts. Mais peut être reste-il une part d’humanité derrière ce charme minérale apparenté à toute la grâce des océans…

Ses goûts :

D’une simplicité étonnante…Magnus apprécie énormément la nuit, et ce, non pas pour ses aspects sinistres, morbides et inquiétants…mais bien pour la beauté profonde et rassurante d’un ciel étoilé…la grâce envoutante d’une lune ronde aux reflets d’argent et…les caresses délicieuses des vents du soir, la musique et la lecture font également parti des nombreux passe temps de Magnus hormis bien sur son implacable volonté à progresser au maniement de l’épée et à l’affinement pointilleux de techniques d’armes propres à son invention. Stratégie et cartographie sont également des noms fort appréciés. Amoureux des plaisirs délicats et très discrets, il est pertinent de souligner que Magnus aime la compagnie des femmes sans pour autant en porter obsession, n’étant tout simplement pas libertin…un paradoxe intéressant si l’on prends en compte sa nature subitement réservé et fort peu loquace en leur présence…

Petit plus : Une cicatrice en forme de S sur le visage…l’une des nombreuses marques de ses souvenirs de jadis, à l’époque où il était encore soldat à l’académie de Plénium.

[Info] Magnus est le cousin de Thanos.

Où avez vous connu le forum : Double compte d’Elseus Avalune

Mot de passe : validé par Azure

Histoire

Un cri déchirant retenti dans les couloirs de marbre couleur minuit de la forteresse obscure de Gadar Narzùl (il s'agit d'un lieu fictif situé à proximité de Plénium dans les contrées du Royaume Oublier)...demeure ténébreuse de la seconde branche des Anémonius, un homme au visage taillé en lame de couteau et à la chevelure aussi sombre qu'une pluie d'encre sur le plus délicat des parchemins blanchis par la pureté...faisait les cent pas dans les vastes allées désertes de son manoir. Sa couronne d'obsidienne posée avec soin sur l'ébène de sa chevelure lustré correspondait parfaitement avec son statut de seigneur...mais pas avec sa personnalité. Car Maraxia Anémonius était un homme froid, insensible et cruel...son charme minéral en était la preuve la plus physique et métaphorique qui soit...ses yeux gris ne cessaient de jeter des regards inquiets en direction des escaliers...sa femme était en train d'accoucher. Et pourtant...pourtant Maraxia ne s'inquiétait pas pour elle. Elle...oh elle, elle pouvait bien disparaître, car elle n'était qu'une Ombre...outil magique dont il s'était, comme à l'accoutumé pour un homme de sa caste, servit dans le seul et unique but de procréer...d'engendrer une descendance digne de ce nom pour que la ligné des Anémonius traverse les âges avec prestige et renommé afin d'étendre son influence jusqu'à l'infinie...

Et écraser une bonne fois pour toute Lucian (le père d'Alicia et Thanos)...cet insupportable frère aîné qui, depuis leur plus tendre enfance, lui avait toujours ravit les prédispositions au titre de souverain.

Les cris cessèrent...remplacés par les braillements incessants d'une petite gorge qui venait tout juste de voir le jour. Il y eut des pas précipités, et un homme à la torque noire couverte de sang fit irruption dans la salle. Craintivement, il s'inclina devant le sorcier avant de déclarer d'une voix cassé par la peur...

"C'est un garçon."

Le visage d'une pâleur maladive de sa noble et tyrannique compagnie s'éclaira de manière sinistre...déformant la beauté du jeune et ténèbreux souverain en un sourire carnassier.

Maraxia : "Enfin..."

Visiblement mal dans sa peau, l'autre répliqua poliment mais avec un début de panique.

"Oui, mais...la femme est...comment dire...elle...elle a voulu s’enfuir avec l’enfant et…nous avons dû l’abattre…Valius a visé le cœur."

Maraxia s’Ffalenn arqua un fin sourcil d'ébène...et renifla avec dédain.

Maraxia : "Morte dis-tu...?"

"Oui mais..."

Maraxia : "C'est très grâve...sais-tu ce qu'il en coûte...?"

La panique sur le visage de l'homme se changea en terreur. Et soudainement, celui-ci éclata en sanglot avant de se jeter aux pieds de son souverain.

"Oh !...non je vous en prie !...pitier ne faite pas cela !! Nooon...arrêt heuaaaaaaaaargl..."

