Sigvald Ivalice
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Date d'inscription : 23/01/2010
 |  Sujet: Sigvald Le Magnifique  Sam 23 Jan - 16:49 | |
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#. Sous ce corps d’Adonis se cache le plus vil de tous les félons…
.:.[ Nom : Ivalice.
.:.[ Prénom : Sigvald.
.:.[ Surnom : Le magnifique.
.:.[ Rôle : Prince des Emperor’s children .
.:.[ Sexe : Masculin. N’allez pas vous imaginer des choses… .
.:.[ Âge : Le temps a eut raison de certaines informations que Sigvald possédait sur lui-même. D’après l’arbre généalogique qu’il a lut dans un livre(le seul qu’il oserait bien lire), il aurait environ près de 1000 ans. Il semble pourtant dans la fraîcheur de la vingtaine. .
.:.[ Royaume : Il a perdu tout lien avec son royaume d’origine. Il est maintenant liés aux Emperor’s children et aux terres oubliées.
.:.[ Camp : Maléfique, plus qu’il ne le paraît…
.:. [ Métier : Guerrier. .
.:.[ Race : Démon(élu de Slaanesh.
.:.[ Pouvoirs :
#. Pouvoirs des élus de Slaanesh
#. Terre
#. Copier le pouvoir d'un ennemi ( acquérir le pouvoir d'un ennemi , il faut que l'adversaire l'ai utiliser )
.:.[ Armes :
Vif éclat : il s'agit d'une rapière finement forgée, l'une des plus belles que l'âge de l'Empire a fournit a Erade. Avec cet arme, Sigvald frappe si vite que personne ne peut suivre ses mouvements. Vif éclat permet a Sigvald de toujours réussir sa première attaque, qu'il s'agisse d'une attaque physique ou d'un pouvoir, a condition que celui ci ne soit pas létale. L'armure dorée : L'armure dorée est un présent de Slaanesh afin de satisfaire la vanité de Sigvald. Grâce a elle, a l'instar des démons originels, Sigvald voit ses blessures se refermer sous l'effet du sang passant sur son corps, et celui de n'importe qui.[color=white] .
#. VOTRE HISTOIRE
Dès qu’il fut venu au monde, Sa mère et son père avaient deviné qu’il était promit à un destin grandiose. Sa mère, particulièrement superstitieuse, avait fait appel à un prophète le jour de sa naissance, pour qu’il puisse lire dans l’avenir du jeune nouveau-né. Celui-ci partit alors dans un avenir paradisiaque, enchaînant prouesse après prouesse, que grâce au vol des oiseaux dans le ciel, il deviendrait rapidement l’un des plus illustres guerriers, n’hésitant pas à revoir ses visions si la nouvelle mère n’était pas d’accord avec quelques faits. Pour certains, il pouvait s’agir d’un charlatan, et même lui le savait. Rien de tout cela n’était vrai. Mais les visions de gloire qu’il implanta autant dans les pensées de Siliva, sa mère, et l’empereur Franz, que le devin avait réussi à amadouer de ses belles paroles. Décidant de pousser le destin, Dès que Sigvald eut l’âge de porter une arme, Franz fit appel à son meilleur maître d’armes, un de ses soldats désormais vétéran à la retraite du nom d’Isgard. Celui-ci tâcha de lui inculquer toute forme de combat, de la lutte aux arts martiaux en passant par la maîtrise de la lance, de l’épée, de la hache à deux mains, de la faux et même du fouet.
Mais Sigvald était un élève indiscipliné. Dès qu’il eut l’âge de remarquer la beauté des femmes, il commença à manquer certains cours, décidant de courtiser certaines paysannes. Il s’avéra plutôt doué dans l’art de la séduction, et aujourd’hui, après 1000 ans de vie, il pouvait compter le nombre de refus par les femmes sur les doigts d’une seule main. Ainsi donc, il était puni pour toutes ses escapades par Isgard, légèrement au début puis sévèrement à la fin. Mais Franz voyait les choses autrement; Son fils s’avait s’attirer des courtisanes, il était capable de parler au peuple. D’après lui, Sigvald ferait un excellent roi. Il commanda donc à Isgard de réduire la fréquence de ses cours, croyant que Sigvald commençait à s’ennuyer dans ses cours.
Même avec ses absences répétées à ses cours, Sigvald devint un habile bretteur. Il avait une mémoire photographique innée, lui permettant d’user la technique de son ennemi après que celui-ci l’ait utilisé seulement une fois. Il maniait cette technique en question avec la même grâce, la même agilité et la même puissance, parfois mortel.
C’est tout juste avant une cérémonie important qu’il découvrit un autre Sigvald en lui-même. Durant ses escapades, il s’était fait plusieurs amis, et pas nécessairement les plus honnêtes. L’un d’eux, un dénommé Gusvand, l’invita à manger chez lui, où son père lui prépara un splendide repas. Sigvald n’avait jamais goûté une viande aussi succulente, aussi juteuse, aussi tendre. La viande fondait dans la bouche. Sigvald devait savoir ce qu’était cette viande. Le père lui avoua qu’il s’agissait du bœuf apprêté à la manière familiale, mais Sigvald ne le croyait pas : Le bœuf n’avait pas du tout la même texture. Avec son titre, il réussit à engager un espion notable au château qui serait capable de découvrir quelle viande l’homme lui fit manger. Il ignorait cependant la loyauté de l’espion envers le roi.
