La destinée de l'Erade
Bienvenue à toi, étranger !
Œuvre du hasard ou du destin, tu viens d’arriver aux portes d’un monde nouveau, celui d’Erade ; un univers aux secrets innombrables où cohabitent des cultures différentes et où la magie se lie à chaque être, dés sa naissance. Tu connaitras l’amour, l’amitié et de grands moments que tu n’oublieras jamais mais aussi de la tristesse, une noirceur dont tu ne te connaissais pas l’existence et qui sommeille pourtant en toi. Ce monde possède des horizons différents, des histoires liées entres elles et tu apprendras par la suite que rien n’arrive par hasard. Tu peux fuir ou rejoindre l’aventure mais n’oublie jamais qu’ici, chacun de tes actes changera le cours de notre histoire, celle que l’on écrit tous ensemble, la destinée de l’Erade.
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 Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath]

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Belgarath

Belgarath

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Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] _
MessageSujet: Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath]   Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] Icon_minitimeDim 10 Jan - 17:46

Ces événements se situe après la mort d'Azure d'Otian et après le banquet

Qu'est ce que je faisais ici? Qu'est ce qui m'avait prit t'entreprendre ce voyage dans cette partie du monde? Au lieu de passer plus de temps en Otian, au lieu de passer plus de temps avec Luhiel, j'avais été piqué de je ne sais quelle folie et j'étais partis, ne laissant sur la table qu'un simple petit mot à l'intention de Luhiel, j'osais espérer qu'elle me comprenne, qu'elle comprenne une folie que même moi je ne pouvais comprendre, mais après tout, pourquoi pas, peut être m'avait elle senti partir et avait elle décidé de me laisser faire.
Ce qui m'avait amené ici n'était autre que cet étrange caillou de forme ovale que j'avais trouvé au début de mes aventures, il avait toujours eu un reflet bleuté et qui semblait vouloir m'emmener ici, faisant résonner en moi une étrange mélodie, comme une sorte d'appel, voilà plusieurs jours maintenant, presque deux semaines que j'avais quitté le citée des milles flots pour m'engouffrer dans ce labyrinthe de glace et de roc de la vallée, étant parfois obligé de crapahuté dans des endroits que je ne pensais pas accessible, Arianna avait bien grandit, elle était désormais l'image d'une petite fille de deux ou trois ans, comme avait elle put grandir si vite je ne le savais, mais dans ses montagnes, elle avait reprit sa forme de phénix afin de pouvoir me guider et de ne pas être un fardeau pour moi.

Nous nous entendions relativement bien, elle et moi, parfois son caractère féminin reprenait un peu le dessus et vu qu'elle parlait à peine et très peu, cela m'évitait à avoir de longue discussion avec elle et son caractère de cochon. Sous sa forme de phénix, elle était encore jeune également, mais sa puissance n'était pas négligeable, elle comme moi avions beaucoup murit ces derniers temps, depuis la rencontre avec Thanos, depuis la rencontre avec les nymphe, depuis que nous avions parlé au prince d'Orient, j'avais pris en partit conscience de ce que je représentais et de ce que je voulais faire, mais soulever une armée n'était toujours pas une idée qui me plaisait, je ne voulais pas être comparé à un fou sanguinaire en soif de conquête, je ne voulais que la Justice et le Liberté des peuples d'Erade, qu'il aient le choix de qui les gouverne et comment, une assemblé unique qui réunirait les plus grande province, où tous auraient le droit de parler et de s'exprimer, ce droit dont j'avais été privé par les autres conseillers à la tour des nuages durant mon enfance, mais j'avais besoin de monde autour de moi dans cette quête et j'avais surtout besoin d'être plus puissant, non pas pour asservir les autres, mais pour que l'on m'écoute, car bien que j'étais doué de l'oraison, il est rare d'écouter un noble d'Airian qui s'est exilé il y a plusieurs décennies. Mon sceau me permettait d'entrer mais pas d'être écouté.

Aussi ce voyage à travers les montagnes renforçait mes réflexes et mes forces physiques, pour la sorcellerie, c'était à chaque fois que je manquais de chuter qu'elle m'était utile, tout comme la magie d'ailleurs, j'aimais cette alliance en moi désormais, bien que je ne la maitrise que très peu, l'alliance permettait d'accomplir de grande chose et de punir aussi bien que de protéger.
J'étais vêtu simplement mais chaudement, mais nulle armure ne recuvrait mon corps et mon épée était ma seule arme, mon sceptre étant rangé dans mon sac à dos, à mon index gauche tronait la bague qui maintenait les forces de mon corps en harmonie dpeusi que j'avais confié mon cristal à Luhiel.

Une chance pour moi, il faisait beau ce jour là et même si le froid me glaçait les veines il n'y avait pas de vent ni de blizzard; alors que j'étais en pleine ascension Arianna revint vers moi, elle avait découvert quelque chose, cela me motiva encore plus pour continuer de grimper, manquant de tomber à de nombreuses reprises, jurant à chaque fois avec un langage bien à moi et relativement coloré, mes yeux bicolore voyaient le but et lorsqu'enfin je touchais à cleui ci, devant moi s'étalla la plus belle des créations architecturale qui m'est été donné de voir par la nature et l'homme...

Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] 06112710

Une immense et resplendissante tour de guet qui semblait, au milieu de cette verdure cachée entre les montagnes, avoir attendue là pendant des millénaires, conservée aux yeux de tous sans jamais être trouvée, quelle mystère pouvait elle donc cacher? Que révélerait elle à nos yeux? Je fis signe à Arianna de redescendre et de ne pas s'aventurer trop loin, plusieurs heures passèrent avant d'arriver devant cette tour. Que devais je faire? Qu'allait il arriver? Moi habillé en simple voyageur devant cette tour symbole presque mystique d'une gloire oubliée...

Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] DetailB
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Helianna Von Aqual
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Helianna Von Aqual

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Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] _
MessageSujet: Re: Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath]   Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] Icon_minitimeMar 12 Jan - 14:21

    Une tour chargée d'histoire pour un destin particulier. Jadis construite par les Elfes afin de pouvoir observer les étoiles, les aléas des différentes guerres, du coté éphémères des nations et des grandes causes de se monde en firent tantôt une forteresse, tantôt une école de magie avant d'en faire une tour de guet ayant longtemps servit a guetter les mouvements de troupes de Rugilian. Forteresse imprenable, l'on dit qu'il est impossible pour un canon, même le plus précis servit par les Alchimistes les plus réputé, de parvenir a la toucher. Elle a la réputation d'être protégée de tout mal par une protection magique. Quiconque oserait s'aventurer ici finirait par périr s'il était reconnu comme indigne de ce lieu chargée d'histoire. Le nom de cette tour ? Soyez patient, vous le serez bien assez tôt. Il s'agissait réellement d'une bien belle citadelle, une comme seule les Elfes étaient capable d'entreprendre et réalisé la construction, car celle ci était bien trop longtemps pour plusieurs vie humaine, et qu'il fallait une patience Elfique pour parvenir a l'édifier correctement. Aujourd'hui, un sorcier, a moins qu'il ne s'agisse d'un magicien, voulait en entreprendre l'ascension afin d'en découvrir ses secrets. Mais la tour le reconnaitrait t'il comme légitime ? Pas sur...L'on disais qu'ici, un artefact d'une grande puissance était enfermé, capable de donner a son porteur le véritable sens du mot justice...Pff, Impae aurait donc du venir pour le recevoir avant le procès du meurtre d'Aegnor.

    Pourquoi je suis ici ? Qui sait...Azure avait tendance a toujours avoir un coup d'avance sur les autres, Ismérie également et après tout, j'étais de leur trempe, de toutes manières, j'avais moi aussi prouvée que j'étais capable de me montrer prévoyante. Ce Belgarath avait quelque chose en plus, une chose qui ne se retrouvais que chez les Seigneurs, une détermination qui semblait infaillible. Invoquer la puissance du symbole du Phœnix dans un enterrement était une chose rare. Effectivement, dans son regard, j'avais cru lire au moins une partie de la détermination d'Azure d'Otian. Je ne savais pas s'il était réellement de la trempe du prince, mais grâce a cette tour, j'allais pouvoir avoir une véritable idée de sa véritable nature. Les hybrides étaient réellement très rare, la plupart finissait un jour ou l'autre par choisir une voie en particulier. Le tout était de savoir si celui ci était capable de voir le vrai du faux et se lancer dans la voie qui lui était propre. Chimera mort, j'avais volontairement choisit de reprendre une partie de sa tâche, car j'étais de la famille des choisit de la Faucheuse, l'une des deux divinités créatrices de ce monde. Je ne pouvais laisser sa tâche inachevée. Bien que sa mort par ma faute entrainer une grande tristesse en mon âme, je trouvais que poursuivre son œuvre était une preuve de reconnaissance et de respect !

    Je l'attendis les bras croisées, adossée a la porte, le regard toujours aussi déterminée. Cette fois, j'étais plus sereine, la peine que l'on pouvait ressentir lors du procès ne semblait plus lisible, je l'avais tapis tout au fond de moi afin de crée une véritable détermination sans faille qui me permettrait d'être prête a faire face a l'ultime bataille qui se rapprochait, je le sentais très bien. Qu'allais-je devenir ? Je n'en savais rien. Le destin de l'Erade en son entier était lié au mien, j'allais pouvoir avoir l'occasion de détruire l'armée des Kashra, mais a tous moment, je modifiais le plan établit par peur que l'ennemi n'est découvert quelque chose. Pour dire vrai, je le changerais probablement a la toute dernière minute pour mes troupes d'élites, celle ci étant parfaitement capable de s'adapter. Mais cela n'était pas le sujet du moment. Après plusieurs heures d'attente, l'hybride fini par apparaître sur mon chemin, et un demi-sourire apparut sur mes lèvres, il avait vraiment du courage pour ainsi apparaître a cette tour...

    « Alors cette tour vous a appelée, a moins qu'une information extérieure n'est menée vos pas ici, quoi qu'il en soit, bienvenue a Hoeth, la tour blanche de la magie, Belgarath Erigan. Citadelle imprenable, cet endroit même vide constitue un rempart infranchissable pour les forces démoniaques. Seul les élus peuvent prétendre survivre a l'exploration de ce lieu. Vous en sentez vous capable ? »

    Je m'écartais de la porte pour la laisser s'ouvrir d'elle même, révélant un paysage paradisiaque a travers celle ci. Il y avait un grand hall avec une fontaine enchantée en son centre. Cette eau était capable de régénérer n'importe quel blessure, a tel point qu'une végétation dense s'était crée dans toutes la pièce. Jadis, la caste des Maitres des Épées Elfique avait garder la tour blanche pour permettre aux archimages de découvrir les plus grand secret de l'art magique, mais aujourd'hui, bien que toujours prête a l'emploi, la tour semblait déserte. L'on pouvait voir trois portes indiquant chacune un chemin différent. Une flèche lumineuse a gauche, une aura d'ombre sur la droite, et leurs croisement au milieu...Seulement, ses symboles simple étaient t'il aussi évident que cela. Même moi je ne pourrais répondre a cette question. Bien sur, j'aurais put interroger le dieu de la mort a se sujet a travers mon gantelet dorée, mais j'y avait renoncée. Aujourd'hui d'ailleurs, il s'agissait de la seule pièce métallique que je portait, a l'exception d'un diadème en argent portant le symbole de la lune. J'étais vêtue d'une robe blanche descendant jusque mes pieds nues, une tenue qui m'avait semblé adapter au lieu dans lequel je me trouvais actuellement.