Le crie écoeurant ne venait pas de retentir des chambres...mais bien du hall principale de la grande et sinistre forteresse de Maraxia...une lame aux reflet d'onix venait de jaïr de la manche du jeune homme pour déchirer la poitrine du malheureux...le perforant à diverse endroits...insatisfait de son meurtre, Maraxia monta d'un octave dans la barbarie...

L'extrémité de l'arme s'enfonça dans la gorge de sa victime...il y eut un "schlak" sonor et deux lambeaux de chaire s'écrasèrent au sol en un macabre bruit de succion...

Maraxia se pencha sur les restes écoeurants de son sujet avant de déclarer sur le ton de la conversation.

Maraxia : "N'aies crainte...le seigneur Maraxia sait se montrer magnanime, ha ha...tu es tout pardonné, ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha haaaaaaaa..."

La folie...quelle plus bel adjectif pour définir la personnalité chaotique du tyran...et pourtant, elle n'était rien à côté de son ambition démesuré. Car notre bel avatar du néant était rongé par le plus incroyable, le plus improbable et le plus fou des désire...le besoin impérieux d'asouvrire son influence sur toutes communautés, toutes ethnies...tous royaumes existants au sein d'Erade...et maintenant qu'il venait de recevoir un fils, Maraxia Anémonius avait, en quelque sorte, gagné une nouvelle victoire...car désormais ils seraient deux.

Mais dans sa folie, l'homme avait omis une hypothèse des plus cruciale...

Son jeune fils serait-t-il doté du même tempérament...des même ambitions que son père...? Pourrait-t-il, tout comme lui, se complaire dans les méandres obscures de son héritage pour asseoir d'avantage son autorité sur un peuple lasse et obsolète...peut être...peut être pas…

Le nourrisson fut baptisé Magnus...

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Les années passèrent, et l'enfant que devint Magnus reçut une éducation stricte et droite de par sa soeur aîné, Vierna. Dénudé de tout désire, pouvant s'apparenter de près ou de loin à toute forme d'ambition...Magnus préférait de loin s'amuser avec les autres enfants du duché de Gadar Narzùl, aspirant à passer du temps libre avec eux dans le but innocent d'oublier les principes qu'il ne comprenait pas encore, imposés par le seigneur des lieux...son père qu'il n'avait vu que très rarement...et par sa soeur dont les crises d'hystéries et les raclées étaient devenues légendaires pour son noble postérieur. De toute sa courte vie, Magnus aurait pu jurer qu'il n'existait pas d'êtres plus mauvais et ronchonnant que sa soeur aînée...

Son physique...dans une famille où la noirceur de la chevelure et la couleur soit sombre, soit caramel du regard avait perduré depuis des âges immémoriaux...étaient tout simplement l’incarnation de la beauté et de la pureté même, mêlé au tendre charme de toute la gentillesse d'Erade…un trait de caractère qui ne plus pas à Maraxia, jugeant son fils comme un enfant faible et sans avenir…car peu après sa naissance Magnus Anémonius avait très vite été pris en charge par son froid et ténébreux géniteurs qui…constatant avec amertume le peu de volonté qu’affectionnait sa descendance à vouloir se morfondre dans des traditions ancestrales…se détourna tout simplement de lui…le confiant à sa fille aîné Vierna Anémonius…

Et le garçon fut très vite confronté à la sombre réalité...un père qui n'attachait que très peu d'importance à son fils, le considérant d'avantage comme un poids mort qu'un successeur...ainsi qu’une soeur jalouse et froide envers son petit frère. Si Magnus était heureux...? Non pas vraiment, à vrai dire, la vie au manoir n'était à ses yeux qu'ennuie et tristesse...il n'y avait donc que très peu d'occupation pour un jeune sorcier délicat au coeur pure.

Et puis, un jour...les choses changèrent.

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Spoiler:

Âgé de douze ans, le prince Magnus avait souvent été ému par la beauté des femmes...des filles de nobles inconnues surtout, dont les familles s'était parfois rendus au manoir pour traiter avec son père...mais jamais encore Magnus n'avait eut le souffle coupé à ce point...il se cramponna presque à la portière de sa cabine.

Vierna : "Magnus, la poussière commence à envahir les routes..."

Dit Vierna, la soeur aînée du garçon.

