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 |  Sujet: Viviana Caterina Renzo (Fiche complète et prête à être validée^^)  Ven 15 Jan - 4:24 | |
| #. VOTRE PERSONNAGE
.:.[ Nom : Renzo.
.:.[ Prénom : Viviana Caterina .
.:.[ Surnom : Viva, un diminutif de son nom ou Esthen (mais rares sont ceux qui connaissent ce second surnom).
.:.[ Rôle : Aucun.
.:.[ Sexe : Féminin.
.:.[ Âge : 28.
.:.[ Royaume : Aucun.
.:.[ Camp : Neutre (selon son humeur, pencher vers le bien ou le mal)
.:. [ Métier : Freelancer.
.:.[ Race : Alchimiste.
.:.[ Pouvoirs :
#. Magie runique.
#. Ingénierie.
#. Sens décuplés
.:.[ Armes : Pistolet et sabre normal.
#. VOTRE HISTOIRE
Dans la famille Renzo, on est noble de générations en générations et on agit comme tel. Mentalité très conservatrice et bornée s’il en est que partagent tant le père que la mère de celle qui dans neuf mois deviendra Viviana Caterina Renzo. Quoi de mieux que le prestige pour épater la galerie et s’attirer les vivats de ses pairs? Rien, absolument rien selon ce cercle fermé d’individus aveugles au monde qui les entoure. Oh certes, les gens pauvres les envient, les bourgeois les haïssent et les gens ordinaires les regardent avec respect mais en dehors de cela, les vrais rois du monde ce sont ceux qui le font vivre et non ceux qui en profitent. Mais raisonner un noble, c’est comme vouloir raisonner un troupeau de mules, c’est inutile! Ceci étant dit, il arrive parfois que le destin ait son mot à dire et en grand farceur qu’il est décide de donner une bonne leçon aux êtres humains trop confiants. Bien que tout ce qui va suivre soit fictif jusqu’à ce que le contraire soit dit, c’est toujours ainsi que Viviana Caterina (Viva de son surnom tout personnel) expliqua ce qui le différenciait du reste de sa famille :
Proto Viviana Caterina, foetus humain dans le ventre de sa mère, se développe tranquillement, sagement, sans heurt ni soubresaut. Et elle s’ennuie. Oh bon sang qu’elle s’ennuie à ne rien faire dans ce ventre qui la retient prisonnière. Alors elle laisse son esprit naissant vagabonder. Elle se raconte des histoires avec le peu de choses qu’elle peut percevoir. Mais ses connaissances sont plus que limitées et bientôt elle se retrouve à court d’imagination. C’est à ce moment que le destin décida de venir la voir.
-Viviana Caterina, ma petite, nous savons tout les deux et moi plus que toi, car je suis le destin, que tu es différente des autres. Crois-moi, tu seras tout sauf une noble conservatrice. Regarde toi, tu as à peine quelques semaines que déjà tu cherches à t’évader de ce cadre restreint qui t’empêche d’être. Tu manques de chance par contre : tu ne sortiras pas de ce ventre avant huit mois au moins.
Proto Viviana Caterina émet l’équivalent d’un soupir (ce qui est très difficile quand votre bouche et vos poumons sont en formation!) et communique par la pensée, ou tout du moins essaie, avec cet être ou chose qui lui tient compagnie.
*Mais que puis-je faire alors pendant ces longs mois? Je m’ennuis destin, je m’ennuis et je veux faire de ma vie quelque chose qui me plaira, quelque chose qui sorte des normes établies. Ne peux-tu pas m’aider, me conseiller, me guider dans cette entreprise? À quoi suis-je donc destinée? Je ne veux pas faire comme les autres et suivre un schéma!*
Le destin ne répond pas. Il décide plutôt de lui faire entendre (et encore, quand vos oreilles ne sont pas formées c’est tout une affaire!) une des nombreuses conversations entre ses parents et les gens de leur espèce. Inutile de dire que proto Viviana Caterina est horrifiée et qu’il n’en faut guère plus pour qu’elle cherche conseil auprès du destin.
