Négociation guerrière [PV Jasphen/FINI] TERMINE

Mon entrée au royaume d'Amilian se fit dans une discrétion peu commune mais qui était logique pour une personne de mon rang. La Circonférence avait exacerber la méfiance entre les différents voisins et lancer le maître de guerre des légions de la peste a travers se royaume qui pourtant, sur les cartes, pouvait sembler l'un des plus tranquille. Otian avait la réputation d'être plus tolérante envers les sombre, ce qui lui permettrait d'être a l'abri un moment, mais Rugilian, nation belliqueuse et haïe par les légions du Chaos m'aurait semblait plus logique. Mais en même temps, je pouvais facilement comprendre ce choix, puisqu'il s'agissait du lieu de la Circonférence, qui serait le tombeau de l'idée d'un monde libre sans menace...La Peste avait fait son apparition de manière forte et brutale, sans sa cruauté impitoyable, Mortarion avait frapper sans aucune merci, transformant la modeste armée d'Amilian en véritable passoire a zombie. L'on ne sait trop pourquoi la légion avait finalement prit la retraite. J'ai entendu dire qu'au dernier moment, la Black Légion c'était retiré, laissant les troupes de la pestilence seule dans la bataille. Bien que sanguinaire, Mortarion, a l'image de son seigneur divin, était un homme prudent et naturellement défaitiste, il aura probablement jugé plus sage d'attendre le bon moment...Oui, cela ne pouvait être que cela...Mais la campagne était devenu moins sure, et il fallait maintenant passer les lignes de deux légions, puisque depuis la mort d'Abaddon, la légion noire était entrée dans une sorte de croisade d'autodéfense, recherchant a affirmer encore et toujours sa supériorité...La vérité était qu'ils ne s'étaient jamais remis de la mort d'Horus, mais ce n'était pas moi qui allait leur expliquer ceci...Enfin, je pense que tout ceci ne doit pas vraiment vous intéressez, ma personne et la raison de sa présence en ses lieux étaient bien plus intéressante que ceci pas vrai ? Je me trouvait aux portes de ce royaume afin d'aller a la rencontre d'un conseiller du nom de Jasphen. Ce dernier avait sollicité la présence d'un représentant d'Otian pour des négociations, probablement recherchait t'il des soutiens dans sa lutte contre la Death Guard, mais il ne trouverais rien en Otian, j'avais ordre de faire trainer un maximum la négociation, l'on craignait un assaut de Rugilian, et ainsi je ne pouvais me permettre d'offrir assistance a Amilian alors que bientôt, nous en aurions une nouvelle fois plein les bras avec Rugilian. Mais avant d'arriver au royaume, ses derniers devraient passer les lignes de la Black Légion. Moribonde et sans chef, elle était désormais l'association d'individualité très puissante, mais sans commandement cohérent, elle affaiblirait assez Rugilian pour nous permettre de sortir cette nation définitivement du jeu politique, je l'avais assurée a la reine, et je savais que mon supérieur ferait le nécessaire pour que cela soit fait...

Mais les gens d'Amilian ne comprendrait jamais ceci, il n'avait pas la subtilité nécessaire a cela. Amilian, la patrie d'origine de nombreux Malarian, ses guerriers stupides qui ne font qu'incarner une inquisition implacable contre nous, créature de l'ombre, mais dont le marteau inquisitorial frappe bien plus souvent les victimes de la corruption que les bourreaux eux même. Je les trouvais amusant, au même titre que la princesse Elys qui dirigeait actuellement le royaume. Je savais qu'ils ne m'appréciaient guère, et c'était cela qui les mènerait a leurs propres pertes : dans leurs fanatismes absolus, les Malarians étaient incapable d'accepter l'aide dont ils avaient tant besoin pour vaincre leurs ennemis, et ainsi, ils participaient sans même le vouloir a l'instauration d'un Chaos absolue sur Erade. Comment cela ? Vous songez que cela m'arrange ? Qui sait ? Je suis un ange de la mort, certes, mais j'ai moi aussi une âme et un cœur...Bon je ne suis pas crédible, alors je reprend mon récit. La frontière n'était même plus gardé, j'étais assez choquée de découvrir les dégâts causé par la marche forcée des troupes de la pestilence qui avait foulée ses contrées. Pourtant, je poursuivait mon chemin, évitant les troupes de la légion. Je ne voulais pas qu'il me repère, afin que personne, hormis les gens d'Amilian, d'Otian, et mon supérieur, ne sache que je suis ici. Je suis encore libre de mes mouvements, et ce n'est pas un être aussi obtus qu'un maitre de guerre commandant des zombies qui va m'empêcher de parvenir a mes fins. Une fois la ligne de front traverser, avec une furtivité faisant honneur a ceux de ma race, je prit le chemin de la cité d'Amilian, évitant cette fois les Malarians qui était sur les dents ! C'est en arrivant au château que j'abandonnais mes précautions, me laissant même arrêter par des gardes. J'étais un elfe de pénombre, et ainsi, beaucoup pensait que j'étais avec l'ennemi, bien qu'aucun elfe ne s'abaisserait a vénérer un être aussi répugnant que le seigneur de la maladie. Toutefois, lorsque je fournit tous les papiers officiels que la reine d'Otian avait elle même signée, les regards se firent moins méfiant, bien que profondément hostile. Les Malarians avaient bien du mal a retenir leurs instinct de guerrier, et par pure provocation, je soufflait un baiser a un jeune d'entre eux qui avait regarder ma poitrine d'une manière qui me plaisait particulièrement...Faisant perdre patience a l'un d'eux, qui fut retenu par trois de ses camarades pour qu'il ne m'embroche pas.