    « L'exploration de cet endroit est risquée, bien que je ne le connaissent que peu, j'essayerais de vous guidez de mes connaissances. Je vous en prie, vous êtes celui défié par la tour, entré le premier. »

    Dis-je d'une voix calme, plus chaleureuse que lors de l'enterrement. J'avais un timbre de voix de séductrice, je n'y pouvais rien, et il était très rare de me voir vêtue ainsi d'une manière aussi féminine. Mais rien de choquant dans cette tenue, j'avais d'avantage l'air d'une des magiciennes de jadis que d'une adoratrice de Slaanesh dans cette tenue.
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Belgarath

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Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] _
MessageSujet: Re: Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath]   Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] Icon_minitimeMar 12 Jan - 15:28

Les heures avaient effectivement défilées avant mon arrivée devant cette tour, à vrai dire même, j'avais perdu toute notion de temps et encore plus la notion d'espace, tout ces lieux qui m'entouraient semblaient ne pas véritablement être sur l'Erade et lui être quand même attaché à la fois. Que faisais je ici? Le tatouage gravé dans mon dos semblait s'agiter plus que de coutume, comme lorsque les forces en moi décident de se livrer une lutte, lutte dans laquelle il n'y a jamais de vainqueur, ou tout du moins depuis que j'avais rencontré Luhiel et qu'elle m'avait transmis un peu de son aura qui permettait aux forces en mon sein de ne pas s'autodétruire; mais la lutte était toujours présente, caractérisée par mes battements de coeur aussi irrégulier que les hurlements des âmes damnées.
Avant d'arriver à la tour, au bas de l'escalier qui allait me mener à sa hauteur je fis signe à Arianna de revenir, je ne savais pas pourquoi j'étais là, je ne savais pas ce que l'on attendait de moi, mais je savais que je ne pouvais pas faire demi tour, je savais que je n'en avais pas envie, je voulais savoir, était ce le destin? J'avais toujours beaucoup de mal à croire en cette chimère, tout comme il m'était difficile de croire aux Dieux, mais pourtant quelle force m'avait donc menée en pareil endroit?

Mes vêtements avaient été par endroit déchirée, laissant visible dans mon dos certains morceaux de mon tatouage, quoiqu'il en soit mon visage légèrement atteint par la poussière je montais, Arianna avait repris forme humaine et avait décidé de rester dans mes bras, autant son vol en tant que Phénix était parfait, autant la marche humaine semblait être d'une difficulté rare pour celle que je considérais comme ma propre fille, ses yeux n'avaient jamais changés de couleur, toujours aussi lumineux que les flammes d'un volcan, elle était vêtu d'une toge qui lui avait été confectionné en Otian, cela semblait très bien lui convenir car elle n'aimait pas être trop serrée dans ses vêtements. Arianna était le symbole absolue de la Justice selon moi, une sorte de feu purificateur qui entrainaient ceux et celles à l'âme damnée dans les profondeurs infernales.

Mais au fur et à mesure que je montais vers cette tour, Arianna dans mon bras gauche et dans ma main droite, l'orbe bleue qui m'avait menée jusqu'ici, je sentais une présence, une personne que j'avais déjà vu m'attendais au sommet de l'édifice, ou tout du moins à sa base car la tour de guet était véritablement merveilleuse, architecture parfaite d'une époque révolue, une époque que j'aimais à me rappeler; lorsque je découvris celle qui m'attendais je fus surpris, comment avait elle put se rendre ici avant moi? Elle et moi nous étions croisés lors des funérailles d'Azure d'Otian. Avant que je puisse ouvrir la bouche, c'est elle qui m'instruit sur ce lieu, comme si elle n'avait attendu que moi depuis des siècles, comme si j'étais le seul qui avait le droit de fouler ce sol, ces derniers temps mon égo s'était tue, laissant place à l'altruisme, Hoeth, tel était le nom de cet endroit, la tour de la magie? Mais comment pouvais je avoir le droit d'y entrer? Moi à moitié magicien et à moitié sorcier, ne serais je pas exterminé rien qu'en posant le pied à l'intérieur même du monolithe?

Quoiqu'il en soit, à la vue d'Hathor je courbais mon buste, je la considérait réellement en bien et la saluer était preuve d'un respect que je n'offrais pas à tous, et bien que je ne comprenne qu'à moitié ce qu'elle m'expliquait, lorsque je vis les lourdes portes de l'édifice s'ouvrir, c'était pour porter à ma vue un paysage des plus splendides et des plus pur, comme si ce lieu immaculé ne souffrait en rien du temps ni même de l'histoire de l'Erade, des symbole bien trop précis pour être honnête se faisait à l'intérieur, afin de désigner trois chemin différents. La tenue d'Hathor était de celle qui nous donne le droit d'entrer dans les plus profond mystère de la vie, mais était ce si évident, était si logique?

Avant d'entrer je regardais Hathor de mon regard bicolore et détacha Arianna de moi, l'enfant ne semblait pas désireuse de cela, mais je ne pouvais me permettre de lui faire courir le moindre risque...


"Sainte Hathor, votre rang, votre ordre et votre sang me sont inconnu, veuillez m'excuser de me présenter à vous ainsi vétu, mais je ne savais pas vers où je me dirigeais ni même vers qui, cependant je crois en les paroles que vous avez prononcé ce jour là lors de la cérémonie, je ne sais en rien pourquoi je suis ici, seule la nécessité peut m'y avoir amené. Car ce n'est que la volonté de cet objet que j'ai suivis (je sortais alors l'orbe de ma poche, lui montrant la magnifique et parfaite pierre de la taille d'une clémentine mais plate et ovale qui brillait d'une douce lumière bleutée). Cependant, je suis prêt à risquer tout ce que j'ai à l'intérieur de cet édifice et même si mon âme est scindée en deux depuis le commencement de ma vie, je ne suis pas arrivé là pour renoncer, mais je ne permettrait pas que du mal soit fait à celle qui m'est précieuse, pouvez vous garder Arianna, elle que je considère comme ma fille ne doit pas souffrir à l'intérieur, elle m'est très précieuse très sainte, je sais que vous pourrez garantir sa survie"

Confiant l'enfant à Hathor et bien qu'Arianna n'était pas forcément disposée à cela elle compris que je la regardai qu'il fallait qu'elle m'obéisse, juste cette fois, c'est à ce moment que mon épée qui semblait être une arme elfique mais que j'avais forgée moi même sortie de son fourreau par ma volonté et que je la plantais à l'entrée de l'édifice


"Si cette tour ancestrale contient les secrets de la magie de ce monde, aucune arme ne pourra être utile, mon épée restera ici jusqu'à ce que je vienne la rechercher ou jusqu'à la fin des temps."


Mon regard porté vers Hathor, mon impressionnante carrure et ma taille conséquente passèrent la porte pour entrer dans ce magnifique hall et se présentèrent devant moi les trois portes, le choix paraissait simple, mais je ne me définissait ni comme un être de lumière, ni comme un être d'ombre, j'apprenais à vivre avec la dualité de mon âme qui faisait de moi un homme fort, même si elle représentais en même temps ma plus grande faiblesse, ce lieu vide résonna sous mes pas...

"Sainte, vous avoir comme guide est un atout précieux, car si le prince d'Otian vous portez en haute estime, je ne l'ai pas moins haute à votre égard, depuis que j'ai croisé votre regard à ce jour de deuil, ce n'est ni votre corps ni votre voix, bien que l'un et l'autre soit parfait, qui m'ont attiré, mais belle et bien votre sincérité. Je vais être sincère envers vous, je ne suis pas le bon magicien que tous le monde voudrais, ni le terrible sorcier qui ferait émerger les hordes de démons des terres oubliées. Mais je me suis fixé un but, une utopie pour laquelle je ne veux reculer et si cette épreuve me permet d'atteindre en partie mon but alors je m'y plierai."

Sans un mot de plus je m'approchais de la porte du milieu, me disant à voix haute...


"Le mal peut très bien prendre la forme de la plus belle lumière, et la lumière peu sombrer dans l'ombre, mais une chose restera à jamais stable, c'est l'union des deux"


Alors comme mue par une force étrange et indistincte, peut être même contre ma volonté, mais j'étais d'accord, je voulu emprunter le chemin du milieu... allais je faire les bons choix? Je me remémorais alors la mission qu'Airian m'avait confié, que le père du précédent roi d'Ariain m'avait confié, prendre le parchemin sur lequel étaient inscrit les noms des pêcheurs, les noms de ceux qui ne sont pas tombés sous le coup de la Justice mais qui l'auraient du l'être, je me souviens des mots de mon mentor...

"Tu dois les traquer, traque ces animaux Belgarath, montre leur que la Justice n'est en rien une simple chimère, fait toi son instrument, devient son glaive, et fuis, fuis la Tour des nuages, disparais et devient une ombre, l'ombre vengeresse... VA!"

Cela m'avait donné l'occasion de quitter la Tour des Nuages, mais plus encore de partir loin très loin de mon mentor, ce fut la seule fois où lui et moi étions tombés d'accord.
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Helianna Von Aqual
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Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] _
MessageSujet: Re: Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath]   Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] Icon_minitimeMer 13 Jan - 13:36

    Sainte...De tous les qualificatifs que j'avais reçu, il était bien plus plus curieux. Jamais personne encore ne m'avais qualifiée de sainte, moi qui fut un être corrompu et vil pendant deux mille cinq cent années, suivant rigoureusement les enseignements de mon père jusqu'à sa mort. Délié de lui, je me perdit encore a souhaiter la mort de son assassin. Mes échecs successif en tant que Seigneur de la Fin des Temps étaient peut-être une preuve que cette nouvelle vie me convenait mieux, mais je n'étais pas une sainte. Je ne serais jamais de ceux qui classerais les choses de la vie dans le « bien » et le « mal ». Ses deux notions étaient lié, indivisible, chacune incarner selon le point de vue de la personne des valeurs opposé, mais au final il ne s'agissait que du reflet de la personnalité de nos dieux. L'être qui se tenait devant moi n'était pas croyant, mais peut-être que les manifestations divine d'Hoeth lui ferait changer d'avis. Même moi je ne pouvais savoir avec exactitude ce qui attendait le noble d'Airian derrière les murs immaculées de cette tour. Chimera l'aurait probablement put lui, mais après tout, il avait voué sa vie a assurer la progression des êtres de l'Erade dans une neutralité parfaite, dépassant la ligne rouge pour me venir en aide, parce que nous étions frère et sœur de cause.