*Quelle horreur! Mais je ne veux pas être comme eux, c’est horrible! Destin, tu dois m’aider, comment peut-on vivre ainsi, c’est abominable! Mais attends… Si tu es là avec moi, c’est que tu as d’autres projets pour moi, me tromperais-je?*
Il sembla bien que non. Car pendant les mois qui suivirent, le destin farceur et proto Viviana Caterina eurent de longues conversations sur les différentes voies que pourraient emprunter la future fille des Renzo. Et aucune de ces dernières ne va dans le sens que pourrait espérer ses parents qui ne se doutent en rien de ce qui se trame dans la prison de chair qui retient Viviana Caterina… Encore heureux pour elle!
Revenons-en aux faits et non aux fabulations, neufs mois plus tard, par un beau matin de janvier, le 23 pour être exact. Entre les cris de douleur causés par les contractions et le bruit saccadée de la mère de l’enfant se font alors entendre les pleurs du nourrisson. Viviana Caterina Renzo vient de naître et elle fait la fierté de sa famille. Une situation qui n’était pas faite pour durer. Loin de là, très loin de là même…
Dans la famille Renzo, on est noble de générations en générations et on agit comme tel. Oh que non, je préfère encore l’exil à cette vie! Voilà une des premières conversations qu’eurent les parents et la fille quand celle-ci fut en mesure de s’exprimer convenablement, quelques années plus tard. Et c’est tout un choc pour les parents! Viviana Caterina, si sage, si obéissante, une rebelle?! Comment pouvait-elle avoir l’audace de se détourner de la voie toute tracée que l’on lui avait réservée?! Fille ingrate! Honte de la famille! Les menaces, les promesses, les suppliques et les pleurs la laissent de glace. Non pas parce qu’elle n’a pas de cœur mais parce qu’elle les sait fausses. On ne tente pas de la sauver elle, on tente de sauver une image qui n’est ni jamais ne sera la sienne. On argumente, elle réfute, on tempête, elle reste de marbre, on se lamente, elle joue au sage… la guerre des nerfs est déclarée… Et Viviana n’a pas l’intention de perdre!
C’est auprès de son précepteur que la jeune Renzo trouvera une certaine forme de réconfort et de soutien. À l’insu des parents évidemment qui sont trop occupés à tenter de sauver leur image. N’en pouvant plus, excédée par le tempérament exécrable, détestable et haïssable de ses parents, il faudra attendre bien peu d’années avant qu’elle ne quitte la demeure familiale pour qu’elle s’engage comme mousse sr un navire marchant, se faisant passer pour un homme, dans le port d’Orient. Comme ses parents parlaient peu de leur enfant et que le fait qu’elle soit une file ne soit jamais vraiment sortit du domicile familial, la supercherie qu’elle met en place évitera que l’on pose trop de questions quant à son physique. On l’accueille à bras ouverts, pensant qu’avec le nom qu’elle porte elle se montrera digne de son ancêtre, un grand marchand noble certes mais aux tendances plus bourgeoises et qu’elle fera usage de ce privilège pour obtenir un rang plus élevé. À la stupéfaction générale et à la surprise de ses futurs compagnons, elle refuse. Elle prend son paquetage et va rejoindre les autres. Ainsi commence sa nouvelle vie auprès de gens ordinaires auprès desquels elle se sentait plus dans son élément que chez les nobles.