« Allons messire, je suis sure que vous ne voudriez point crée d'incident diplomatique. Si je ne revint point en un seul morceau, notre souveraine risque d'être en colère, je suppose que les troupes de la pestilence vous suffisent en adversaire... »

L'homme poussa un grognement, même si j'étais en quelques sorte la prisonnière dans cette pièce, entourée par des arcs et des épées, personne ne pouvait lever la main sur moi, j'avais l'avantage et j'en abusais de manière pratiquement malsaine, m'amusant beaucoup a jouer avec les nerfs de ses guerriers qui me dérangeais particulièrement. Un simple garde vint m'annoncer que le conseiller ne tarderais plus, me permettant d'engager les négociations. Je prit donc place sur un siège assez chic pour convenir a mon rang avant de croiser mes longues jambes fuselée en m'enfermant dans une profonde réflexion. Ce nom, je l'avais déjà entendu a une époque ou je m'étais fondue dans la masse d'Amilian, sous un autre nom que celui ci bien sur. Je tenais un poste de serveuse dans un bar, quelque chose d'assez miteux, mais qui me permit de mieux connaître la culture de l'homme moyen, celui que les légions devraient affronter sur le champ de bataille. Toutefois, impossible de me souvenir ou j'avais vu ce guerrier. Je n'étais guère née de la dernière pluie, si j'avais été humaine, et sans influence du Seigneur des Plaisirs, je serait décédée depuis longtemps, mais maintenant, ma vie serait pratiquement illimité, du moins tant que je ne serais point éliminée, voilà la bénédiction d'être un Elfe...Incapable de faire fonctionner ma mémoire correctement, je me décidait a attendre l'arrivée de cet homme, sans savoir que j'allais discuter avec un être aussi vieux que le monde, plus âgé encore que mon Seigneur ou que Mortarion, qui était pourtant déjà présent, en tant qu'être de chair et de sang, aux cotés du sorcier Anémonius a l'époque de son règne, une époque ou je n'étais même pas née...

Nombre de messages : 109 Age : 31 Camp : Athlan Date d'inscription : 15/05/2009

Aujourd'hui, je devais recevoir en ce beau palais la conseillère du roi d'Otian. Avant de la faire venir, je m'étais renseigner sur elle et sondait ma mémoire. Son nom est Morathi, et elle était une elfe de la pénombre originaire des Terres oubliées. Les rumeurs disaient que le prince Azure avait pactisé avec les forces du mal ! Pensées qui pourrait s'avérer exacte étant donné qu'il passait de plus en plus de temps dans les Terres oubliées ! Les rumeurs disaient aussi que Rugilian envahirait Otian en croyant que ce dernier a assassiné son monarque. Des rumeurs qui peuvent être tout à fait exacte et menacerait la paix que je voudrais installer en ce continent. Je pensais que ma mission était plus au moins accompli dans le royaume d'Amilian jusqu'à que les troupes ne décide de nous envahir ! Fort heureusement, les Malarians les ont repoussé loin de nos frontières. D'ailleurs, les malarians n'étaient pas rentré en jeu depuis fort longtemps et ce soudain revirement m'inquiéter, car en effet cela voulait dire que le mal était tout près de nos portes et qu'il pourra les ouvrir dès que le bois s'usera. Ce pourquoi, l'alliance des quatre royaumes pour vaincre les méchants était des plus urgentes. Et cela, j'avais beau le répéter lors des réunions du conseil, Milos faisait mine de ne pas entendre et, malheureusement, je ne pouvais pas grand chose face à cet être diabolique. Le Chancelier tentait, et cela je le savais depuis fort longtemps, de renverser le roi d'Amilian et d'évincer la princesse Elys. Et d'ailleurs, je faisais de mon possible pour qu'il ne puisse pas arriver à ses fins ! Mais ne nous écartons pas du sujet et revenons à nos griffons.