Vierna : "Montes et ferme cette portière ! Tu sais combien..."

Elle s'arrêta soudain, chassant avec brusquerie une tresse de couleur nuit du doux minois juvénile de son petit frère pour mieux le dévisager, elle le prit par un coude et le secoua.

Vierna : "Magnus...?"

Magnus : "Qui est-ce...?"

Demanda le jeune garçon, qui n'avait rien entendu...

Magnus : "Quelle est cette créature féline, l'avatar de la déesse de la beauté, la vision des désirs les plus purs de l'homme, l'incarnation de la tentatrice...?"

Vierna tira son frère par le bras pour jeter un coup d'oeil dehors. Ce qu'elle vit ne lui plus visiblement pas...plissant les yeux d'une haine féroce, elle fit entrer son frère de force dans la cabine avant de se composer un masque de moquerie...histoire de lui cacher son expression.

Vierna : "Quoi cette jeune grive...?"

Lâcha-t-elle, l'air faussement incrédule et méprisante.

Magnus : "Je dois le savoir !"

Il colla sa tête à la fenêtre quand l'attelage s'ébranla...et ne quitta plus des yeux la belle inconnue aux yeux fauves et à la chevelure de feu. Mais au premier tournant, il la perdit de vue...

Vierna : "Magnus !"

Le tança la sorcière...
Tiré de sa trance amoureuse, le jeune loup tourna vers elle un regard...dangereux.

Magnus : "Je saurais qui elle est."

Vierna le gifla…ce qui n’eut pour effet que d’exacerber la fougue brûlante de Magnus qui affronta le regard courouçé de sa cousine, plongeant ses iris caramélisées dans les profondeur glaciale de ses prunelles d'argent…et dans les abysses océaniques de ces deux billes d'obscurité qui la lorgnaient éhontément, Vierna y lû une volonté farouche…et un détachement provocateur. Durant ne serais-ce qu’une fraction de seconde, les rôles furent inverser…l’un dédaignant l’autre à qui mieux mieux…mais ce que Vierna ne vit jamais, ce fut cette étincelle d’équité brutal qui scintillait dans les yeux du jeune sauvageon…cette soif de justice, et ce besoin de liberté qui chaque jour, lui erraflait le cœur avec une violence douloureuse pour s’insinuer à travers les entailles comme un poison…une drogue qu’il ne parvenait à atténuer que durant les joutes physique avec cette même personne…

La jeune femme s'adossa à son siège et ne dit plus rien. La force morale du garçon la surprenait plus qu'elle ne l'aurait admise...durant les dix premières années de sa vie, Magnus avait toujours été un garçon doux et timide, assez maléable pour faire malgré tout le bonheure d'une soeur autoritaire, de quinze ans son aînée...
Proche de la trentaine, Vierna n'avait jamais convolé en justes noces. En vérité, à part satisfaire ses besoins physiques, les hommes ne présentaient guère d'intérets à ses yeux. Leur mère était morte en couches, donnant naissance à Magnus...quand à son père. Il n'avait jamais vraiment aimé ses enfants. Le premiers était une fille...l'autre avait autant de caractère qu'un Elfe solaire. Vierna et Magnus étaient en quelque sorte la honte des Anémonius. Une honte qui n'était rattrapé que par la branche principale engendré par Lucian Anémonius, le frère aîné de Maraxia...

Et la jeune femme que Magnus venait d'entre apercevoir n'était autre qu'Alicia Anémonius, sa cousine de seize ans...une personne que Vierna exècrait. Non pas parce qu'elle était d'une beauté infiniment supérieur à la sienne...mais parce qu'elle et son frère cadet Thanos constituaient d'avantage d'intéret aux yeux de Maraxia...car le seigneur noir avait témoigné beaucoup plus d'affection à l'égard du jeune Thanos qu'envers son propre fils Magnus...

Lui et Vierna étaient tombés en disgrâce...car son jeune frère ne disposait malheureusement pas de la maturité et de l'autonomie que possédait Thanos à son âge...car Thanos était aux yeux de tous un prodige doué d'un talents sans égale. Désormais, le seul moyen pour Magnus de se rattrapper était de briller à l'académie de Plenium...mais là encore Vierna doutait très fortement des aptitudes de son jeune frère. Celui-ci n'était pas fait pour se battre, cela crevait les yeux...Magnus tenait plus du poëte passionné que du combattant.