Les années continuèrent à passer, imperturbables au regard de ce qui se passait dans la vie des hommes et des femmes d’Orient et la jeune Viviana Caterina devint second sur un navire marchand et la puberté nuisant, on se rendit vite compte qu’il s’agissait en fait d’une femme. Cependant, quand on a une perle rare à bord, superstitions et dogmes prennent vite le bord : un navire c’est une famille et on se sert les coudes, lui disait toujours son capitaine et supérieur, ami fidèle et qui aurait pu devenir son amant… Si par une journée fatidique d’octobre au cours de sa vingt-quatrième année de vie, octobre rouge comme elle viendrait à appeler ce mois maudit, un vaisseau pirate ne les avait pas attaqués, la privant de sa seconde famille, de ce navire qui avait vu les plus belles années de sa vie et d’un avenir encore plus prometteur dans la marine marchande. L’équipage ennemi, d’origine otianaise, était bien décidé à ne faire aucun prisonnier mais leur capitaine fut si impressionné par cette femme aux cheveux de feu et au tempérament tout aussi brûlant qui accumulait à ses pieds les cadavres de ses hommes qui tentaient par tous les moyens de la submerger par le nombre. Bien décidée à ne pas se rendre sans combattre, c’est de par ses blessures et l’épuisement que l’ennemi parvint à la capturer et à l’amener, à demi consciente, devant le capitaine du navire partit du royaume d’Otian, un certain Lorenzo Guido qui la fit soigner pour ensuite l’interroger, impressionné par cette furie qui avait quand même triomphé d’hommes dont la simple mention faisait trembler le commun des mortels… Et il en tomba éperdument amoureux bien qu’il se refusa à se l’admettre. Il se décida à l’incorporer à son équipage et les deux partagèrent une relation un peu spéciale pendant un certain temps… Jusqu’à ce que Viviana reprenne suffisamment de forces et d’énergie et surtout d’appuis chez les membres d’équipage pour organiser une bien belle mutinerie, prenant la vie de Lorenzo Guido un an jour pour jour après qu’il l’ait privé de ses loyaux compagnons et du navire qu’éventuellement elle aurait été appelée à commander. Promue capitaine avec un pourcentage quasi-total de la part des hommes de feu Lorenzo, elle transforma la bande de terreur des mers en un équipage qui faisait son travail bien plus proprement, de façon encore plus experte et dont les buts et motifs étaient davantage la recherche de défis et de prestige personnel que de pillage et de massacres. Le plaisir de la chose autrement dit, dans les règles de l’art et contre d’autres pirates. Une justicière des mers? Bien sûr que non! Mais une protectrice indépendante de son Orient adoré… Peut-être plus. Car n’oublions pas que des morts, elle en causa plus souvent qu’autrement dans sa courte carrière en tant que capitaine pirate. En fait, elle en fit suffisamment pour entrer dans la légende, atteindre ce statut de controverse qu’elle affectionnait tout particulièrement et le plus important de tout, former son remplaçant pour un échange de milieu, quitter la mer pour la terre ferme donc.
Viviana Caterina reposa donc officiellement et pour une durée indéterminée les pieds sur terre, dans le royaume qui avait donné jour aux pirates qui avaient prit sa seconde famille, au tendre âge de vingt-sept ans et n’a pas vraiment reprit la mer depuis, servant ses propres intérêts, continuant d’entretenir sa légende et travaillant toujours pour son propre compte, acceptant toutefois en de rares, très rares occasions de jouer à la mercenaire pour une personne donnée. Pourquoi Otian et pas Orient? Pourquoi avoir abandonné sa terre natale? Pour le plaisir de la chose et l’esprit d’aventure, histoire de découvrir de nouveaux endroits et de nouvelles cultures et surtout, surtout, de nouveaux défis! La vierge de feu, comme on la surnomme encore aujourd’hui, ne cesse de se jouer des hommes qui la prenne pour moins que ce qu’elle est en vérité : une meneuse d’homme, une guerrière confirmée et endurcie, une athlète et acrobate sans oublier le fait qu’elle est une petite maline à l’esprit vif pour ne pas dire très vif. « Celui ou celle qui parviendra à me battre en combat singulier aura le droit de partager mon lit si tel est son désir », voilà les termes de la vierge de feu, de Viva, pour quiconque voudrait gagner son cœur et ses faveurs. Un exploit que personne n’a réussi à ce jour.