Un Malarian vint m'informer que la conseillère était arrivé, tant mieux, je commençais à m'ennuyer mais non à m'impatienter. En effet, après avoir vécu des millénaires, on pouvait toujours attendre des jours. Le temps n'avaient pas de percussion pour moi tant que chaque chose y entrer. Aujourd'hui, j'étais habillé d'une tunique au teint rouge pâle à sang et une cape était posé sur mes épaules. Certes, je n'étais pas aussi influent dans le royaume que le premier chancelier, mais j'appose ma stature. Je suivit ce dernier jusqu'à la pièce où m'attendait Morathi. Cette dernière assise sur une chaise assez chic, me rappela une petite elfe de la pénombre que j'avais déjà vu des centaines d'années plutôt. C'était peut être elle ?! D'un signe de la main, je signifiai aux gardes qu'ils pouvaient nous laisser seul sans aucun danger. Je savais me défendre par mes propres moyens aussi.

- Bienvenue au palais d'Amilian, Morathi !

Finalement, le conseiller fit son apparition, et force était de constater qu'il en imposait ! Je me levais et le salua d'un signe de tête tandis qu'il me souhaitait la bienvenue. En demandant un représentant d'Otian, il avait probablement espérée autre chose qu'un elfe de la pénombre, mais la reine avait cru bon de m'envoyer moi. Peut-être que le frère d'Azure pensait que je ne passerais guère les lignes ennemis, mais soit, c'était bien mal me connaître. Apparemment, le pire était passé, en tout cas c'était la pensée qui dominer ce château, mais je connaissais assez la légion de la peste pour savoir qu'à moins d'un événement vraiment particulier, il ne renoncerait pas aussi facilement ! D'ailleurs, finalement, je me moquait de tout ceci, l'important n'était pas la. Il fallait savoir ce que cet homme attendait réellement de moi. Tendant une main en vue de serrez la sienne, j'offris a cet homme séduisant l'un de mes plus beau sourire tandis qu'il congédier ses gardes, nous laissant seul a seul. Bien, c'était un homme confiant, puisqu'il songeait pouvoir se défendre seul contre moi si je me révélé être une adversaire, cela était un bon point pour lui que je ne pouvait que souligner ! Mais son visage ne me rappelait vraiment rien, alors que son nom, et surtout, quelque chose d'autre, comment définir ceci pour que les simples mortels qui lisent ses lignes comprennent mon sentiment...Je ne saurait dire, mais j'étais sure d'avoir déjà croisé cet homme par le passé ! Toutefois, il me semblait inutile d'en faire mention, car ce n'était pas l'objet de cet entrevu, peut-être plu tard, lorsque les questions essentiels auraient été réglé, je pourrais aborder cette question qui restait en suspens dans ma tête, mais pour l'instant, je me concentrait sur autre chose : la politique ! Il avait une poignée de main ferme, a l'image de son physique mis en valeur parfaitement par sa toge rouge...Hum il était a croquer, mais je n'aurais guère le temps de le draguer...A charge de revanche ! Il me fallait d'abord toutefois marqué le coup concernant mon entrée, qui fut difficile plus a cause des Malarians qu'autre chose, je pouvais d'une certaine manière les comprendre, mais j'avais tout de même le droit de protester un minimum, au moins pour la forme, surtout que j'avais toutes les autorisations nécessaire.

« C'est un plaisir seigneur Jasphen, toutefois, je regrette que vos troupes se montrent bien moins accueillante que votre personne, mais passons, le voyage fut difficile, j'ai du emprunter des routes annexes pour faire un voyage sur, j'ose espérer que mon retard sera pardonnée. »

J'accompagnais cette affirmation particulièrement bien tournée d'un sourire franc et magnifique, le genre de sourire qui ne pouvais être remise en question, j'avais un certain don pour cela, puis je croisais les bras sous ma poitrine, probablement par habitude, et puis cela mettait en valeur mon décolleté, et même s'il était conseiller, il était un homme comme un autre, je suis sur qu'il ne se plainerait pas d'avoir ce genre de vue ! Il me fallait aborder les questions politiques et stratégique. Il était quelque part dans mon intérêt qu'Amilian puisse résister un maximum de temps contre la Death Guard, car tant que les Malarians devait combattre sur leurs terrains, ils ne pourraient intervenir ailleurs, ce qui me laissait une belle marge de manœuvre ainsi qu'aux autres Légion. Mon but n'est pas la victoire mais le Chaos absolue ! Ainsi, en installant une guerre de manière durable dans une région, je crée un point de fixation qui laisse la place a mes compères d'en faire d'autre ailleurs...Mais d'un autre coté, je ne pouvais laisser les légions de la peste prendre l'ascendant sur le royaume, car cela ne ferait que renforcer ses troupes. Déjà que chaque mort d'Amilian était un soldat de plus pour les chaotiques, alors autant ne pas en rajouter...