Et pourtant...Dieu seul sait à quel point elle avait tort...

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Six mois plus tard, Magnus franchissait les portes massive de l'académie, au départ borné et réticent à se battre, le jeune noble fut vite dressé par ses instructeurs...lui réservant un traitement un peu spéciale et particulièrement cruel sur ordre de Maraxia lui-même...chaque soir le jeune adolescent se voyait affilé la tache ingrate et mesquine de punir sorcier et soldat qui échappaient aux règles strictes et parfois même, inhumaines, dicté par Lucian, le régent du royaume...et chaque soirs Magnus refusait. Alors on appliqua le traitement. Magnus était attaché de force et devait subir lui-même le sort réservé au récalcitrants avant d'être jeté dans une fosse sombre et humide pour la nuit...

Et chaque soirs le garçon redécouvrait un peu plus la personnalité de Maraxia, son père...et les questions qu'il redoutait se mirent à planer sinistrement dans son esprit emplie de pureté. Son père tenait-t-il à lui...? Le considérait-t-il réellement comme la chaire de ses chaires, comme son fils...? Ou pire encore, l'avait-t-il seulement jamais aimé...? Sentant la haine et les larmes lui monter au yeux, le jeune prince tentait de chasser ces souvenirs...mais ils revenaient toujours le hanter...s'immiçiant en lui, prenant possession de son être telle une vipère glissant dans le trou de sa proie pour mieux la dévorer à son aise.

Forcé de changer malgré lui, Magnus se résigna donc à ses nouvelles attributions sans le moindre enthousiasme...pire encore. Il commença à se détester, maudissant sa venue au monde au sein de ce royaume monstrueux. Mais par dessus tout, il se fit une promesse...jamais, non jamais il ne sombrerait dans la corruption, la cruauté ou la mesquinerie...il resterait un homme droit, franc, et honnête, et il devait survivre...survivre à tout prix à travers cette folie ne serait-ce que pour avoir le privilège de revoir un jour cette Déesse...la femme qui depuis six mois éclaircissait ses rêves, chassant les souvenirs de l'enfer qu'il vivait quotidiennement au grès de penser plus pure, plus saine...peu à peu les cauchemars se transformèrent en d'agréables rêves que le garçon passait en compagnie de la belle qui lui avait ravi son coeur...

Lorsque six années entières s'était écoulé, le jeune guerrier qu'était devenu Magnus était respecté et par dessus tout, crains de tous. Son corps musclé par les entraînement intensifs s'était métamorphosé...de fine courbes robustes, taillées en une silhouette d'Apollon convenaient désormais fort bien à son nouveau statut. Si le beau jeune homme qu'il était devenu avait changé physiquement, à l'intérieur il restait le même...certes moins naïf et plus enclins à la violence, Magnus était, malgré tout, doté d'un certain sens des valeurs...une qualité si rare chez les Anémonius. Jamais il n'avait prit part aux rixes pour prendre du plaisir à se délecter de la souffrance de l'autre. Et pourtant...la lame couleur obsidienne de Magnus n'en étaient pas moins redouté par ses adversaires...

...ceux qui avaient appris à le craindre...et a percer à jour le secret de son caractère.

Mieux valait y réfléchir à deux fois avant de s'en prendre au prince...

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Spoiler:

Et puis les choses furent à nouveaux chamboulés lorsque Maraxia Anémonius eut vent des exploits du nouveau champion de Plenium...son propre fils...

Magnus fut rappellé au manoir où il fut confronté à toute sa famille réunis au grand complet. Il y vit son père, le visage glacial doté d'un sourire de convoitise à faire froid dans le dos...le jeune homme soutint le regard métalique du tyran, lui renvoyant la même froidure...lui faisant comprendre de par la même occasion qu'il n'obtiendrait plus rien de lui de manière indirecte, et pire encore...qu'il avait perdu à tout jamais l'amour de son fils. Il y vit sa soeur, assise aux côté de Maraxia, elle avait vieillit...mais son expression jadis austère restait sidérée par ce que l'on venait de lui raconter sur son jeune frère. Ses yeux semblables aux profondeurs d'un puits sans fond croisèrent le regard d'acier d'un jeune homme d'un ans son aîné à la haute stature. Plus grand que lui, celui-ci était vêtue d'une armure noire rutilante et se tenait à la droite de son père...lui indiquant de par la même occasion que, durant les années qu'avait passé Magnus à s'entraîner, Maraxia s'était trouvé en Thanos un substitue de fils...