C’est pourquoi un jour, se promenant dans les cachots – Il aimait se délecter des cris de pitié des prisonniers affamés depuis des jours - , Il vit le père en question. Ignorant pourquoi il se trouvait là – et ignorant du même coup la nature de la viande puisque l’espion ne lui avait rien dit -, Il demanda au geôlier en chef la raison de son incarcération. Celui-ci, en jetant un regard plein de dégout et de mépris, rétorqua :
-Cet enfoiré tuait des gens pour nourrir sa famille. Saloperie de Cannibale. J’vous jure que si j’étais roi, je l’aurais moi-même tué immédiatement…
Sigvald figea au moment où la première phrase finit. Ainsi donc, la viande si délicieuse était de la viande…humaine?! Ça n’avait aucun sens. Jamais Sigvald n’aurait cru que son corpsétait si appétissant. Sans remercier le garde, il s’enfuit dans sa chambre pour y réfléchir, le goût exquis de la viande encore dans la bouche.
Il avait maintenant trente ans, mais semblait toujours dans la début vingtaine, par quelque miracle. Il accéda rapidement au grade de général, ses liens avec l’église lui ayant garantit les échelons du pouvoir. Les autres candidats étaient tous des Malarians, ces guerriers pieux que l’église ne tolérait pas la présence. De plus, Sigvald était le fils de Lempereur, donc l’héritier. Il était normal que son chemin soit toute tracé.
Mais vint le temps vint où des hostilités éclatèrent entre son royaume et celui d’un autre régent, un homme dont la mémoire de Sigvald n’avait pas cru bon de garder. Sigvald fut mit à la tête de l’armée, son père désirant qu’il fasse ses preuves. Sigvald s’avéra un excellent stratège, enchaînant plan après plan, succès après succès. Mais si la réputation de Franz était reconnu pour sa pitié, il en était tout autrement avec Sigvald. Il gardait les femmes en captivité, tuant ceux qui lui résistaient, tuait tous les hommes, laissant derrière lui un village d’orphelins. Aussi cruel soit-il, il n’abattait pas les enfants. Pourtant, le goût de la viande humaine lui revint en bouche après une de ses nombreuses batailles. Depuis, il faisait des prisonniers. Il gardait souvent les plus en forme, et bien que certains croient qu’il s’agissait d’en faire des soldats, il n’en était rien. Son cuisinier, Gusvand, son ami d’enfance, préparait la fameuse famille familiale de l’humain apprêté à point. Il s’agissait des deux seuls qui connaissaient l’avidité de Sigvald pour la viande humaine.
Mais un jour, Un capitaine qui s’est invité à l’improviste goûta à l’un de ses plats. Il se figea, laissant tomber sa fourchette. Lorsque Sigvald lui lança un regard étrange, il prit les jambes à son cou en hurlant : Cannibale! Cannibale! Sigvald est une saloperie de cannibale!
Une enquête menée par l’empereur elle-même eut tôt fait d’éclaircir ce mystère horrifiant. Toutefois, son père, eut un élan de pitié pour son fils, qui était sur le point de prendre sa place sur le trône, Franz étant trop vieux pour pouvoir gouverner pendant les dix prochaines années. Le cœur lourd de tous ces mensonges proféré par le prophète menteur, il bannit son fils de son royaume à jamais.
Mais son bannissement ne dura pas éternellement. Aussi, une femme, une déesse amazone aux yeux de Sigvald, vint mettre une terme au règne de l’empereur. Il était présent à la mort de son père. Bien que la séduction fût le domaine de prédilection du guerrier cannibale, il ne pouvait s’empêcher de ne pouvoir tenter de séduire cette femme. Elle était tout ce qu’il recherchait chez un être féminin, le visage parfait, les lèvres à point, les courbes…appétissantes. Dans tous les sens du terme. La perfection faite femme. Il décida donc de se mettre au service de l’amazone, la déesse nommée Fulgrim, et de lui jurer loyauté et fidélité jusqu’à la fin des temps. C’est ainsi qu’il devint l’élu de Slaanesh, un élu du chaos et du plaisir, et le prince des Emperor’s Children. #. QUI ÊTES-VOUS ? .:.[ Physique : Sigvald est la perfection masculine incarné. Beau, jeune, fort séduisant, sûr de lui, peu sont les femmes qui lui résistent. Et celles qui résistent meurent souvent, finissant sous la dent de Sigvald. Bien qu’il ait près de 1000 ans, il semble dans la vingtaine. Il possède la jeunesse éternelle, et personne ne peut remarquer, hormis les personnes au courant, qu’il possède un millénaire de vécu. Il possède un visage long et doux, aucune imperfection ne semble toucher ce visage. Même la cicatrice qu’il porte à l’œil droit ne fait que le rendre plus séduisant. Il possède de longs cheveux blonds aussi doré qu’un champ de blé au zénith. Ses cheveux atteignent les aisselles, et sont libérés en cascade sur ses épaules.[/font]
Mais ce qui marque, c’est son regard de séducteur. Un regard si sûr de lui, un regard qui peut faire fondre toutes les femmes. Il est très expressifs des yeux, n’ayant qu’à lancer un regard pour exprimer ce qu’il veut. Les yeux d’un bleu paradisiaque, un bleu teinté de l’argent le plus pur. Il possède le visage de l’archange le plus parfait du ciel.