« Mais sortons des politesses d'usage si vous le voulez bien, je pense que vous ne m'avez point fait venir jusqu'ici pour discuter de tout et de rien. J'aimerais savoir dans quel mesure notre royaume pourrait vous êtes utile, dans le sens ou vous semblez avoir maitriser la situation sur le front. »

Mais la peste se répandait, ce qui n'était pas bon...La maladie était un signe que les chaotiques n'avaient pas abandonner le combat, mais je doutait que l'homme sache vraiment a quels danger ils étaient exposé, cela faisait trop longtemps que les citoyens d'Erade ne se préoccupait plus des évènements des terres oubliées pour se complaire dans leurs petites guerre interne. Et quel manière plus simple et plus lâche que de se dire qu'il n'y avait aucun problème, afin d'avoir l'esprit tranquille, reporter les problèmes qui pourraient être régler le jour même au lendemain, laisser cette responsabilité aux générations future...Voilà ce qu'avait fait Erade pendant des années ! Aujourd'hui, cette génération ne pouvait ce permettre ce luxe, et j'étais bien curieuse de voir comment il comptait régler ce problème...

Nombre de messages : 109 Age : 31 Camp : Athlan Date d'inscription : 15/05/2009

En demandant un représentant d'Otian, je voulais m'assurer si le couple royale faisait assez confiance à certains de ses sujets pour les envoyer à ma demande. Et c'était malheureusement le cas ! En effet, depuis la nuit des temps je me méfiais de certaines races dont les elfes de la pénombre que je vois comme le contraire absolue des elfes du soleil. Morathi me tendit une main pour que je la serra sans doute, ce que je fis sans trop m'y tarder et sans plus d'autre usage je lâchais sa main, d'ailleurs le contact y était doux comme pour la plupart de ces elfes. En critère de beauté, les elfes étaient devant tous et les démons en fin de liste avec les nains peut être. Mais je ne devais pas céder face à cette femme, mes années d'expérience m'ont appris à m'en méfier car elles sont les plus dangereuses de tous les êtres maléfiques alors que d'autres sont un exemple de bonté. Morathi avait était retardé ce qui était compréhensible, et les Malarians l'ont sans doute arrêté malgré ses papiers signés. Ils se méfiaient d'elle, et ils l'auront sans doute abattu si j'avais mis du temps à venir. L'elfe de la pénombre protesta contre cette accueil, ce qui me déplut mais je ne le montrais pas évidemment, les malarians avaient sans doute raison et je leur faisais confiance pour la sureté du royaume. Toutefois, je prit la peine de la rectifier de façon polie et en l'excusant aussi, amusé.

- Les Malarians sont méfiant, et ils ont raison. Mais je vous pardonne.

Et avec sa phrase, un sourire l'accompagna. Je connaissais ce sourire pour l'avoir vu au cours de ma longue existence sur le visage de plusieurs femme et même de certains hommes, j'avais appris à ne pas y céder et de revenir sur mes paroles après l'avoir vu. Et d'après le comportement de la conseillère, je déduis qu'elle devait être fortement habile au jeu de la séduction, et qu'elle tentera sans doute d'y jouer avec moi. D'ailleurs, elle croisa ses bras sur sa poitrine ce qui eut pour but de mettre en valeur son décolleté ! Certes, j'étais un homme, et avoir ce genre de vue m'arrachait souvent un sourire comme à présent. J'étais habile dans ce genre de jeu moi aussi, et je choisis toujours des corps bien bâti et à la beauté rare pour y loger mon ka. Oh bien sur je ne cédais jamais ce que j'avais en tête par tous les moyens, mais quand une femme essaie de me mettre dans ses filets, j'aime jouer le jeu faisant croire à mon adversaire qu'il avait gagné alors qu'il en ai tout autre. Morathi voulait venir directement au sujet de sa convocation et ce n'était pour me déplaire. Reprenant un air sérieux, je lui répondis.

- En effet, comme vous le savez la peste agit en ce royaume et j'aimerais bien écouté vos conseils à ce propos.

Oh cela est une raison mineure de sa venue ici, au fait, en la convoquant, comme je l'ai dit plus haut, je voulais m'assurer de l'entourage d'Otian. Peut-être qu'elle allait se douter de quelque chose ?