Plusieurs se demanderont : mais Viviana est également une alchimiste! D’où tient-elle son savoir et son expertise? Il a bien fallut qu’elle l’apprenne quelque part… Oui et non, voilà la réponse. Tout part d’un talent inné et d’un apprentissage rigoureux dispensé tant par son précepteur que par sa seconde famille ou sa tranche de vie en tant que capitaine pirate. Entre la baliste et le canon, notre jeune amie préfère et de loin les armes à feu et se faisant un point d’honneur d’être à même de tout faire sur son navire, il n’est pas superflu de dire que les pièces d’artillerie, elle connaît cela et qu’elle a fait mumuse avec suffisamment longtemps pour rendre les canons de son navire plus précis, plus efficace et plus dévastateurs encore. Si plusieurs jurent par la taille de leurs pièces, elle, elle préfère berner ces gens là avec des pièces plus petites mais plus puissantes et bien plus performantes. Les apparences sont trompeuses comme le dit le proverbe…
Il fallait bien s’y attendre non? Avec un tel esprit et une nature si peu orthodoxe, quoi de mieux que de s’affirmer dans sa maîtrise médiocre de la magie et de faire de sa faiblesse une force? Si certains alchimistes voient leur attribution de fonction comme une honte… Elle, elle voit une autre occasion de se dépasser et de donner son 110%! Inventer ne lui suffisant pas, elle aime aussi innover, reprendre des plans et des schémas et tenter de les améliorer… Même si l’idée n’est pas d’elle, pourquoi serait-elle mauvaise? Au cours de ses nombreux combats contre d’autres pirates, elle ramassa par conséquent un arsenal impressionnant d’armes de tout type (car notre amie maîtrise aussi l’art de la forge) qu’elle tenta de rendre encore plus performantes. Si son surnom officiel reste Viva, un diminutif de son nom, son équipage en avait un autre pou leur capitaine bien aimée : Esthen, qui veut dire celle qui crée, dans une langue morte parlée jadis dans les environs d’Orient. Un surnom qu’elle n’a plus entendu depuis qu’elle a mit les pieds à Otian puis dans Érade à proprement parler. Ayant confié son bateau à son fidèle second, elle retournera peut-être un jour sur les mers si l’appel de l’aventure se fait trop faible dans Érade. Ceci dit, même sans prendre part aux conflits, Érade reste une terre d’aventure, de mystères, de magie et d’opportunité, un véritable paradis pour ceux qui ont de l’ambition et du courage, deux choses qui ne manque pas à la demoiselle Renzo…
Plusieurs sont en droit de se demander quel accueil on réserva à une ex capitaine pirate, aussi utile fut elle en attaquant les vrais pirates, ne touchant jamais aux navires militaires ou marchands? Tout dépend d’une part de qui la reconnaît, car ne sont pas si nombreux ceux qui ont prit la mer ou qui fréquente le port d’Otian en Érade et de deux, vis-à-vis de qui elle se trouve : certains capitaines l’ont en haute estime et feraient rempart de leur corps pour lui éviter la prison tandis que d’autres oublient le service quelle a pu leur rendre au profit de leur égo malmené par la jeune femme… Le commun des mortels la voit sans doute comme une excentrique, une freelancer de grand talent et une excellente alchimiste capable de grandes prouesses et de grandes choses.
Sa position sur le conflit entre mortels et immortels est totalement neutre et désintéressée. Elle travaille pour elle et pour le plaisir et elle se moque des jeux de puissance et de politiques qui secouent Érade. Et jusqu’ici, cela n’a en rien nuit à ses chances de survie. Ce que le destin réserve à notre jeune Freelancer est incertain. Ce qui est sûr, c’est que ce sera un quelque chose sortant de l’ordinaire… Reprendra t’elle la mer un jour ou restera t’elle à Érade? Reverra t’elle un jour sa terre natale ou mourra t’elle en sol étranger? Comment le monde se souviendra d’elle? Car le destin ne fait jamais les choses à moitié! Le livre de sa légende continue à voir ses pages se remplir, après tout…
#. QUI ÊTES-VOUS ? .:.[ Physique : Viviana Caterina Renzo, la vierge de feu… Qu’est-ce qui pousse les hommes à désirer cette femme au caractère encore plus trempé que l’acier? Pourquoi courir après une humaine qui n’est ni femme ni homme de par sa pensée et ses actes? Qu’est-ce qui fait son charme et que ceux qui veulent réaliser l’exploit de la mettre dans leur lit continuent à se casser les dents en essayant à tous les coups? C’est une question qui mérite d’être creusée et explorée car si c’est après le physique que ces gens courent, il doit être propre à damner les mortels… Et peut-être même plus.