    Il s'était incliné devant moi sans même connaître mon rang et ma véritable race. Pour beaucoup, nous étions encore une énigme ou une légende qui n'existait que dans les comtes pour enfants, destiné a faire peur et amené les petits a se plonger dans la sécurité d'un sommeil réparateur. Mais qu'en était t'il réellement ? Bien plus que cela, un peuple entier vivant dans les forêt attendaient son heure, tapis dans l'ombre, l'une des plus belles des lumières d'Erade allait bientôt jouer son destin dans l'une des plus grande bataille de tous les temps. La peur ne prendrait pas nos cœurs, car nous savions la cause juste. Nos défendrons chèrement l'œuvre de nos créateur, refusant de voir le plus beau des cadeaux divin balayé par l'arrogance d'une créature comme Ismérie. Belgarath affirma être ici par la volonté d'une pierre et me la montra. Cet objet ne laissa guère le dieu de la mort indifférent qui m'expliqua sa signification par l'intermédiaire du gantelet, mais je ne pipais mot a se sujet. Ce n'était pas a moi de lui révéler quelque chose d'aussi important, la pierre se manifesterait probablement d'elle même le moment venu. Âme scindé en deux ? Apparemment, il avait du mal a comprendre certain cycle de la vie et des âmes. Je pouvais voir l'âme de chaque être vivant. Même le plus sombre des prince démoniaque ou le plus valeureux paladin Malarian avait une part d'ombre ou de lumière enfoui au fond de lui. Mais ils n'étaient pas capable de la voir ou de l'accepter. Belgarath vivait constamment avec les deux facettes de sa personnalité, mais il n'avait qu'une seule âme. Le conflit qui déchirait celle ci n'était pas due a deux âme différente, sinon il serait atteint d'une véritable schizophrénie. C'était quelque chose de différent. Il me demanda de veillez sur la petite fille qui l'accompagnait, et lui porta un regard sévère pour être sur qu'elle me rejoigne. Je tendis une main vers elle avec un sourire rassurant, j'étais Elfe après tout, notre nature restait très proche de la nature, nous étions même alliés aux vénérables homme arbre, devenu si rare en terre d'Erade après des millénaire d'exploitation humaine. Alors elle n'aurait pas a avoir peur de ma personne.


    « Mon histoire est tumultueuse, peut-être un jour prendrais-je le temps de vous la conter, a moins que ma nièce ne le fasse avant moi. Mais nous ne somme point ici pour cela. Je veillerais sur Arianna comme vous le souhaitez, mais sachez ceci : votre âme est unique. La Magie n'est ni bonne ni mauvaise, les deux facettes de cette dernière proviennent de la même sources. Je suis capable de manipuler les âmes a ma guise, et je vous assure que la votre est bien unique. Elle est simplement bien plus équilibré sur les forces qui la conduisent que la mienne par exemple. »

    L'exploration de la tour de Hoeth était une entreprise hasardeuse. On racontait même que grâce a la magie ambiante qui régnait sur ce lieu, il était impossible de le voir de la même façon selon la personne choisit. Ainsi, les salles s'adapter a la personne qui était mise au défi par celle ci, comme si l'endroit disposait d'une volonté propre, d'une personnalité. C'était en quelque sorte cela. Cet endroit échappait même a l'emprise du temps, je ne pourrais faire usage de mon don de chronomancie ici. Il sorti son épée de son fourreau et la planta dans le sol devant la porte en déclarant qu'il n'en aurait guère besoin ici, et qu'il la reprendrait une fois l'épreuve accomplit ou elle resterais ici jusqu'à la fin des temps...Ou au moins le prochain aventurier assez fou pour venir défier la tour. Mais après tout, j'allais le guider de ma parole. Lequel était le plus fou des deux ? Le fou, ou le fou qui le suit ? Un sujet de réflexion pratiquement infinie qui ne pouvait se résoudre a un simple paragraphe, je pense que vous en conviendrez.

    Il entra dans la pièce en expliquant les raisons qui le poussait a me faire confiance. Gardant Arianna proche de moi et l'aidant a marcher sans aucune difficulté, je le suivit sans dire un mot. Il se dirigea comme je le pensait vers la porte du milieu, vers un endroit ou je ne pourrais le suivre physiquement, mais je pense qu'il s'en doutait déjà. Prenant une position assise en tailleurs devant la fontaine, j'installais tranquillement la petite fille sur mes genoux avant de fermer les yeux. Ici, le don de vue normale ne me servirais a rien. Privé de la chronomancie, je devais faire valoir l'héritage de ma grand mère pour pouvoir le suivre. Par chance, ce lieu baignait tellement dans la magie que je n'avais aucun mal a suivre chacun de ses mouvements et le voir même les yeux clos. Il me parut important de signaler une chose avant qu'il s'en aille, alors je repris la parole une ultime fois avant qu'il ne passe la porte définitivement.


    « Je ne peut vous suivre physiquement, mais grâce au don de prescience de ma grand mère, je peut ici utiliser sa vue transcendante afin de vous suivre dans les méandres de la tour. Les magiciens aiment a raconter les histoires du passé, vous pourrez me demander conseil en cas de doute, mais une seule fois, car vous suivre me coute déjà un grand effort de concentration. Ne vous inquiétez pas pour Arianna, sur mes genoux, rien ni personne ne peut la menacer. Débarrasser vous de toutes pensées inutile, désapprenez ce que vous avez appris jadis, et instruisez vous de nouveau. »

    Et je le laissais allez tranquillement vers son destin...




    L'escalier menait a un long couloir blanc qui permettait d'accéder a un escalier en colimaçon autour de la tour même. La vue sur les montagnes étaient réellement magnifique, mais grisante et dangereuse : un seul faux pas pouvait conduire vers la mort pur et simple du sujet. De plus, une fois la montée des marches amorcée, d'étranges images fantomatiques étaient apparut dans le vide, montrant la naissance d'un Elfe apparemment quelconque, mais qui était choyé par sa famille et ses proches. En grandissant, il devint un noble accomplit et semblait vraiment très doué, supérieur a la moyenne, même chez les Elfes. Ses traits doux et sympathique et ses airs princiers avaient quelque chose qui semblait forcer le respect. Mais pour l'instant aucune voie...

    La fin de la montée des marches conduisit a une pièce apparemment vide. Toutefois, trois gardes, des maitres des épées, dont la fine lame avait de quoi impressionner le meilleur des forgerons, gardait chacune une porte portant les mêmes symboles que la première fois. De nouveau, la présence fantomatique de l'elfe était la, apparemment dans une assemblée. A le voir bouger, il n'était guère difficile de savoir que l'homme essayait de convaincre cet assemblée de la nécessité de quelque chose, mais de quoi ? Une voix de femme vint emplir la pièce. Il ne semblait pas s'agir de celle d'Hathor, mais d'une autre, plus douce et moins séductrice, comme si la tour elle même était douée du don de parole. L'atmosphère surchargé de magie était réellement particulière, féérique et charmante, mais peut-être intimidante en même temps, difficile a dire...


    « A une époque très reculée, alors que le peuple des Elfes ne faisait encore qu'un, une grande menace sembla planée sur le monde. Les oracles annoncèrent de grand bouleversement dans un monde utopique ou le mal n'existait pas. Un prince de pur lignée, dont la lumière était pourtant indéniable, Aenarion, voulu préparer son peuple a une guerre qu'il jugea inévitable. Avec l'appui du prince dragon Caledor, il quémanda l'aide du conseil qui refusa d'envisager l'éventualité d'une guerre...Qu'à fait alors Aenarion ? »


    Les trois gardes s'écartèrent, a la place de chaque symbole, une réponse apparut. Le défi était donc simple, il suffisait de deviner les actions du prince Aenarion. Belgarath avait le droit d'essayer deux portes. S'il échouait, alors il retournerais au rez de chaussée. Quoi qu'il advienne, le gain du niveau est assuré, mais parvenir a reconstitué l'histoire d'Aenarion dans son ensemble lui permettra d'en savoir plus sur la pierre qu'il porte...Il peut également demander de l'aide a Hathor en cas de doute, il s'agit d'une Elfe, elle doit connaître cet illustre personnage...Mais seulement une fois sur tout le topic !

    A/ Aenarion respecta la décision du conseil, constitué d'Elfe plus sage et avisé que lui...
    B/ Poussée par la crainte de voir son peuple détruit, il demanda l'aide de Caledor afin de fonder une force de prince Dragon
    C/ Persuadé de savoir ce qu'il y avait de mieux pour la race des elfes, Aenarion fondit sa propre cité.


    La porte A symbolise la porte du choix de la lumière, la B celle neutre et la C celle des ténèbres.
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Belgarath

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Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] _
MessageSujet: Re: Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath]   Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] Icon_minitimeJeu 14 Jan - 16:29

Pourquoi avais je nommée Hathor Sainte? C'était une bonne question, à vraie dire moi même j'aurai eu du mal à y répondre sur l'instant, peut être une pulsion quelconque mais en y réfléchissant bien Hathor n'était ni une reine à ma connaissance, ni une impératrice, et quand au titre de noblesse je doutais fortement qu'elle en ai déjà eu un, alors le qualificatif de Sainte était adéquat, dans un tel endroit le mal ne peut perdurer et bien que j'étais encore dans une vision assez manichéenne des choses je commençais à comprendre, non à vrai dire je l'avais toujours su, que les notions de bien et de mal étaient toutes deux des pures inventions, mais comment les nommer autrement? Moi qui avait toujours vécu avec ces deux forces depuis le début
de ma vie, comment ne pouvais pas comprendre qu'elles étaient à la fois identique et à la fois distincte? Peut être parce que je n'avais pas de recul suffisant, c'est vrai après tout, que 3 décennies n'étaient rien face à l'immortalité des elfes ou au jour depuis la scission de l'éther.

Qui étais je réellement, lorsque je me regardais dans un miroir je ne voyais que cet homme aigri et fatigué par des années de traques incessante à travers l'Erade, officiellement j'avais 33ans, mais mon visage faisait le visage d'un homme approchant la quarantaine, bien que j'étais en parfaite condition physique et mentale, j'étais fatigué, des moment de lassitude intense me prenaient par moment, qui étais je pour revendiquer de faire changer l'Erade dans son ensemble? Je me posais souvent cette question ces derniers temps mais hélas je n'y avais pas trouvé de solution, j'étais tout simplement et j'avais pris cette décision et je la revendiquais désormais, c'est tout ce que je devais savoir, je ne voulais pas rendre quelqu'un fier de moi, je ne voulais pas prendre le pouvoir, je voulais simplement un peu de paix et de Justice en ce monde, comme à l'époque d'Erade, et pour cela j'allais devoir grimper des étapes, de nombreuses étapes comme celles qui m'attendaient à l'intérieur de cette tour, qui trouverais je? Mon destin? Mon passé? ou tout simplement mon identité?