Cet homme était méfiant, j'avais le sentiment d'être tombée dans un piège grossier. Pourtant, son sourire était agréable et il n'avais rien d'impoli, mais sa manière d'excuser les Malarians m'avais quelque peu irritée...Et je ne pouvais me défaire de cet impression de déjà vu qui hantait mon esprit, mais que voulez vous, j'étais probablement trop gentille, et je n'accueillit ses remarques que d'un petit sourire angélique contrastant avec ma race, mes responsabilités, et enfin mon teint de peau si pâle et si sombre a la fois. Qu'importe dans le fond, du moment que je parvenais a mes objectifs, tout serait dans l'ordre. Je me demandais jusqu'où le royaume d'Amilian était t'il prêt a aller pour remporter la bataille contre la peste, et jusqu'où irait Mortarion pour écraser la résistance des Malarians et de l'armée régulière qui lui faisait face. Connaissant le second, je ne doutais pas que ses méthodes seraient violente et expéditive, mais il n'avait pas, a ma grande surprise, employer ses pires moyens lors de la circonférence...Jasphen me laissa d'ailleurs dans les réflexions lorsqu'il me demanda des conseils concernant l'épidémie de peste qui ravageait la région. Il fallait que je l'aide un minimum, sinon ma présence n'aurait aucun sens, et puis c'était la mission que ma souveraine m'avait confiée. L'on m'avait envoyée ici justement parce que j'étais une Elfe de la pénombre, et que parmi le royaume d'Otian, j'étais celle qui était le mieux renseignée sur les terres oubliées. Ce qui signifiait qu'il y avait une volonté royale de voir le royaume continuer a lui faire confiance, d'autant plus qu'Airian ne pourrait probablement pas nous aider, et que nous risquions une attaque de Rugilian. Ce n'était vraiment pas le moment de nous mettre Amilian a dos, d'autant plus que ses derniers en avait déjà plein les bras ! Je sorti donc de mon baluchon une carte que je déployait sur une table. Elle était particulière, puisqu'elle était magique. En récitant une petite formule, je faisait apparaître les zones contaminé en vert, et dans un vert encore plus foncé les positions supposée de la légion de la peste. En bleu, les zones saines, en rouge les Malarians, et en Cyan, les troupes régulière d'Amilian, de cette façon, grâce au symbole, Jasphen ne serait point perdu.

« J'espérais bien que vous en parliez, la souveraine n'a pas envoyée une ancienne pensionnaire des terres oubliées pour vous offensez, mais je suis la personne la mieux qualifiée pour vous renseignez sur ce qui vous attend. Vous faite face a une horreur qui n'a pas de commune mesure avec les guerres qu'Erade a connu ses derniers siècles. Concernant la peste en elle même, je n'est qu'un conseil a vous donnez : abandonner les rites funéraire : brûler les cadavres et les zones contaminé ! N'enterrez surtout pas les grands guerriers avec leurs meilleurs armes, ou elle se retournerons contre vous un moment ou un autre ! Ah les position indiquée sur cette carte sont théorique par rapport a ce que j'ai put entendre ici et la, je ne sais pas si elle sont encore d'actualité ou non... »

Je ne pouvais que difficilement être plus alarmiste, mais mon conseil était bon. Il ne pouvait évidement savoir si je disais vrai ou si je le dirigeait vers une fausse direction, mais je savais en tout cas que cette idée aurait du mal a faire son chemin en terre d'Amilian. Tout simplement parce que le peuple était attachée a l'idée d'enterrer ses morts, que les nobles n'accepterais pas de voir leur dépouille brûler plutôt que de partir en terre en armure et avec un équipement complet, et que les Malarians refuseraient en bloc une suggestion venant d'une Elfe de la pénombre. Si Jasphen comprenait le bon sens de ma remarque, il aurait bien du mal a l'imposer, et je ne lui serais d'aucune aide, puisque ma présence ne ferait que la décrédibilisé. Bien que je n'en sache rien, Milos, le chef de cet homme, risquait également de s'opposer a cette décision, car il était dans son intérêt de voir les légions de la peste vaincre l'armée régulière et les Malarian pour affaiblir la famille royale et monté sur le trône...J'en avait déjà plein les bras avec le jeu politique d'Otian, je ne pouvais pas m'intéresser en même temps a celui d'Amilian, j'avais quitter le royaume il y a trop longtemps pour connaître cet homme. Une difficulté a laquelle je n'avais même pas songé...Qu'elle misère !

« Tant que la maladie sera active, vous aurez a craindre une attaque...Je vous déconseille d'essayer de soigné par traitement la maladie, cela ne fera qu'encourager le virus a changer de forme pour devenir plus virulent encore...Contentez vous d'isolée de tout les zones contaminé ! A votre place, c'est ce que je ferais. »

J'avais un regard plus grave, montrant que j'étais sérieuse, histoire de ne pas être prise pour une affabulatrice, mais encore une fois, le choix de me faire confiance ou non lui revenez, et les dispositions que je lui avait conseiller pourrait même le révolté dans le cas ou il serait réellement un fanatique des Malarians...Je croisais les bras de nouveau, par habitude, attendant qu'il me réponde...