Car Viviana Caterina est une belle femme, une très belle femme même. C’est une rousse enflammée aux courbes faisant saliver les hommes et jalouser les femmes, au physique robuste qui dit à la fois « regardez moi, je suis une femme forte et fière » et « la soit disant faiblesse féminine? Non merci! » et à la stature suffisante pour ne jamais se faire regarder de haut (sauf si vous êtes un géant, là c’est une toute autre affaire…). Est-ce là tout ce qui fait son charme et son unicité d’un point de vu corporel? Non, évidemment! Car bien que des attributs soient venus par la nature lors de sa conception et naissance subséquente, le gros de ce qu’elle est aujourd’hui lui vient de sa vie mouvementée qui n’a jamais été placée sous le signe qu’on lui destinait initialement. On peut parler d’au moins une cicatrice récoltée lors d’un combat qui a bien faillit lui coûter la vie (une balle dans les environs du cœur, cela a rarement un effet positif…), de quelques kilos de muscles imputables à une vie en constant mouvement et pleine de rebondissements et un regard qui en a vu énormément et pas que des belles choses. Il faut bien l’avouer, ce n’est pas en étant capitaine pirate que l’on voit des choses d’une rare beauté. Le sang, les trippes, les malades, les blessés, les morts et les mourants, ça oui par contre! Il ne faudrait pas croire que cela a désensibilisé la belle, loin de là même. Ce n’est qu’une motivation de plus à défendre ses valeurs et de vivre par ces dernières, sans jamais s’adonner à la prostitution intellectuelle pour un juteux contrat. Elle cherche d’ailleurs en général à éviter les conflits inutiles. Cependant, si vous pensez pouvoir lui marcher sur les pieds en la ridiculisant pour sa grande taille et son physique certes très féminin mais manquant de « délicatesse » (elle n’est pas du genre à avoir les mains douces ou l’habillement des femmes ou encore de porter bijoux et maquillage)…. Alors vous allez en avoir pour votre argent et plus jamais au grand jamais vous ne retenterez l’expérience. Car ce qu’elle n’a pas en « délicatesse », notre Freelancer l’a en force tant physique que de caractère! Elle sait qu’elle ne fait pas nécessairement très femme mais ce n’est pas vraiment une préoccupation pour elle. En fait, la pire hantise de cette femme (côté vestimentaire bien sûr) que les mauvaises langues qualifient de « garçon manqué » sont ces maudits corsets et ces robes qui réduisent tant la liberté de mouvement…
Ce qui surprend encore davantage chez elle (en dehors de son regard aux teintes d’un brun rouge qui lui a valu un « surnom » de démone par un prêtre) c’est cette espèce de magnétisme, de charisme ou d’aura de séduction qui semble la nimber, attirant l’homme moyen comme une flamme attire les papillons de nuit. Cette femme là est capable de prendre part à une bagarre de taverne et s’en sortir sans trop de mal, vaincre un petit groupe d’assaillant sans en sortir trop amochée et faire ravaler son orgueil et quelques dents aux grands durs qui voudraient bien se moquer d’elle… Et pourtant, certains continuent de la courtiser et tentent encore de la mettre dans leur lit. Mais elle n’est pas dupe : la vierge de feu sait exactement ce qu’elle est… Et ce qu’elle fait! .:.