Lorsque Hathor pris Arianna j'étais confiant, désormais je pouvais affronter les épreuves de cette tour sans que réellement je sois inquiété par quoique se soit si ce n'est ma propre vie, alors que la jeune phénix allait dans les bras d'Hathor, je lui glissait tendrement ma main sur sa joue d'enfant avec un sourire, un sourire d'un homme aux traits tirés mais qui avait devant lui l'opportunité de faire quelque chose de sa vie et de le faire pour quelqu'un, pour qu'Arianna puisse voir l'Erade en paix et pour que Luhiel puisse ranger à jamais ses griffes dans sa chaire.


"Je vous remercie, mais je crains malheureusement de ne pas connaître votre nièce, à mois qu'elle m'est été présenté sans que je ne connaisse son lien de parenté avec vous. Que mon âme soit une est une chose interessante, peut être n'ai je pas encore votre faculté d'analyse, quoi qu'il en soit, je fais avec, j'ai toujours fais ainsi et je m'en sort plutôt bien, dans mes bons jours en tout cas!"

Un léger sourire de plaisanterie se fixa sur mes lèvres, un dernier regard envers Arianna et je franchissais le seuil de la tour, une vibration étrange était en ce lieu, quelques secondes j'avais regardé mon reflet dans l'eau de la fontaine avant de partir, je n'y avais pas vraiment vu le plus fringuant de tous les jeunes hommes, mais cela m'avait amusé, le vieux ronchon gagnant ses galons au sein de la tour des magiciens, voilà qui pourrait faire une jolie histoire, j'aimais les histoire, mais voilà bien longtemps maintenant que je n'en avais plus raconté, par le passé j'étais un grand conteur, peut être m'y remettrais je lorsque le calme serait revenu. Avant que je ne franchisse entièrement la porte, Hathor me mis en garde et m'avertis sur certaines choses une dernière fois, je savais que je devais y prêter attention...

"Je vous remercie Sainte Altesse, je peux donc graver mon chemin comme il me plaira dans ce lieu mystique, mais si jamais il devait m'arriver malheur, pouvez vous prendre Arianna sous votre charge et sortir mon épée du sol pour lui remettre lorsqu'elle sera plus grande. Une dernière chose, dans l'Erade se nomme une femme que je connais bien, elle se prénomme Luhiel, si mon trépas devait advenir, ne lui dites rien de comment cela s'est passé, dites lui simplement de ne pas s'attarder sur moi, dites lui qu'elle devra continuer ce qu'elle a commencer, quoiqu'il arrive. Vous pouvez sceller ces paroles comme étant mon testament si cette tour devait avoir raison de moi. Désormais mon cœur et mon âme ne souffre d'aucune peine, je peux marcher..."

Et sur ces mots je passais la portes, première porte que je passerai parmi plusieurs autres du moins je le supposais, je traversai un couloir étonnement blanc, immaculé de poussière et de noirceur, comme si la main d'un ange s'était posé dessus, la main d'un ange? Qu'est ce que je raconte? Enfin bref, continuant ce couloir j'apperçu enfin une sortie, prémice d'une infernale montée tout autour de la tour, sans renfort pour protéger mes flancs, la vallée à travers les montagnes était réellement splendide, presque divine mais alors que je regardais mes pieds pour prendre garde de ne pas tomber, une vision vint s'imposer à moi, l'espace d'un instant je cru qu'il s'agissait de mon ancien mentor à la tour des nuages, après tout il était magicien, mais non, c'est dans le vide absolue de cette interminable montée que je vis à chacun de mes pas la croissance d'une créature immortelle, un elfe, race réputée sage parmi les sage, immortels parmi les immortels, il était fier et puissant, ses traits quasi angélique étaient bel et bien ceux d'un elfe, aucun humain ne pouvait ressembler à cela, moi même je ne pouvais y ressembler et je n'y avais jamais ressemblé, mais j'étais attentif tellement cette vision attirait mon attention, à tel point que je fis un faux pas, laissant tomber quelques caillou dans le vide je me repris assez vite, je devais rester sur mes gardes à tout prix, cette tour ne me voulait pas forcément du bien...

Mais voilà que j'étais arrivé, non pas au sommet de la tour, j'en doutais fortement, j'étais entré dans une pièce avec de nouveau trois portes portant les mêmes symbole, amis cette fois, trois gardes étaient là également, sorte de barrière infranchissable vers ma prochaine étape, chacun portait une arme qui méritait le respect et les félicitations pour celui qui l'avait conçu, moi même étant forgeron je ne pouvais qu'admirer ce travail, peut être celui des forgerons elfes, mais l'idée me passa vite car une scène s'imposa à moi, je revis cet elfe, jeune et fier, ce qu'il faisait me fit sourire car il me rappelait moi à son âge, devant l'assemblée des conseiller d'Airian, tentant de leur expliquer qu'ouvrir les frontières du royaume serait un bien pour le pays tout entier et ferait de son peuple des gens acceuillant capable de commerce et de s'enrichir.

C'est à ce moment qu'une voix pénétra dans la pièce, me tournant de toute part pour voir d'où elle pouvait provenir, elle semblait être vibrante à travers chacune des pierres de la salle, comme si chacune d'elle était doué de paroles, leur voix à l'unisson formant la cristalline essence qui courait vers mes oreilles, je compris rapidement qu'il était inutile de chercher, ici les yeux étaient trompeurs, non il fallait surtout écouter, ce que je fis, l'histoire de cet elfe était troublante, mais finalement je le comprenais, lui seul contre ses pairs, ces derniers insouciant, incapable de comprendre l'intérêt de la jeunesse et son discernement, j'étudias quelques temps chacune des réponses, créer sa propre citée aurait fait de lui l'instigateur de sa propre perte et de sa déchéance car il aurait finalement contribuer à ce qu'il redoutait tant, c'était inconcevable, les elfes étaient pour moi des gens réfléchis, mais se plier au conseil était véritablement quelque chose que je ne pouvais concevoir, surtout lorsque la plus grande des menaces se prépare à fondre sur notre race, attendre alors que l'on sait que cela va se produire est insupportable. Peut être rapportais je trop à moi les événements, mais je ne pouvais dissimuler la similarité, toujours l'orbe dans ma main, je ne pouvais faire appel à Hathor, pas tout de suite, aussi il ne restait plus qu'une solution, celle que j'avais également choisie, 10ans plus tôt, je m'étais enfuie et désormais je souhaitais rassembler les peuples, même s'il voulu rassembler des forces militaires c'était son seul choix, devrais je alors moi aussi lever une armée? Je n'en étais pas sur mais tout les signes le montrait...

C'est pour cela que je décidais de prendre la porte B, où allais attérir cette fois? Avais réussie? En mon âme et conscience je le croyais, mais cela suffirait il?

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Helianna Von Aqual
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Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] _
MessageSujet: Re: Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath]   Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] Icon_minitimeSam 16 Jan - 21:36

    Ainsi il passa la porte. Cette dernière se referma devant lui et les gardes, tels des automates, reprirent leurs place. Il put constater une similitude entre ce couloir et celui de l'étage précédent, ce qui signifiait que la structure de la tour devait être symétrique. Toutefois, il s'agissait de quelque chose d'encourageant. A la place des murs blancs, il put voir des fresques très détaillées représentant des images de héros de jadis. Aenarion était parfaitement reconnaissance, représenté au coté de Caledor le premier. Des lettres en Elfique ancien, et en dessous dans un Elfique plus moderne datant d'après la scission de la race, montrait les noms de ses deux héros qui osèrent braver l'interdit pour préparer leur peuple a la guerre. Mais il y avait d'autre noms. L'image suivante présentait deux frères, tout deux Elfes également. L'un d'entre eux, juché sur un destrier Elfique d'un blanc éclatant, porté une épée magique semblant refléter la lumière du soleil. Il était écrit Tyrion, un prince ayant renoncé a la couronne. Cet homme était toujours vivant, il était possible que Belgarath est déjà entendu parler de lui. L'autre portait la tenue classique des mages Elfiques avec des symboles indiquant sa fonction de prince. Il s'agissait ainsi de Téclis, son frère jumeaux. S'il avait entendu parler du conseil blanc, alors Belgarath saurait que les enseignements de Téclis avait guidé nombre des membres de cette vénérable assemblée. La personne suivante était une femme, elle semblait l'ancêtre du Sex Appeal. Un décolletée plongeant et proéminent pour un regard dur, une coiffure tenue parfaitement et un bustier rouge vif. Son regard vert semblait en besoin constant de magie. Il était écrit sous l'inscription « Valeera Sanguinar ». Elle était connue pour être celle qui avait soutenue Rugilian pendant mille ans aujourd'hui et dirige le culte Elfe de Sang. Le suivant avait un air de famille avec Hathor, et portait sur son armure dorée le même symbole que cette dernière, un œil. Il était écrit Râ sous l'image et il était entourée de femme guerrière. Le suivant portait une hallebarde et semblait en état de vigilance constante. Son armure dorée était réellement magnifique, et le nom indiqué sous l'image était Caradryan. Vint ensuite un elfe aux allure de nordique. Pas musclé, mais avec de long cheveux tressé comme ses solides barbare. Il portait d'ailleurs deux hache magnifiquement ouvragé, et portait le nom de Korhil. Enfin sur la dernière image, deux jeunes femme semblaient être en train de priée la déesse Elfe Isha. Il s'agissait de Idranel D'Ulthwé, qui portait des cheveux rouge écarlate ainsi qu'une tenue noire, ainsi que la prophétesse Macha, blonde, habillée en vert avec des runes rouges dessinées sur les joues.

    Au bout de cette mosaïque, de nouveau l'escalier en colimaçon. Encore une fois, pendant l'ascension, de nouvelle image fantomatique firent leurs apparitions. Caledor et Aenarion étaient en train de s'entrainer au combat sur leurs dragons respectifs. Le prince Dragon était moins fort qu'Aenarion, mais il était plus sage et moins fougueux, et semblait toujours l'emporter malgré l'avantage de puissance du fils du roi. De grande cités apparurent ensuite, et une armée entière d'amazone ou se tenait Râ en tête sur un magnifique cheval Elfique. Chose curieuse, Belgarath put reconnaître plusieurs visage d'Elfe au premier rang : il s'agissait de femme qui avait portée le cercueil d'Azure quelques jours plutôt ! Mais les images continuaient de défiler sans même laisser réellement le temps au magicien de respirer. Tyrion et Téclis s'entrainait également au combat. Il n'était pas très difficile de voir que le mage n'était pas capable d'égaler son frère a l'épée, mais celui ci avait forgée son arme lui même en l'enchantant, prouvant ainsi ses qualités de forgeron. Caradryan, qui était alors membre du conseil, doutait du bien fondée de la décision de ses pairs et ne savait réellement que faire, alors que Korhil menait une vie de bucheron paisible, supervisant également les constructions des grandes citées Elfique. Idranel d'Ulthwé était invisible, mais Macha semblait elle inquiète au sommet de l'escalier. Belgarath la traversa, elle n'était qu'un fantôme du passé comme un autre.