Nombre de messages : 109 Age : 31 Camp : Athlan Date d'inscription : 15/05/2009

La peste ravageait tout sur son passage, elle tuait les enfants et décimait les familles, étranglait les mères et chassait les pères. La peste est redoutablement redouté et a frappé notre contrée comme l'orage. J'écoutais attentivement les conseils de l'elfe de la pénombre sans brancher. A vrai dire, c'était ce à quoi je m'attendais et à quoi j'avais penser. Donc au fait, Morathi ne m'avait informer de rien en particulier sauf que Otian faisait confiance aux elfes de la pénombre qui étaient de mauvais conseil, de très mauvais conseil. Je regarda Morathi d'un œil distant réfléchissant à ce qu'entrainait tout cela. Je ne pouvais pas anéantir le Mal pour que la paix persiste car je risque de détruire le Bien avec et créer le Néant, ce que je ne voulais pas. Il n'y a aucun doute que le prince Azure est impliquée dans des affaires compromettant la paix avec Rugilian et même avec Otian lui même. Ma prochaine mission consistait donc à aller voir le prince pour en savoir plus et l'assassiner si c'est nécessaire. En effet, j'avais développer l'idée de repousser toute les races néfastes aux terres oublié et de bâtir avec l'aide des cinq royaumes une longue et haute muraille magique les séparant de nous. Oui, cela resté le dernier recours pour préserver cette paix en ce continent.

De nouveau, je regarda Morathi qui avait de nouveau ramener ses bras sur ma poitrine. Un léger sourire contrasta avec la mine inexpressif qu'avait pris mon visage. Elle devait sans doute penser être tomber dans un piège grossier, et c'était malheureusement le cas pour elle. Dans une semaine,je devrais me préparer pour mon voyage à Otian et, veiller que je laisse le royaume sans danger de l'extérieur. Je répondis seulement à Morathi par quelques mots, attendant de voir sa mine après cela.

- Merci pour vos précieux conseils, c'était la raison pour laquelle je vous ai demandé et je vois que je n'ai pas eu à le regretter.

J'avais assez d'expérience diplomatique pour me rendre contre quand je tombais dans la toile d'une araignée, mais toutefois, je n'étais pas le genre de femme a laisser tomber comme cela a la première banderille ennemi, aussi, mon visage ne laissa rien paraître d'autre que le sourire diplomatique de circonstance. Après tout, même si j'avais clairement vu qu'il avait prononcer cette phrase d'une manière assez ironique, je n'allais guère abandonner de sitôt l'image de la femme repentie qui offrait ses connaissances aux royaumes contre ses propres compatriotes. De toute manière, je lui avais offert son seul moyen de défense contre les forces qui l'assaillent, il n'y avait rien a faire d'autre ! Cet homme courrait droit au désastre s'il ne me faisait pas confiance, mais je n'allais pas le forcer non plus. C'était a lui de voir s'il voulait sauver son royaume, quitte a suivre les conseils d'une personne qu'il considéré comme mauvaise, ou s'il préféré laisser son royaume dans la ruine pour respecter ses doctrines racistes...Le fait que ses personnes, qui se détermine comme le bien, soit aussi xénophobe me dépassais, mais d'une certaine manière, je pouvais les comprendre également, vu comment la haine était développer de l'autre coté de la frontière, mais a qui la faute ? La question méritait d'être posé...Quoi qu'il en soit, je n'étais guère présente pour lui faire la morale, mais lui faire réaliser le danger qu'il courrait sur un long terme, c'était ce que la souveraine d'Otian m'avait demandée et je comptait bien ne pas faillir a mon devoir. Toutefois, je savais bien que cet homme ne me laisserais guère l'opportunité d'engager une véritable conversation, je sentais qu'il voudrait probablement me congédier au plus vite, ce qui était d'une certaine manière très décevant. Refermant le parchemin, dissipant le sort qui montrait la position des unités en même temps, je le rangeait de nouveau avant de prendre la parole.

« Mais ce fut un plaisir... »

Aucune expression particulière. S'il s'attendait a me voir grimacer ou affichait une mine déconfite, c'était complètement raté ! De toute manière, que pouvait cet homme seul contre le royaume d'Otian ? S'il se plaçait du coté de Rugilian, les bellicistes, alors l'on pouvait dire très facilement qu'il n'était pas un partisan de la paix. J'avais adhéré a une utopie parfaite, je voulais y croire malgré tout, un monde nouveau ou personne ne fermerais les yeux sur les autres, ou enfin, tout le monde pourrait vivre ensemble, mais apparemment cet homme n'y croyait pas. Il faisait parti des sceptiques, des fanatiques absolu, de la trempe des Malarians, qu'il me faudrait vaincre pour parvenir a imposer ma vision des choses. Mais ce n'était pas le genre d'adversaire qui pouvait être vaincu sur le terrain du champs de bataille, pas totalement en tout cas. Le débat d'idée, la politique et le pouvoir des mots, cela pouvait être souvent bien plus mortel que la pointe d'une lance ou le tranchant d'une épée. Mais il était un conseiller également, c'était donc une chose qu'il connaissait aussi bien que moi, cela je n'en doutait pas. Toutefois, je n'allais point abandonner ainsi, et lui montrer que j'avais conscience des difficultés qu'il allait connaître s'il décidé de suivre ma voix.