Il possède un corps grand et bronzé. Il mesure 1.80m, pour un poids proportionnel de 60kg. Le corps sculpté par l’entrainement de son maitre d’armes. Son armure, donnée par Slaanesh, est une œuvre d’art qui brille de mille feux. De couleur dorée, elle est polie chaque nuit par les forgerons de Sigvald, qui n’accepte aucune imperfection sur celle-ci. S’il y a une seule poussière collée sur l’armure, soit il tue le polisseur, soit il le mange. Il possède une attitude de conquérant qui augmente le moral de ses troupes et réduit celui de ses ennemis. Il ressemble à s’y méprendre à un humain, mais plonger son regard dans le sien pendant un certain temps permettrait, dit-on, de voir sa véritable nature, celle démoniaque. Pourtant, personne excepté Fulgrim et les emperor’s children n’est au courant de sa souillure démoniaque. Ainsi, il peut se camoufler dans la foule, se mêlant aux autres humains. Grâce à Fulgrim qui tua l’empereur Franz avant que celui-ci n’envoie des missives dans tous les royaumes afin d’interdire l’accès à Sigvald, Peu sont au courant de son penchant pour la chaire humaine et de sa cruauté. Il aime conserver l’anonymat, à moins que se découvrir lui rapporterait quelque chose de plus grand encore, tel la fille du roi ou encore, sa femme. .:.[ Caractère : Sigvald est fier de lui. Trop, même. Il est arrogant, imbu de lui-même, manipulateur, dandy, séducteur, et semble aussi confiant.Il est certain d’être l’homme le plus beau qui soit, et ne comprend jamais pourquoi une femme lui résiste lorsque c’est le cas. Il pense que c’est parce qu’elle aveuglé par quelque chose d’éphémère, tel la beauté d’une fleur ou d’un homme et même là, il ne comprend pas pourquoi elle s’intéresserait à l’homme en question plutôt qu’à lui. Dans ses habitudes, il garde toujours son sang froid, autant lorsqu’il se bat que lorsqu’il séduit et lorsqu’il viole une femme. Il n’a pas le sens des priorités, délaissant certaines de ses missions pour aller courtiser au bar d’en face. Il sait manipuler quiconque, mais semble bien plus à l’aise avec les femmes. S’il apprécie les combats d’honneur, il est prêt à tout pour achever sa mission, soit engager des assassins, la torture où encore le viol. Sous ses allures d’ange se cache un démon plus que vil, une abomination parfaite. Il est toutefois sensible aux flatteries, aux compliments et aux éloges. Il est si imbu de lui-même qu’il ordonne à tous ses soldats de polir leur bouclier jusqu’à ce qu’on puisse voir son reflet dans celui-ci. Ainsi, lorsque les gueriers forment une ligne parfaite, Sigvald marche tout le long de la première ligne, fixant les boucliers, ou plutôt le reflet qui s’y trouve, ajustant sa posture, changeant l’expression de son visage afin de paraître au mieux. Il est moqueur et plaisantin, n'attendant pas l'autorisation pour glisser une plaisanterie dans la conversation. Il est aussi un excellent gentleman, pour peu que la femme le mérite.
Sa corruption démoniaque a parfois raison de son mental, le poussant dans de brusques accès de folie, pour visiblement aucune raison. Il est énormément susceptible, n’acceptant aucune critique de la part de ses servants, de ses égaux et de ses supérieurs, excepté Slaanesh, qu’i l a apprit à respecter et Fulgrim, la femme de ses rêves. Il est charmeur et impulsif et, sous le déguisement du séducteur, peut ressembler à un chasseur qui traque sa proie. Toutefois, contrairement à Fulgrim, il n’a pas conscience des conséquences que ses actes peuvent créer. Il est intelligent, mais lorsqu’il se prend pour un Dom Juan, vu d’un esprit supérieur, Il semble aussi débile que tout autre homme tentant de prouver sa virilité aux femmes.
Il prend toute bataille comme étant déjà gagnée, tout adversaire comme étant vaincu et toute femme comme étant conquise... #. AUTRES .:.[ Où avez vous connu le forum ? Double-compte de Légion .:.[ Comment trouvez-vous le forum ? Superbe!. .:.[ Une volonté à nous demander ? Mettre une vidéo d’un admin qui danse en costume de canard rose sur un lit d’eau double, c’est possible?. .:.[ Mot de passe : Validé par Hathor.
Dernière édition par Sigvald Ivalice le Sam 23 Jan - 19:00, édité 1 fois |
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