    Dans la salle, les trois portes étaient désormais garder par des gardes maritimes, qui portaient tous de magnifique arcs en bois. Les fantôme d'Aenarion et de Macha était apparut. La jolie blonde pleurait, lui annonçant que la guerre allait démarrer le lendemain et qu'elle l'avait vu mourir au combat, qu'elle ne voulait pas le perdre. Sa voix, douce et attendrissante, ne semblait pourtant plus qu'un écho dans les méandres du temps. Il était parfois difficile d'imaginer que toutes ses images du passé est réellement existé. Toutefois, sa voix fini par s'éteindre, car celle de la tour elle même reprit la parole, toujours aussi majestueuse, afin de raconter la suite de l'histoire.


    « Caledor et Aenarion ne furent pas les seuls a se mobiliser pour éviter la catastrophe. De nombreux princes et nobles prirent l'initiative de se préparer plus ou moins a la guerre. Râ fut le plus zélé, alors que les jumeaux Tyrion et Téclis semblaient les plus prometteurs. A la veille de la bataille toutefois, Macha trahi la parole qu'elle avait donnée a Idranel par amour, et révéla a Aenarion par amour qu'elle l'avait vu mourir lors de l'ultime bataille de cette guerre, et que cette idée lui était insupportable. Que répondit-il ? »

    A/ Je changerais l'avenir ma bienaimée...Jamais je ne t'imposerais la souffrance de ma propre absence...
    B/ Nous devons réaliser notre devoir, qu'importe le chemin ou il nous mène, sinon notre race disparaitra.
    C/ Alors tu devrait me quitter et commencer a vivre ta propre vie !


    A nouveau, les trois gardes se retirèrent de devant les portes. A nouveau trois choix et seulement deux réponse a tenter...Que faire?
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Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] _
MessageSujet: Re: Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath]   Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] Icon_minitimeSam 16 Jan - 22:38

La réponse semblait être la bonne, la porte s'était ouverte et j'avais put continuer mon chemin, je n'avais pas regardé en arrière, jusqu'à présent j'avais gardé la tête découverte, mais je ressentis un besoin de rabattre ma capuche afin de ne laisser paraitre que mon visage, peut être était ce le poids des âges ou alors de la scène que je venais de voir, je ne savais pas, mais une certaine chose s'était installé en moi, réellement indescriptible mais que je pouvais ressentir, pourquoi cet elfe était ainsi isntallé en moi qui j'avais eu à faire ce choix, comme si aller à l'encontre de ce conseil m'avait réellement fait souffrir mais que je n'avais pas eu le choix, après tout, c'est ce que j'avais fais aussi, en partant du Royaume d'Airian, j'avais défié le conseil tout entier sans me soucier de qui que se soit, sans même me soucier du fait que je laissais derrière moi cette adolescente, Cyradis, depuis combien de temps ne l'avais je pas vue? Plus de 10ans maintenant... Mais l'heure n'était pas à penser, je devais avancer, continuant mon chemin dans un nouveau couloir, le fait que ce dernier ne soit pas blanc me fit reprendre espoir, comme si tout le blanc autour de moi entamait petit à petit certaines parties de mon âme, mais bien qu'elle soit extrêmement compliqué, j'aimais mon âme comme elle était, partagée entre la magie et la sorcellerie, comme si une fusion intangible s'était faite en moi, comme si cela me permettait de percevoir des choses qu'il était impossible pour les autres de percevoir.

Lorsque je croisais quelqu'un la plupart du temps je savais s'il avait déjà fait des choses de mal dans sa vie, je savais si oui ou non il avait été jugé et encore plus, je savais si oui ou non il devait périr, et tel un ange de la mort j'éxécutais la juste sentence qui revenait à cet homme, mais jamais de femme, jamais d'enfant, pourquoi, je ne le savais pas. Mais c'est alors que mon regard bicolore se porta sur ces magnifiques tableaux accrochés aux murs, sur la première fresque était le jeune elfe que j'avais vu précédemment, accompagné d'un autre homme dont le nom en elfique moderne était donné en dessous, heureusement pour moi que je n'avais pas dormi pendant ces leçons là! Ma route continuait, la fresque également, dévoilant devant moi des noms illustres qui me faisait prendre conscience que tout ceux ou presque dont le noms était gravé ici avaient bravés des interdit pour la Justice, pour la liberté, Tyrion, j'avais déjà lu ce nom dans un livre, il représentait pour moi une intense lumière, comme s'il était une sorte de modèle à suivre, prince parmi les prince, à l'épée enchantée, j'aimais entendre les récits de ses aventures lorsque j'étais petit, peut être pour en arriver là finalement, la fatalité du destin? Non je ne pouvais y croire, je ne voulais y croire. J'ignorais s'il était toujours en vie, mais ce fut l'autre que je reconnu avec sa traditionnel tenue de mage, Téclis, je m'arrêtai un instant, mon doigt ganté effleurant la fresque avec celui que je considérai et qui étais certainement, le plus grand magicien de tout les temps, encore un elfe, mais après tout ils avaient une histoire bien plus grande, bien plus longue que la notre, le Conseil Blanc, j'en avais entendu parlé, lors de mon apprentissage, un sage du nom de Calliadès était venu voir mon mentor et m'avait adressé un simple regard, mais en moi je sentis une infinie bonté et une douceur inégalée toucher mon âme elle même alors que je n'avais que 15ans, je n'avais pas entendu la conversation, mais cela semblait tourner autour de moi, sur quel sujet? Certainement mon don pour la sorcellerie, mon mentor avait bien voulu me dire que j'étais unique car en moi coulait les deux pôles de l'Ether, je n'avais pas compris ce que cela signifiait à cette époque.

Je ne connaissais pas la suivante, mais je m'attardais l'espace d'un instant sur son plongeant décolleté, qui, il faut bien le reconnaitre, avait tout les atouts pour que l'on s'y attarde, je lu son nom avec quelques difficultés de prononciations, mais je n'en doutais pas qu'elle était loin d'être l'une de ses si farouche elfes dont on parle souvent, les elfes du soleil il me semblait que c'était ainsi qu'on les nommaient.
Continuant cette fresque, le visage suivant semblait me frapper d'une ressemblance troublante avec celle qui portait Arianna dans ses bras et qui m'attendais en bas de cette tour, le voyant ainsi entouré de femme j'eu un léger sourire imaginant la chance qu'il avait, Râ était son nom, j'avais l'impression, au fur et à mesure que ces viasges elfiques défilait d'en apprendre, certes plus sur eux, mais également plus su l'histoire et sur ce qui pousse les gens à combattre pour la liberté, je m'attendais à voir dans ce genre de fresque, Erade lui même, mais il n'en fut rien.
Je m'attardais sur la dernière image, regardant les deux elfes prier, comment pouvait on vouer sa vie à un Dieu, comment parler à un être qui ne vous répondait pas, les Dieux existaient ils réellement? J'étais aussi sceptique sur leur présence que sur l'existence d'un quelconque destin en ce monde!

Je repris l'escalier, toujours plus haut, toujours aussi périlleux, comme si cette épreuve n'était pas constituer que de l'esprit, mais aussi du physique, car en montant l'air se raréfiait à chaque fois un peu plus, mais je restais lucide, je concentrait en moi et autour de mon système respiratoire, une bulle d'air permanent, emmagasinant l'oxygène, je faisait également des pas plus lent, mais plus calculés, tout en continuant de voir sous mes pieds tout le destin d'un monde aujourd'hui disparu ou dont il ne restait que des lambeau, cette tour, aussi magnifique soit elle n'était qu'un lambeau de la beauté et de l'harmonie qui régnait autrefois en ce monde, je vis traverser le ciel à tout allure, le jeune prince elfe et son acolyte, sur des dragons, je n'en avais jamais vu et même fantomatique, ces apparitions étaient plus que spectaculaires, si Arianna me voyait contempler ainsi ces créatures, sans nul doute qu'elle aurait été prise d'une crise de jalousie sans borne, cette idée me fit sourire et je continuais, le prince était jeune et fougueux, ce qui le perdait au combat semble t il, mais alors ces images se brouillèrent ne devant plus que des ombres pour laisser apparaitre devant moi une magnifique citée et une spectaculaire armée, symbole de la beauté oubliée de ce monde, Râ était là, flamboyant comme le soleil entouré d'une armée de femme guerrière mais alors que mon regard s'alourdit sur la scène, je cru être entrain de tomber lorsque je reconnu celle qui portaient le cercueil à l'enterrement d'Azure, aucune coïncidence n'était possible, cette Tour me montrait des choses précises, cela reliait forcément Hathor à Râ d'une quelconque manière, je devais lui poser la question mais alors que j'allais ouvrir la bouche je me souvint, une seule question... impossible de demander maintenant, j'aurais certainement besoin d'elle plus tard...
Je pus alors constater que Téclis était forgeron, un regain d'orgueil se fit en moi quand on savait qui était Téclis maintenant ma profession me rapprochait de lui et j'eus réellement une grande fierté à exercer le métier de forgeron, bien que je l'ai toujours eu, mais cela était vraiment réconfortant et revigorant.

Je vis d'autres scènes, des scènes finalement ordinaires pour ces grands héros du passés qui n'étaient finalement que des gens comme moi, à cela près qu'ils avaient plusieurs milliers d'années de vie d'avance sur moi et qu'ils étaient célèbres, je ne pouvais rattraper la première condition, mais la seconde était toujours faisable. Un léger sourire qui se tue alors que je vis en haut des escaliers un nouveau palier, avec m'attendant, ou plutôt attendant là, la jeune prêtresse, je m'arrêta, la contemplant, elle était véritablement un fantôme, avançant ma main dans un premier temps comme pour voir si elle était bel et bien une illusion, ma main la traversa me glaçant la peau jusqu'au derme à travers mon gant, en moi je m'excusais de faire ce que je faisais, mais je devais avancer, je devais connaître la suite, je devais avancer vers ce qui était préparé.

Trois nouvelles portes, trois nouveaux gardes, étincelant portant des arcs, inutile de passer en force, cela je l'avais compris dès que j'avais franchit cette tour, l'endroit était plus vieux que moi, il était également plus sage et renfermait plus de puissance que je ne pourrais jamais en accueillir en mon propre corps. La scène qui se joua devant moi était très prenante, enserrant mon âme comme une corde autour du cou d'un pendu, l'amour n'a pas sa place à la guerre, le prince elfe le savait, j'entendis les supplice de la jeune prêtresse, je ne dis rien, me demandant un instant pourquoi me montrer cela à moi, pourquoi me montrer un passé oublié de tous mais que je ne cessais d'admirer pour les actes de bravoures qui y avaient été perpétré, allant contre les puissants, mais toujours pour une cause juste...