« Je sais très bien que ses mesures ne sont pas très acceptable du point de vue de la morale collective, mais je fait partie des personnes pensant que l'union sacré et le sacrifice sont nécessaire lorsque la menace devient trop dangereuse. Ne soyez pas inquiet, je sait très bien que ma présence n'est point apprécié ici, aussi, je ne m'attarderez point en ses contrées, a mon grand regret cependant, puisque j'aurais aimée allez en ville savoir si quelques uns de mes amis sont toujours vivant. Mais il me reste une question a résoudre... »

Pour une fois depuis le début de l'entrevue, j'étais décidée a crevez l'abcès, de cette façon, il se douterais bien que je n'étais point dupe et que je savais a quoi m'attendre ! Je posait une main sur la hanche, l'observant attentivement, fouillant ma mémoire désespérément a la recherche de son visage. Mais ou j'avais put rencontrer cet homme auparavant ? C'était un humain ! Cela ne devait donc pas faire très longtemps, a moins qu'il ne soit initié a ce savoir...Dans ce cas...Cela changeait tout ! Mais seul le Seigneur Fulgrim connaissait ce secret, ainsi que d'autre maitre de guerre, je n'aurais jamais cru qu'il y en est d'autre...Ceci pourrait expliquer cela, mais je voulais m'assurer qu'il saurais que je n'était point une idiote a sous estimée. D'une certaine façon, je voulais l'amener a être prudent, si cela devenais trop facile, ce ne serais point amusant, et je ne voulais pas m'ennuyer...

« Dite moi, j'ai l'impression de vous connaître. L'on ne se serait point déjà rencontrer ? »

Voilà, la question était posée, restait a savoir comment il la prendrait et il allait répondre. Je n'étais pas l'une de ses créatures stupide ne pensant qu'à collecter le sang, d'ailleurs, il était assez rare que les êtres des terres oubliées soit ainsi, mais ce genre de chose, ses personnes ne seraient jamais apte a le comprendre...

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Une question franchi ses lèvres. « Dite moi, j'ai l'impression de vous connaître. L'on ne se serait point déjà rencontrer ? », elle ne m'avait sans doute pas reconnu en étant immortel mais elle devait se poser des questions. Des questions que je n'aimerais pas répondre mais j'y étais obligé pour ne pas révéler mes origines. J'avais gardé le secret depuis, on va dire cinq cent ans avant la mort du roi Erade Ier, car les humains pensent que cette race a disparu depuis des lustres et mon rôle sur cette terre n'était pas de les effrayer, mais de les protéger. Sur mon visage de marbre rien ne laissa apercevoir ma surprise, mais un simple sourire énigmatique que je devais garder. Sachant qu'il n'y avait personne dans la pièce, je me rapprochais de Morathi pour n'être plus séparé d'elle seulement de quelques centimètres. J'étais plus grande qu'elle et avait une vue plongeante dans son décolleté mais je n'y laissa mon regard qu'une seconde ou deux avant de lui murmurer dans l'oreille dans un souffle chaud.

- Personne ne connait ma véritable nature dans ce château. En vérité, je suis un Immortel au service des ombres. Ce pourquoi on s'est surement rencontré dans les Terres Oubliées.

Puis je reculais d'un pas laissant une distance assez respectable entre nous, j'attendais de voir sa réaction mais n'y tenant plus, enfin façon de parler, car j'orchestrais ces évènements pour pas que la petite elfe ne devine ma nature véritable. J'avais appris à mentir et les plus redoutables mensonges sont ceux où est implanté une parcelle de vérité. Donc pour donner le vraisemblance à ma plaisanterie ou plutôt moquerie, je parti d'un rire éclatant. Doux et caressant, il n'avait perdu nullement de sa beauté par son invraisemblance. Bien cela devrais suffire pour que Morathi n'ait plus aucun doute sur moi, car c'est ce que je cherchais ! En reprenant le nom de Jasphen, le tout premier, je ne pensais pas qu'il était encore connu de certaines personnes ! Rare sont ceux connaissant ma véritable nature, car la plupart étaient mort depuis des lustres et des décennies. J'avais toujours mon sourire taquin sur mes lèvres, attendant la réaction de mon interlocutrice. Sera-t-elle furieuse ou le prendra-t elle avec joie ? J'espérais sincèrement la deuxième option, mais si l'idée qu'elle repartent contrarié ne me gêne nullement. C'était une question de principe que je m'efforçais de respecter. Sans m'en rendre compte, la distance nous séparons se réduisit une nouvelle fois sans motif bien valable. Mon regard vint rencontrer le vide de ses yeux, non pas qu'elle était aveugle mais seulement par caprice je parie. Cette fois-ci j'attendais deux réactions, même si la deuxième ne m'était pas en tête car je me rendis compte de la proximité de nos deux corps qu'une fois mon regard dans le sien. Enfin bref, laissez tomber retenez seulement que j'étais tout proche d'elle.