Étrangement, le jeune homme n'en fut pas blessé...

Et puis son coeur fit un bon lorsque ces yeux aussi étonné qu'émerveillés se posèrent sur la beauté farouche du visage de sa dulcinée. La belle qui durant presque quatre ans de son existence avait hanté sa vie...accompagné ses rêves les plus fou. Elle était là, majestueuse, assise à côté du beau garçon aux yeux de glace et à la chevelure certes plus courte mais aussi sombre que la sienne qu'il avait détaillé quelque instant auparavant. La belle ne semblait pas lui accorder le moindre regard...la moindre attention. Cela ébranla un peu Magnus, mais il n'y fit rien paraître, à ses yeux la seule vue de son ange sombre, de son Amazone apaisait tous les maux...pas une seconde il ne la quitta du regard...accordant une attention très distraite à son père qui vantait les louanges de son fils et le félicita avec honneur, lui accordant une place de choix dans l'élite de l'armée.

Magnus n'en avait cure, seule l'inconnue au regard d'ambre et à la sensualité féline comptait. De toute évidence le léger strabisme du prince à l'égard de la belle ne passa pas inaperçu. Les courtisans se mirent à jaser silencieusement tandis que d'autres lâchaient parfois quelques sourires amusé, moqueur ou dédaigneux.

Maraxia s'en rendit compte...et le soir-même le souverain invita son fils dans ses appartements privé. Cette fois la conversation ne tournerait plus autour de sa renommé...mais aborderait un tout autre sujet. Glissant une main patrenelle dans la chevelure d'ébène de Magnus, le souverain adopta une attitude étrangement et douteusement sympatique à l'égard du fruits de ses chaires. Sur ses gardes le corbeau restait tendu mais se laissa faire docilement...jusqu'à ce que le nom de son amour lui fut révellé...Alicia...émerveillé par la beauté de d'un tel nom,Magnusse laissa couler dans ses propres pensé, dans sa romance secrète...son nom...il connaissait enfin son nom...et quel nom ! Glissant sur chaque lèvres qui le prononcait avec un infinit douceur emplie de tendresse, rappellant au jeune prince le doux parfum de miel et d'orchidé qu'il se plaisait à humer...à respirer dans les rare jare d'échantillions que ramenaient nobles et pélerins des contrées inconnues, surplombants les plaines désertique de Rugilian. Le bonheur fut à son comble lorsque Maraxia évoqua le mot fillancaille (un piège bien entendu, au vue du caractère d'Alicia, la tache relevait de l'impossible^^)...à cet instant là, le jeune homme balança toute pudeur au ortilles pour prendre son père dans ses bras...lui témoignant toute l'affection qu'il croyait étreinte à son égard. Car enfin, Maraxia Anémonius ne paraissait pas si mauvais que cela...oui, son père avait une âme et il venait de le lui prouver...

Mais ce que Magnus ne vit jamais, c'était le regard glacé accompagné du petit sourire calculateur de son père lorsque celui-ci lui rendit son étreinte...

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Spoiler:

Un hurlement déchirant se répercuta à travers les couloirs ravagés du manoir Gadar Narzùl…

…elles étaient en proies à la furie déchaînée des armées d'Alicia qui envahissaient les pièce tel une nuée de corbeaux assoiffés par le désire primitif d’obéire aux ordres de la Déesse…

Au milieu du chaos…et au centre des hall du palais se profilaient deux silhouette fantomatiques…l’une représentait une femme d’âge mûre au traits tirés et vêtues d’apparats de guerre…l’autre portait un capuchon, seul son menton polit et taillé en lame de couteau émergeait du tissu de couleur sombre.

…ils arrivèrent devant l’une des alcôves secrètes menant aux écuries…

Glaciale le jeune homme tira sa capuche, dévoilant un visage doux et fin…sa chevelure d'ébène, des milliers de mèches mi-longues réparties en bataille sur son front, glissaient le long de sa nuque et de ses joues nacrées…

Magnus : « Non, je refuse. Laissez-moi rester à vos côtés, sans moi vous savez très bien que vos chances de survie son nuls... »

Il n’eut, pour toute réponse qu’un index effilé plaqué contre ses lèvres rosées, et une douce main ridé qui lui carressa le visage pour remonter le long de son front. Au vue du caractère de Vierna c’était…inhabituel. Frémissant au contacte de sa main, Magnus se laissa faire avant de porter ses prunelles ténébreuses sur le visage vieilli de sa sœur aîné.