Je fus tiré de mon songe par la voix, résonnant une fois de plus au sein de l'édifice, un instant je me demandais si je n'allais pas moi aussi lui poser une question, lui demander qui elle était et pourquoi est ce qu'elle venait ici me parler à moi, mais je me retins, c'était certainement en vint et mieux vaut ne pas irriter une telle puissance, je devais accepter chacune des épreuves je ne pouvais pas faire autrement si ce n'est me jeter ma une fenêtre, pour périr au pied de la tour, chose totalement impenseble. La voix parla donc, je l'écoutais attentivement, me rappelant alors le moment où je dis à Syradis que je devais quitter la tour des nuages, me rappelant les suppliques que celle que je considérais comme ma soeur m'avait faite, je ne l'avais pas écouté, à cette seule pensée, l'impensable se produit, car au bord de mes yeux se mirent à se créer des gouttes qui s'asséchèrent aussitôt, mais elles avaient bien pris naissance, je ne croyais pas aux dons de voyances, j'allais donc répondre comme je l'avais toujours fait, comme s'il s'agissait de moi, qu'aurais je fais, non je n'aurais pas renoncé à l'amour et si je croyais au destin, si je pensais que ce dernier pourrait exister, si je savais que je pouvais mourir, si je savais que quoique je face j'allais mourir, que ferais je? La même chose que j'avais fais à Syradis, je lui aurait mentis, pour la rassurer et je m'en serai aller, mourir au combat si le destin existait... et si je savais que la personne en face de moi croit au destin... alors j'aurais dis...

Me plaçant devant la première porte qui correspondait à changer l'avenir, voilà ce que j'aurais fait, je me serais battu contre cette fatalité pour mon idéal, même si je devais mourir alors je serai mort mais je serai mort en tentant de rester vivant, j'allais changer l'avenir, j'allais revoir cette femme, revenir victorieux de la bataille, une bataille pour la liberté oui, mon choix se portais sur la porte A...
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Helianna Von Aqual
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Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] _
MessageSujet: Re: Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath]   Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] Icon_minitimeDim 17 Jan - 2:25

    Une fois de plus, le cœur de Belgarath lui avait soufflé la bonne réponse. En choisissant de mentir a Macha, Aenarion a préserver sa beauté, sa candeur et son courage au combat. Il était prêt a faire face a son destin alors que, profondément croyant, il se savait déjà perdu...Lorsqu'il passa la porte, elle se referma derrière lui et une nouvelle fois, le garde repris sa place. Ironiquement, alors qu'il s'agissait de la porte de la lumière, le couloir était sombre. Aussi noir que les ténèbres elle même, il était assorti d'un tapis rouge ou Belgarath pouvait s'avancer et observer de nouvelle fresque. Cette fois, il s'agissait de portrait de Cavalier de l'Apocalypse, avec une inscription dans la langue démoniaque et la langue des légions du Chaos. Ironiquement, la langue Chaotique était très proche de l'ancien elfique pour une raison qui semblait très mystérieuse...Quel message la magie de ce lieu essayait telle de faire passer ? L'âme d'Aenarion elle même intervenait telle pour essayer de faire passer un message a Belgarath ? Impossible a dire. En tous cas, il eu l'occasion de voir plusieurs portrait. Le premier était celui de la cavalière de la Maladie, une femme qui, ironiquement, contrairement aux abomination de Nurgle vue a la circonférence, disposait d'un charme certain, bien que semblant porter une tristesse infinie devant son armée de malade de la peste. Le second était bien plus musclé et disposait d'aile dans le dos. Son regard froid ne laissait aucun doute sur sa fonction, il était le cavalier de la Guerre. L'armée qui était derrière lui semblait immense et invincible tant elle pouvait écraser sous le poids du nombre celle des Amazones de Râ. La suivante fut une surprise, puisqu'elle était invisible, comme voilée par la magie elle même. Il y avait indiqué en dessous qu'il s'agissait du cavalier de la Vengeance. Mais pourquoi son visage n'apparaissait-il pas ? Le suivant semblait n'être qu'un esprit, et était le cavalier de la Misère. Il ne payait pas de mine, et ses démons de la misère non plus d'ailleurs. Une armée au rabais ? Pas sur cependant...Le suivant fut celui de la folie. D'une couleur de peau particulière, il semblait presque ressemblait a Hathor au masculin, si ce n'était la lueur démoniaque de son regard. Les démons qui constituer son armée était réellement horrible, et il n'était pas très difficile de comprendre ses manières de combattre. Venait ensuite la Luxure...Aussi curieux que cela puisse paraître, bien que très belle, la démone qui incarnait ce péché semblait bien moins dévergondée que Valeera Sanguinar, mais qui sait ? Les apparences sont souvent trompeuse. Des Succubes et des Incubes constituer ses rangs. La tromperie suivait, et était très peu habillée, elle semblait d'avantage incarnée le vice que la Luxure elle même ! Elle portait un serpent venimeux dans les mains et ses troupes semblaient peu nombreuse, mais d'élite. La Passion était également particulière, a mi chemin entre la Luxure et la tromperie, elle était brune, d'une peau blanche et pratiquement dévêtue avec deux cornes sur la tête. Elle était très séduisante, et même en image semblait totalement incarné sa fonction. La plus grande surprise fut toutefois le dernier. Espérance...Comment cette notion pouvait-elle être incarnée par un démon ? D'autant plus que l'image ne montrait qu'un fragile gamin, et en plus sans armée...Enfin, au bout du couloir, une image de tous les cavaliers réunit, a l'exception notable de la Vengeance, portant la mention « le supplice de Pandora ». Une humaine venait d'ouvrir la boite qui allait plonger le monde dans l'horreur...

    Les images fantomatiques des escaliers révélèrent les ultimes heures fatidiques. Macha nue dans un lit seule, elle avait fait l'amour, mais son prince l'avait laissée seule pour partir au combat. Idranel les yeux fermer, un symbole de la déesse Isha a la main, attendant devant une pendule l'heure fatidique. Korhil troublé alors qu'il ressent une magie étrange, renonce a couper un arbre et appelle ses amis bucheron. Râ en rang, curieusement son porte étendard est un homme. Les runes Elfiques ancienne et les marquages indiquent qu'il s'agit d'un homme a la réputation sinistre : Seth, le Seigneur de la redouté légion des Luna Wolves, qui pillèrent Erade lors de la guerre entre le premier Anémonius et le monde libre. A cet époque, il était encore du bon coté. Valeera Sanguinar sentant son besoin de magie et de sang devenir de plus en plus irrésistible, se tient le front, en proie a une crise violente, avant de sembler prendre le dessus sur ses souffrances en empoignant la poignée de son épée. Les runes magiques du dieu de la guerre elfique Khaela Mensha Khaine apparaissent clairement sur celle ci. Caradryan est toujours au conseil et lui aussi consulte une horloge inquiet en fermant les yeux. Téclis et Tyrion ont cessez leur entrainement. Ils semblent qu'ils s'apprêtent a faire face a la vague démoniaque...Seuls ! Quand a Caledor, il est rejoint par Aenarion qu'il regarde d'un air sombre...Il désapprouve l'attitude du jeune prince avec Macha qui avait le droit selon lui a la vérité. Pourtant, Caledor est un homme marié, mais il a une autre vision des choses que son ami. Toutefois, il ne lui en tien guère rigueur. Le prince et le dragonnier sont tombé d'accord sur un principe, la meilleure défense est l'attaque, et accompagné par beaucoup d'autre prince dragon, tous tiennent fermement leurs lances et partent a l'assaut !

    A la moitié des marches, l'apparition des différents osts démoniaque est tout simplement foudroyante ! De tous, c'est Korhil et ses bucheron ainsi que Râ et son armée d'amazone qui obtinrent les meilleurs résultats. Le premier dans l'improvisation et le courage, le second dans la rigueur et l'honneur. Bien que seuls, Tyrion et Téclis prouvèrent que leurs réputations n'étaient pas usurpée. En combinant leurs forces, il semblait bine qu'ils soient capable de faire pratiquement autant de dommage que l'armée d'amazone de Râ ! Caradryan se leva et se dirigea vers une armure dorée. Il avait lui aussi finalement prit sa décision. Il s'était trompé, il allait sacrifier ses privilèges au nom d'une vie de servitude pour son roi. Valeera Sanguinar semblait encore plus démoniaque que les démons eux même. Couverte de sang, dans un état proche de l'orgasme, elle égorgeait vif sans même réalisait dans quoi elle se plaçait, envoyant des psaumes sombre a Khaine, dieu du meurtre. Idranel leva un seul bras avant de déchainé une tempête psychique qui balaya une armée entière sous les yeux ébahi d'une Macha qui sortait nue de son lit. Malgré cela, l'armée ennemi progressait sur tout les fronts. Insuffisamment préparer face a des vagues démoniaques incessantes, les elfes devaient en plus faire face aux appels a l'aide des races des mortels, les Humains et les Nains, en proie a de grande difficultés. Au sommet enfin, Caledor sur son dragon use de sa lance stellaire pour pourfendre un esprit maléfique. Il est fier et majestueux et ne semble nullement inquiet malgré la précarité de sa situation. Le dragon hurle sa rage, bien décidé a protéger de sa vie son maitre !

    La grande salle donna cette fois un aspect différent. Les trois gardiens étaient des gardiennes, de simple civile Elfes sans aucune armes. Les bras croisées devant leur corps, elle semblaient verser des larmes éternelles. Un observateur attentif remarquerait facilement les esprits de leurs maris défunt essayant vainement de les consoler, mais il n'y avait tout simplement rien a faire. Une humaine faisait son apparition. Il s'agissait d'une ancêtre a un très loin niveau du roi Erade. Anowen était son nom, et bien que belle, elle était tout de même très loin de la fragilité touchante de Macha, ou du Sex Appeal de Valeera Sanguinar. Elle entretenait une discussion plutôt orageuse avec Aenarion. Les deux personnes sont devant un autel en flamme ou réside une épée marquée de puissante rune. Ensanglantée, marquée par les flammes et semblant constamment sortir de la forge, cette épée émettait un murmure. Belgarath lui même pouvait ressentir ses appels de puissances et de gloire. L'épée murmurait son nom ! La reine humaine tenait elle même une épée, et cette lame semblait effrayer l'autre, et pour cause, il s'agissait de l'épée des rois, la seule arme en Erade capable de détruire des armes magiques, arme forgé par une antique race humaine depuis longtemps disparu aujourd'hui, mais dont Anowen faisait partie apparemment. Cette partie la de l'histoire, même l'immortel Athlan ne pourrait la raconter...Car en devenant immortelle aux services des chimères, elle était incapable de s'en souvenir. Cette fois, les choses se préciser, et Belgarath pouvait enfin entendre les paroles d'Anowen s'adressant a Aenarion clairement, même si elle n'était qu'un spectre, comme Aenarion et l'épée d'ailleurs...