[ Caractère : Qu’est-ce qui peut faire d’une femme qui n’est même pas encore dans la trentaine une légende vivante et une Freelancer de si haut niveau? Évidemment, les origines aident beaucoup, tout particulièrement si on fait partie de la noblesse car bien souvent les nobles finissent en tant qu’officiers donc aptes au commandement et aux hauts faits mais il y a plus, bien plus : son sang, froid, sa détermination, son audace, sa dévotion envers ses croyances et convictions certes… Mais également une bonne dose de respect du genre humain, un sens de l’humour à toute épreuve, la capacité de motiver ses alliés aujourd’hui et ses subordonnés hier et bien sûr, beaucoup, beaucoup d’imagination. Sous des allures sévères qui ne servent que de masque pour conserver l’image stricte et froide de légende vivante et de vierge de feu se cache une femme pour qui la vie de femme indépendante et solitaire n’est pas une vie de privation mais bien au contraire tout ce qu’il faut à une femme pour continuellement se dépasser. Qu’est-ce qui pousse une femme à danser sur les toits glissants après une pluie diluvienne sans vêtements ni chaussures ni accessoires alors que les risques d’être vu ou pire de tomber et de se tuer sont énormes ou encore de porter assistance à des gens qu’elle ne connaît pas et ce au mépris du danger? Le sens du devoir, le patriotisme, l’héroïsme, la recherche de gloire? Que nenni, que nenni! Selon cette philosophe en herbe, c’est tout simplement pour éviter à d’autre un sort funeste ou l’envie pour le moins saugrenue de faire ce qu’elle fait. « Si un le fait, il y a fort à parier qu’il soit unique en soit sur terre, évitant ainsi à son prochain de faire les mêmes erreurs! » se plait-elle à dire avec un clin d’œil amusé.
Le sacrifice de pions pour le roi et la reine, la société bien pensante et le politiquement correct, diraient les amateurs d’échecs et de rectitude. Foutaises et billevesée, vous répondrait aussi sec Viviana Caterina. Le goût du risque et des défis forment la base même de la carrière qu’elle a choisit de poursuivre. Pour plusieurs, c’est une folle furieuse qui a choisit de suivre une telle voie pour éviter que de douce folie elle passe à meurtrière psychopathe mais ces mauvaises langues ont tout faux. Si ses origines auraient due d’office en faire ce qu’elle n’est définitivement pas présentement, c’est au milieu des gens du peuple qu’elle a commencé sa carrière et qu’elle a trouvé chaussure à son pied et ce ne sont pas les relations de sa famille qui en firent la Freelancer qu’elle est aujourd’hui mais bien un destin farceur et plein d’humour qui la destinait à plus que le moule conformiste des Renzo. Une vraie folle, indigne de son rang, une traîtresse à son sang? Si faire sa vie comme une femme, respecter son prochain s’il est noble ou important uniquement et ne pas vouloir tomber sans la facilité et renoncer à la difficulté sont les critères de ce qui font une noble, alors oui, Viviana Caterina est fière de ne pas être noble et d’être une sorte de renégat! Et qu’on se le tienne pour dit : ce n’est pas demain la veille qu’elle commencera à se prendre pour le nombril du monde et à mépriser les autres s’ils ne le méritent pas. Une ombre au tableau toutefois, car il n’y a jamais qu’un unique côté à une médaille : notre jeune amie est un pur produit d’athéisme. Elle ne croit en rien si ce n’est qu’en le potentiel de l’être humain. Oh évidemment, elle cache bien son jeu pour ne pas s’attirer les foudres des divers cultes… Pour elle, si les dieux existaient réellement, le monde ne serait pas dans un tel bordel! Car elle est têtue, notre ex capitaine pirate et c’est là un trait déviant de sa détermination sans borne. Ajoutons une certaine facette de sa personnalité dont nous ne parlerons pas ici (il faut bien garder une part de mystère et de surprise!) et vous aurez un portrait psychologique fidèle du personnage. Mais bon, peut-on blâmer un être humain d’être humain? À vous d’en juger!#. UN COMPAGNON ? Non, aucun#. AUTRES .:.[ Où avez vous connu le forum ? Double compte de Severia Palenix. .:.[ Comment trouvez-vous le forum ? Très prometteur. .:.[ Une volonté à nous demander ? Aucune. .:.[ Mot de passe : Ok par Kaleth
Dernière édition par Viviana Caterina Renzo le Jeu 17 Juin - 17:05, édité 2 fois |
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