Vierna : « Tu ne le peux pas…tu dois vivre, il faut vivre. Fais-le…fais-le pour moi. »

Interdit, le héros lunaire recula de quelque pas…jusqu’à ce que son dos finisse par heurter la surface dure et légèrement chaude de Nocturne, l'étalon a robe noire qui allait le mener loin des profondeurs angoissantes des Terres Oubliées…loin de Plenium...loin des Animonius et de leur tyranie sanguinaire.

Vierna continuait de lui caresser la joue.

Vierna : « Ne vois-tu pas ce que j’ai fait pour te permettre de vivre… ? »

Magnus : « … »

Des hurlements et des tintements d’armes se répercutèrent dans les couloirs pour agresser leurs oreilles.

Vierna : « C’est moi qui est glissé le poison dans le verre de notre père…je l’ai fait pour mettre fin à ses folies, pour prendre le contrôle de notre branche et…avoir enfin le pouvoir de nous affranchire d'Alicia...la femme que tu as aimé…mais qui au final n'aura été que l'instrument de la folie de notre lignée décadente elle-aussi.

Je voulais te protéger Magnus, rallier le royaume d'Amilian et mettre fin à la perversité de notre patrie.»

Interdit Magnus plissa ses paupières laiteuse…

Vierna : « …j’ai échoué…et tout ce qu’il me reste désormais, est l’espoir de ne pas te voir finir comme Maraxia. »

Magnus : « … »

Vierna : « …une force sommeille en toi Magnus…une force qui m’a donné le pouvoir d’agir et de résister au parfum de la fatalité lorsque je croisais l’éclat de tes prunelle »

L’ébauche d’un sourire sans joie se dessina sur la dureté pulpeuse de ses lèvres carmins...

Vierna : « Le destin nous a finalement rattrapé…les Anémonius sont désormais un passé qui ne peut être sauver…mais toi… »

Doucement, la sorcière se rapprocha de son jeune frère, et dû tendre le cou pour presser ses lèvres contre les siennes avec une délicatesse troublante. Nous étions bien loin de l’époque révolue où Magnus avait été traité comme un garçonnet récalcitrant…

Vierna : « …toi tu peux changer le futur…je refuse de te voir mourir avec moi dans les bas-fonds de ce manoir… »

Sans ménagement, elle l’obligea à se hisser sur le dos de Nocturne, l’éffleurant volontairement de l’aiguillon empoisonné incrusté dans l’une de ses bague…ce dernier était enduis d’un puissant barbiturique. Impuissant et paniqué, Achille se senti partir…Il tenta en vain de garder la tête haute tandis que sa monture s’éloignait déjà dans les profondeurs du passage…mais il était inexorablement attiré dans les bras de Morphée…

Magnus : « Vierna… »

Vierna : « Je t'aime, Magnus...pour toujours et à jamais. »

La dernière chose qu’il vit fut le visage ruisselant de larme de sa soeur…la dernière chose qu’il entendit fut le craquement des portes massives destinées à protéger le passage lorsque les soldat d’Alicia pénètrèrent dans l’anti-chambre…la dernière chose qu’il ressentit…fut la fin de son héritage...

Magnus plissa les paupières…et sombra dans le néant…

Bienvenue sur La Destinée de l'Érade = )

Je te laisse finir ton histoire et un autre admin ou moi viendra vérifier le contenu final = )

C'est la première fois que je vérifie une fiche, donc j'ai peut-être laissé passer quelque chose(première fois sur ce forum, en passant xD)

N'oublie pas d'ouvrir ton sujet dans la section "Mes Sujets"

Sinon, on ne m'a pas dit le mot de passe(va falloir que je lise xD), mais il me semble que ce n'est pas le bon code. C'est la mauvaise surprise xD

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La caresse du vent lui effleura la joue et vint faire danser ses mèches sombre…Son visage était couché, face gauche contre un mélange de terre et de bruyère. Magnus rouvrit péniblement les yeux…son corps lui faisait mal. Il ressentait la douleur lui vriller le crâne et tirer sur ses muscles courbaturés. Lentement, notre jeune prince de toute beauté se releva…il était seul…complètement seul au milieu d’une plaine désertique…son unique compagnie ne se limitait qu’à la présence de cet étalon noir qui vaquait à une dizaine de mètres de lui…étrangement ce dernier ne lui avait pas faussé compagnie.