    « Vous êtes fou ! Nous devons détruire cette épée ! Elle est trop dangereuse ! Peut-être pourrait-elle sauvée votre peuple, mais elle engendrera des conséquences telle que tous les mortels de ce monde en subiront encore les conséquences pendant plus de dix mille ans ! »

    « La guerre était difficile, et malgré les efforts des héros de chaque race, il semblait que tous espoir semblait perdu. Aenarion et les siens avaient reposer tous leurs espoirs sur un artéfact pourtant maudit : l'épée de Khaine, le terrible dieu de la guerre et du meurtre Elfique. Mais la reine humaine Anowen s'opposa a cette décision courageusement. Que lui répondit Aenarion ? »

    A/ Vous avez raison, détruisons cette épée, mieux vaut être détruit et sauver notre honneur que de damné pour sauver nos misérable vie.
    B/ Ceci est une histoire elfique souveraine d'Erade. Malgré le respect que je vous doit, je vous prie de ne pas vous en mêler et de faire le nécessaire pour sauvegarder votre propre peuple en proie a la menace des démons autant que nous.
    C/ Cessez vos mensonge petite idiote prétentieuse ! *il la gifle puis prend peur et se rétracte* Pardonnez moi, vous avez sans doute raison...


    Belgarath lui même ressent l'appel de l'épée. Elle prononce son nom et lui montre des images de gloire ou, en chantre de la justice, il tint Luhiel en dehors de tout danger, pourfendant de la lame du dieu du meurtre les terres oubliées entière, devenant lui même l'avatar du Dieu a la Main Sanglante...
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Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] _
MessageSujet: Re: Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath]   Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] Icon_minitimeDim 17 Jan - 11:53

La porte s'était ouverte et une nouvelle fois j'étais passé, heureux de quitter cette scène de séparation que je détestais au plus haut point, je ne savais pas réellement quelle porte j'avais emprunté, enfin je connaissais la réponse que j'avais donné bien entendu mais je ne savais si cette porte avait une signification particulière, laissant la scène derrière moi j'étais dans un nouveau couloir, un couloir sombre où toute lumière semblait vouloir s'éteindre sans possibilité de revenir vers une quelconque blancheur, un quelconque espoir, sous mes pieds un tapis à la couleur du sang, un tapis qui allait certainement me mener vers ma prochaine étapes, mais alors que j'avançais dans les ténèbres ma main effleura une nouvelle fresque, m'attardant alors sur l'objet je me risquais à faire un peu de lumière, créant autour un ma main un halo de flamme afin d'éclairer la fresque par petite touche au fur et à mesure que je me déplaçais, où donc étais je tombé? La langue qui était utilisée pour décrire ces tableau ressemblait à de l'elfique, une de mes leçon me revint alors en tête ainsi que les paroles de mon mentor à la Tour des nuages...

"Ceci est le parlé noir des Terres Oubliées, seuls les Seigneur de l'Apocalypse en font encore usage, si un jour tu la vois où tu l'entends Belgarath, fuis, fuis très loin car c'est que tu es tombé dans les terres des ténèbres"

Mais je ne comptais pas fuir, ces démons bien que puissant et inspirant la crainte certaine ne me feraient pas reculer de mon but, les ténèbres et la lumière sont un équilibre puissant, jamais les ténèbres ne pourront ni ne devront recouvrir l'Erade à moins que cela n'entraine notre chute à tous, mais alors je mourrai aux côtés de ceux qui veulent défendre la lumière j'en étais persuadé, mais pourquoi, mon choix ne pouvait s'apparenter aux ténèbres, qu'est ce que cela signifiait? Les cavaliers étaient donc prêt à chevaucher à nouveau en dehors des terres oubliées? Cette sensation me fit frissonner comme si j'avais déjà pus ressentir toute leur force et leur puissance, mais si c'était ainsi, tout ce que j'avais prévu tomberait à l'eau, je serai moi aussi obligé de prendre les armes, moi aussi je serai obligé de me dresser contre les hordes démoniaques, mais je n'étais pourtant pas un Héros, pas comme les elfes, eux étaient de grand héros, j'avais déjà donné la mort, mon âme était habitée par deux puissantes force en continuel combat, comment un être des ténèbres tel que moi pouvait être un héros?
Mais en y réfléchissant, les cavaliers de l'apocalypse sont des héros, des héros de leur peuple, celui des terres oubliées, se pourrait il? se pourrait il que moi aussi, que je sois à la frontière entre ces elfes et ces démons, les pouvoirs des ténèbres pour défendre la noble cause?

J'avançais dans les ténèbres à ma seule lumière, voyant de nouveaux visages, devant moi une femme au visage infiniement triste qui avait derrière elle une armée que l'on aurait put qualifiée d'agonisante, la peste... je détestais cette maladie entre toute, à vrai dire je détestais les maladies, légèrement hypocondriaque sur les bords, être malade était pour moi un véritable supplice, passant rapidement au second portrait, reconnaissable entre tous, le cavalier de la guerre, c'était certainement le plus humain de tous de sa manière de combattre et de l'armée qui le suivait, impressionante force d'attaque, une force de frappe capable d'écraser n'importe quelle armée, il était aisé de se faire séduire par tant de puissance.
Le troisième portrait n'avait aucun visage, cavalier de la vengeance, qu'est ce que cela pouvait il signifier? Et alors je fus pris d'un doute, comme si une évidence venait de me frapper, cela signifierait il que ce cavalier est de retour, déjà prêt à fondre sur l'Erade ou peut être a t il déjà commencé? Mais même si c'était le cas, même si c'était vrai, que pourrais je faire avec mes simples pouvoirs, les cavaliers de l'Apolcalypse étaient les maîtres ou en tout cas faisaient partit des Seigneurs des Terres oubliées, regardant mon feu bruler autour de ma main, j'eu un léger rictus, oui même si je n'étais pas assez puissant je le deviendrai et à ce moment là je m'opposerai, moi et tout les membres du mouvement Phénix, il nous faudra nous opposer à eux, convaincu par mes propres parole,s je décidais d'avancer, continuant ma progression je passais devant le cavalier de la misère et arrivait devant celui de la folie aux yeux qui semblait pouvoir transpercer les chairs de ses ennemis, son armée lui ressemblait, horde barbare sans réelle cohésion qui combattait certainement dans une cohue sans nom capable de pourfendre les plus belle formations militaires elfes.
La suivante était une femme, la luxure, et alors je me posais l'idée de comment moi je pourrais tuer une femme, ce n'était ni dans mes principes ni même dans me vision des choses c'était tout simplement impensable, la luxure semblait plus distinguée mais c'est en cela que ces manières étaient terrible à mon humble avis beaucoup plus pervers que ne l'était Valeera Sanguinar, une femme calme et distinguée qui cachait certainement la pire des cruautés de ce monde, bien entendu elle était suivit des créatures les plus détestables, à après la maladie, de l'Erade, les Succubes et les Incubes, ces deux races m'avaient toujours mise en horreur, ces êtres étaient pour moi une race qu'il fallait tuer, quoi qu'il puisse se passer.

La suite de la fresque dévoila la tromperie, femme voluptueuse entourée d'un serpent que je ne voudrais pas réellement rencontrer, la tromperie était un péché que je détestais, innomable et terrifiant, abuser des gens était amusant lorsqu'ils étaient mauvais, mais que les mauvais abusent des âmes innocentes me soulevait le coeur au delà de la raison.
L'avant dernière personne sur la fresque était la cavalière de la passion, je ne connaissais pas réellement son pouvoir mais une chose est sur, pour le coup, l'habit (ou le déshabillé) faisait le moine! Passant avec un léger sourire aux lèvres je vis la dernière représentation de la fresque qui me fit reculer de quelques pas en découvrant cela, l'espérance, mais également sa représentation, un enfant, comme l'espoir pouvait entrer au milieu des hordes démoniaques, comme l'espoir peut il se trouver dans la mal, mais après tout moi même j'utilisais mes pouvoirs de sorciers pour fonder un ordre qui rétablirai la paix et le calme au sein même de l'Erade, alors l'espoir au sein des démons, mais était ce pour montrer que l'on peut donner l'espoir aux hommes et le leur voler tel un sentiment qui les mettrait alors dans un découragement total.
Homme, femme, enfant, donner la mort à chacun de ses êtres, pour que la liberté puisse triompher, si c'était le cas, alors je devais le faire; la dernière image montrait le début de l'horreur, Supplice de Pandora, histoire que l'on ne raconte que rarement, devenue une légende dans l'esprit de la plupart des hommes, mais alors, oui, elle aurait libéré les cavaliers de l'Apocalypse, mais pourquoi la vengeance n'était pas là? Ces tableau, cette fresque, cette tour, était elle vivante au point d'enfermer les âmes des autres cavaliers, alors devrais je peut être détruire cette fresque, non impossible... comment pourrais je aller contre cette tour, tournant le dos à tout cela je repassais de nouveau sur l'immense escalier...

Une bourrasque de vent dévoila mon visage et je n'avais plus besoin du feu que j'éteignais commençant ma nouvelle ascension, encore plus lentement que précédemment, l'air se raréfiant encore plus, les images reprirent, tel une fresque vivant, la jeune femme d'Aenarion était là, seule avec son seul corps pour couverture, emprise au doute et à la souffrance d'un prince qu'elle savait que jamais elle ne reverrait, qu'elle était persuadée et peut être espérait elle qu'en son sein grandisse le fruit de leur amour. Mais déjà ma route devait continuer, je la laissais seule, je vis ensuite Idranel, priant devant une simple pendule qui décomptait le temps, il ne faut jamais attendre avais je envie de lui dire, il faut toujours prendre les devant qu'importe ce que nous décidons. Le bucheron lui même prend les armes, qu'avait il ressenti, le prénom de Thot me revint alors en mémoire, ce géant que j'avais rencontré durant mon errance, bucheron lui aussi, il avait développé un potentiel magique assez impressionnant en peu de temps, sans nul doute lui aussi prendrait il les armes si je le lui demandais. Non loin de là était l'image de Râ à la tête de ses armées rangée, brillantes comme le soleil, ayant ironiquement un homme pour porte étendard, cela me fit rire, le prote étendard était souvent le premier tué au combat, Râ préférerait il sacrifier des hommes que ses amazones?

Mais je pus alors distinguer son rang, Seth! Qui ne connaissait pas Seth au sein de l'Erade? Je ne l'aimais pas pour sa réputation de pillard, mais celle de combattant était véritablement hors pair! Regardant cette armée, ordonnée et grandiose, mais déjà l'image passait pour laisser place au cours de mon ascension à Valeera instable dans sa façon d'être, elle était véritablement l'archétype de la fanatique du Dieu de la guerre, étonnement ses crises ressemblaient aux miennes, mais pour ma part c'était mes problèmes cardiaques, qui faisaient battre mon coeur à un rythme trop irrégulier pour que l'on puisse s'accorder dessus, d'ailleurs cette ascencion me faisait atrocement souffrir, mon ryhme cardiaque s'emballait rapidement pour retomber tout aussi rapidement et le manque d'air n'arrangeait rien à cela, mais je continuait d'avancer.
Un homme était assis seul au milieu des sièges vide du conseil, ce conseil qui avait refuser de croire à la guerre imminente, où était il à présent, je détestais ces politicien et ces nobles sans envergure, cela me rappela la tour des nuages et ce conseil aussi fermé sur lui même que le royaume qu'ils conseillaient... Tous les autres étaient là également, apparaissant à tour de rôle, démontrant leurs choix respectifs, et enfin vint le temps de l'attaque...