Ce n'était point un caprice, simplement une conséquence d'une exposition bien trop forte aux arts chaotique, mais cet homme ne savait pas par quoi j'étais passée pour en arrivé la après tout. Je soutenait son regard avec un sourire assez sadique aux lèvres. J'avais l'impression d'être dans la divine comédie. D'abord, il se montrait comme un défenseur des Malarians et maintenant que je n'avais pas hésité a transmettre mes doutes, il se faisait passé pour un serviteur des ombres afin de m'endormir. Je devais admettre que j'avais un doute, car le fait qu'il trouve mes conseils avisé prouvait qu'il était un minimum renseigné. De plus, il aurait pu être hostile en mon égard en songeant que je n'étais qu'une traitre a ma véritable cause. Mais d'un autre coté, cet homme ne dégageait pas l'énergie des serviteurs de l'ombre. L'une des solutions possible est qu'il soit l'un des nombreux serviteurs de l'architecte du changement, mais il y en avait tant que je décidais de prendre le temps de la réflexion pour savoir exactement a quoi m'en tenir avec lui. Ainsi, je suivais une procédure standard : montrer un contentement afin de ne point éveiller les soupçons. Encore une fois, je n'avais rien a craindre de mon coté, si je passais pour une fausse conseillère ne servant que les terres oubliées, le royaume d'Otian ne serait point impliqué et j'aurais réussit ma mission...Tout ici était devenu une affaire de faux semblant, hormis l'attraction laissé par mon corps qui l'avait poussé a se rapprocher de moi, lui offrant une vue plongeante sur mon généreux décolleté. Mais je restait totalement de marbre, observant son regard comme il sondait le mien a la recherche de ma réaction, bien que la magie le rendait totalement inexpressif. Il devait se contenter des traits de mon visage, affichant une moue de satisfaction, pour toute réponse. Il devrait faire avec, mon regard était incapable de montrer quelque chose, je n'avais pas encore apprit a contrôler les courants magique qui passait devant mes yeux, et a vrai dire, je n'en ressentais nullement le besoin.

« Amusant...je comprend mieux. Soyez assuré que votre secret sera gardé... »

A moins que le courant chaotique change...Les dieux du Chaos étaient parfois si capricieux, ils changeaient d'avis très souvent quand cela les arrangeaient et en réalité ne roulait réellement que pour eux même ! Mais le secret de ses légions perdues depuis des siècles n'étaient plus connu que de très peu de personnes, voire tout simplement personne, même les immortels n'en avait point connu les usages. Autrefois de grand guerriers aux services d'Erade, abandonné par leurs roi pour qui ils avaient combattu pour n'obtenir qu'un silence de mépris, aujourd'hui, les dieux les couvraient de louanges, de don, et leurs offraient Erade tout entière ! Il faut bien le dire, la voie du Chaos offrait des facilités que personne ne pouvait comprendre en dehors du cercle initié aux rites de la ruine ! Je n'allais pas en finir ainsi, après tout, nous étions dans une sorte de duel de la manipulation, et il me fallait montrer que je n'avais point l'intention de me laisser marcher sur les pieds. Il avait de bout en bout mené l'entrevue, je ne l'avais coincé que sur quelques failles soigneusement choisie, j'allais abattre ma dernière cartouche avec une belle promesse avant de me retirer, car il fallait bien partir un moment ou un autre n'es-ce pas ? Je prenais l'initiative de passer l'une de mes mains sur sa joue, la caressant affectueusement...Une dernière promesse avant le départ, faite de délice et de volupté, je savais qu'il ne saurait être indifférent aux charmes féminins, comme tous les immortels de manière générale, ils ne savaient point se montrer assez doué pour maintenir leurs pulsions, comme les autres races d'une certaine façon...La faiblesse de la vie sera toujours se désir satirique et atavique de transmettre sa semence, a nous rendre malade...Ce qui permettait au prince des plaisirs, le grand Slaanesh, de tenir tous le monde sous sa coupe...Ses fidèles apprenaient a utiliser leurs charmes afin de tromper leurs ennemis.

« Le temps me manque, mais promis, je vous offrirez de bon moment la prochaine fois...Si vous voulez bien m'excuser, la reine m'attend... »

Mon sourire étant presque devenu inquiétant alors que je laissais mes lèvres frôlé les siennes par une sorte de défi, avant de faire demi-tour et de quitté le château...Faire halte ici ne m'intéresser pas, je connaissais assez de personnes qui m'offrirait un cadre accueillant et reposant au lieu de se château ou tout le monde me regardait avec suspicion. Je n'avais même pas prit la peine de me retourner après la petite courbette d'usage, laissant majestueusement mon corps sortir de la pièce avec un pas parfaitement cadencé...Mission accomplit ! Restait a savoir comment Amilian prendrait ceci bien évidement, mais je ne pouvais rien faire de plus pour l'instant...