Son voyage l’avait emmené à l'Ouest, à la frontière entre Rugilian et les Terres Oubliers...très proche de la cité de Mordiaarg

Les yeux mi-clos, le jeune homme jeta un regard circulaire autour de lui…rien…il n’y avait rien à part les étendues sauvages et sabloneuse d’un royaume inconnu…c’était comme si les reliefs sinistre du corridor infernal s’étaient évaporés. Il ne comprenait pas…où était-il… ? Que lui était-il arrivé… ?

Quelque chose lui brûla l’intérieure du crâne…mâchoire serré, Magnus tomba à genoux et se prit la tête entre les mains. Des dizaines…des centaines…des millier d’images lui revinrent en mémoire. Il se souvint de tout…le manoir Gadar Narzùl, la trahison d'Alicia…sa sœur Vierna…sa terre natal telle qu’elle était lorsqu’il l’avait quitté. Jamais plus il ne les reverrait. Tout perdu…il avait tout perdu...jusqu’à sa propre identité…

…il était le seul à avoir survécu…

Les larmes roulèrent sur le beau visage de Magnus.

Libérant son minois de ses mains blanches, le jeune adulte bascula la tête en arrière.

Magnus : « Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !! »

…et tandis que la souffrance lui brûlait le cœur, il y a une chose que le jeune sauvageon au cœur torturé ne resenti pas dans l’immédiat…ce fut le subtile claquement qui avait retenti derrières les courbes androgynes de son dos…et les silhouette mixte qui avaient passé les deux dernières heures à l’observer…

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Spoiler:

Sous la douce chaleur du soleil de midi qui englobait le terrain d’entraînement d'Hyshnar, « il » se déplaçait comme si les ombres l’enveloppaient toujours…même en ces lieux qui en comportaient pourtant si peu…et comme si la poussière omniprésente ne pouvait l’atteindre. La salle ouverte était bondé…

"Il" ne semblait pas y faire attention, son visage calme et glacé n’évoquait aucune expression…cela faisait presque trois ans qu’il avait rejoint le corps militaire d’Airian après avoir abandonné sa vie d’ermite en compagnie d’autres exilés dans les désert de Rugilian, le royaume voisin…fantômes de son passé…vestiges d’une autre vie qu’il tentait d’oublier…une vie qui avait appartenue à un jeune prince à la délicatesse bafoué.

Lui, il était le Héros Sans Peur…l’une des figure les plus respecter de sa garnison…il était un de ceux qui agissaient pour la paix et savaient rester à la place qui était la leur…par absence d’objectif…ou pour un but caché, mystérieux…un but qu’il gardait pour lui… ? Nul ne le savait…et d’ailleurs comment faire pour savoir, aspirer à connaître les intention d’un homme qui pouvait vous jauger, explorer votre personnalité sans rien livrer de lui-même… ?

Si sombre...si jeune...cet avatar des intrigues semblait tellement…seul…fuyant les fantôme et leurs rudes détailles…en éventail de tout ce que la vie lui a apporté de plus triste.

Qui était-il… ?

Il était Magnus, le guerrier lunaire…

E.S. Posthumus - Ebla

O_O .....

Jamais vue une fiche aussi longue de ma vie xDD
Bon et bien, si tu as un deuxième compte, moi je veux bien, mais essayes d'être actif sur au moins l'un des deux ^^" ( je parle au niveau du Rp bien entendu =) )
Sinon, rien à redire sur cette très belle fiche, autant par sa forme que par son fond.
Simplement : j'aime beaucoup E.S Posthumus :)
M'enfin voila ^^ tu es validé mister

Nombre de messages : 86 Age : 34 Date d'inscription : 18/04/2009

bienvenue meme si c'est un second perso lol

Merci à vous trois, c'est vraiment très gentille :Heii:

Re bienvenue sur le Forum, et amuse toj bien ^^

Merci à toi miss^^