La guerre faisait désormais rage sous mes yeux, les ombres se battaient entre elles, dévoilant les armées et les hordes démoniaques qui déferlait sur l'alliance des elfes, résistantes les forces de Râ et de Korhil qui étaient les plus résistante, mais pour moi qui avait une vue d'ensemble de la scène, je voyais que cela n'allait pas rester longtemps à l'avantage des elfes. Les plus impressionants étaient tout de même les frères jumeaux, capable de pourfendre une armée entière à eux seuls, majestueux et magnifique, mais c'est alors que revint l'image de l'homme au beau milieu de l'hémicycle vide, se dirigeant vers son armure, il avait selon moi fait le bon choix, un choix judiscieux même si cela entrainerait sa désuétude et sa chute aux yeux de son seigneur, mieux valait cela que de laisser ceux à qui il tient mourir au combat sans être à leur côté, cela aurait été sans nul doute un preuve de lacheté sans nom. Valeera s'était laissé allé à sa soif de sang et de magie, dévoilant sa plus grande curauté elle parvint à me faire frémir moi même, oui parfois ceux qui sont du côté de la lumière ne sont pas forcément comme on se les imagines, finalement peut être pourrais je faire quelque chose moi aussi, Idranel était sortie de ses prières, peut être avait elle trouvée cette force au sein même de sa croyance envers son Dieu.
Mais tout cela ne suffirait pas, tout cela était bien trop ordonné pour faire face à la folie des démons et ce qui suivit était malheureusement prévisible, depuis des siècles certainement les démons s'étaient préparés à cette guerre, les elfes, dans leur soif de paix et de tranquillité n'étaient pas prêt et tout puissant qu'ils étaient, la bataille ne tournait pas à leur avantage.
Le combat était instense et magnifique, mais en regardant de plus près ce n'était qu'un abominable bain de sang et pourtant, déjà j'arrivais en haut de ces escaliers sans véritablement m'en rendre compte...

La grande salle faisait office presque de lieu de culte, les trois gardiens étaient des femmes, pleurant des larmes immortelle qu'aucun homme pas même les leurs pouvaient soulager, les épées, les arcs et les poings, que serait donc la prochaine étape? J'avais eu jusqu'à présent l'accord parfait des ligne de front, des archers derrière et me voici maintenant devant le peuple pleurant l'attente de ses guerriers qui jamais n'allaient revenir.
C'est alors qu'une nouvelle scène eut lieu devant moi, mais différente, bien plus réelle que les autres, comme si cela se jouait encore plus pour se mêler avec moi, une femme fit son apparition, une humaine à n'en pas douter car sa beauté ne pouvait être comparable avec celle des dames elfiques, face à Aenarion la situation semblait tendu, me rappelant une nouvelle fois ma séparation d'avec Cyradis, mais une chose attira mon attention, cet autel dans lequel trempe une épée en flamme, une merveilleuse arme, mais en la regardant j'ai comme cette étrange impression, cette impression que cette épée des temps oubliés prononce mon nom, il s'agit pourtant d'une illusion alors comment est ce possible? Mais face à elle, c'était la gloire et la puissance, la puissance défendre tout un peuple contre les démons, et la gloire éternelle, cela me perturbait, la regardant du coin de l'oeil d'un air presque effrayé, j'avançais malgré moi, petit pas par petit pas, la scène était précise, tant et si bien que d'un seul coup les lèvres qui bougeait de la femme produire un son, elle mettait en garde Aenarion, mais j'avais l'impression que cela s'adressait également à moi, en moi d'ailleurs mon âme se faisait ressentir encore plus, tiraillant à l'intérieur de moi la lumière et les ténèbres face à cette illusion mais qui semblait tout aussi réel que moi et la douleur que je ressentais en moi.

La voix de la tour se fit entendre de nouveau, me mettant face à un nouveau choix, me relevant avec peine et restant sur mes jambes, sortant mon sceptre afin de m'appuyer dessus et alors que je l'entendais parler j'entendais dans mon esprit cette voix qui appelait mon nom et devant mes yeux se profil un futur dont j'ai rêvé, un futur où Luhiel peut vivre tranquillement et d'où d'une seule main je met un terme à l'ignominie des terres oubliées rendant alors à ce monde un peu de Justice. Les forces en moi sont tellement fortes que mes yeux eux même perdent de leur humanité. Dévoilant seulement deux orbites, une totalement émeraude, l'autre de la couleur des flammes, la magie et la sorcellerie de mon être semblait s'évaporer par les pores de ma peau et j'eus l'impression d'être à la place d'Aenarion, je le comprenais, il était croyant très croyant et il savait qu'il allait mourir dans cette guerre, alors il ne voulait ni ne pouvait aller contre son destin, il avait décider de se sacrifier et cela pour son peuple, pour tout les peuples libres, je répondais alors à haute voix comme possédé, raisonnant dans la tour...


"Ceci est une histoire Elfique souveraine d'Erade. Malgré le respect que je vous doit, je vous prie de ne pas vous en mêler et de faire le nécessaire pour sauvegarder votre propre peuple en proie à la menace des démons autant que nous"


Je fis alors face à la porte B, c'était selon moi le seul choix logique d'Aenarion, même si pour ma part je ne savais et ne pouvais savoir si j'aurais le même choix...





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Helianna Von Aqual
Amirale des Océans
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Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] _
MessageSujet: Re: Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath]   Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] Icon_minitimeLun 18 Jan - 14:20

    Il passa une nouvelle porte, contournant le spectre de l'épée. Celui ci c'était tut. D'ailleurs en regardant le couloir, il put constater que l'épée n'aurait en réalité jamais du être présente. Une autre image montrait la scène, la reine humaine, son épée des roi accrochée fermement a son dos, plaidant sa cause devant Aenarion, mais l'épée n'était pas...L'Elfe avait probablement été hanté par la lame pendant des années et vivait encore avec ce poids dans le cœur. L'ombre approchant, celle ci prenait de l'importance dans la tête de celui qui essayait de sauver son peuple. Mais alors qu'il avait avancer de quelque pas, cette fois, il eu l'occasion de voir d'autre visages, ceux des alliés, ceux qui avait fait le choix de se battre contre l'invasion démoniaque et de sauver les terres libres au nom d'un idéal qu'ils ne pourraient pourtant jamais retrouver...Le premier visage fut bien sur celui de cette reine, belle et fragile, mais avec un regard noble qui prouvait une détermination sans faille. Ses vêtements portaient des fleurs de lys, tandis que son épée était particulière, fendue en son centre, elle semblait réellement irréelle. Anowen était une femme d'un genre d'humain qui n'existait désormais plus. Son nom était indiqué sous le portrait, avec la mention de « reine dynaste » qui semblait induire qu'elle disposait d'une grande réputation parmi son peuple. A ses cotés, le portrait probablement de l'un de ses gardes du corps, en armure complète, seul son heaume montrait son visage, et il était monté sur un destrier marron, probablement une race de pur sang dont la vitesse n'était pas très éloignée des destriers Elfiques. Les pièces d'armure était noire et dorée, lui donnant un air particulièrement noble, tandis que ses héraldiques portait des couleurs vertes, contrastant avec le blanc et le rose portait par Anowen. Il n'y avait cependant pas de nom, comme si celui ci avait fini par ce perdre dans les méandres de l'histoire. A coté, le portrait était assez surprenant. Il y a mille ans, les Elfes de la Pénombre se lançait dans une guerre sanglante contre les Nains et les exterminait jusqu'au dernier dans l'indifférence générale, mais a cet époques, ils étaient toujours la, et un roi Nain était donc présent sur les portraits. Le nom inscrit était Torghil, et il était l'archétype même du nain, portant une longue barbe et un casque a aile, avec des bijoux précieux et un marteau incrustés d'or et de pierre rare comme l'émeraude. Il semblait ronchon et contrastait avec la grâce des Elfes. Même les cavaliers de l'Apocalypse étaient parfois plus beau que lui...Lui aussi était accompagné d'un garde du corps sans nom, entièrement recouvert d'une armure. Le plus drôle était que les nains étaient si fier de leurs barbe que même l'armure en portait une ! Enfin, une grande fresque montrait au dessus de la porte une réunion ou siégeait Aenarion, Caledor et Râ. Anowen et deux de ses gardes du corps était présent, ainsi que Torghil. Cette histoire n'était cependant pas celle des hommes et des nains, mais ils avaient joué un rôle, prouvant qu'il était impossible de dissocier les destins de l'Erade.

    L'escalier en colimaçon fut de nouveau la. Mais après trop étapes et en sentant l'air se raréfié, il était évident que la fin était proche. La salle du conseil étaient de nouveau la, en vision fantomatique, montrant les dirigeant signé un a un le traité de l'ultime alliance qui allait sceller le destin des terres libres. Chacun s'engageait a faire le nécessaire pour réaliser un plan commun qui visait a permettre a la déesse de la nature de voir le problème et intervenir. Autant dire que certain n'était pas forcement d'accord, car c'était prendre un risque énorme que de pousser Ohrmazd a venir sur le champ de bataille. Mais c'était la seule solution, et si le monde devait disparaître, alors tous avait fini par se mettre d'accord qu'il valait mieux que cela soit rapide et brutal qu'une lente et douloureuse agonie qui serait encore plus rageante. Des mesures aussi radicale que la politique de la terre brûlée, afin de s'assurer que les morts ne se relèvent pas pour servir le dieu sombre, ainsi que d'autre aussi cruelle furent prise pour la survie du monde libre. En montant encore, une scène mettait de nouveau en scène Macha. Cette dernière avait un regard différent. Les yeux rougit, elle avait pleurer c'était évident, mais il semblait qu'elle avait dépassée ce stade, puisqu'elle se passait des peintures rouge sur la peau, traçant diverse rune magique dont aujourd'hui même les Elfes du Soleils avaient perdu les secrets. Idranel derrière elle semblait désapprouver son choix, mais c'était refusée a lui imposer quoi que ce soit.

    Caradryan avait rejoint Korhil. Le bucheron portait maintenant un semblant d'armure comme ses semblables et semblait avoir été capable de mobiliser toutes les personnes de sa caste pour partir au combat. Caradryan et lui discutait de chose aussi curieuse que le nombre de démon qu'il serait capable de vaincre. Une sorte de rivalité amicale entre l'ancien politicien et l'ancien paysan unit dans une cause commune : la défense de toutes les choses qui leurs étaient chère. Tyrion, dans une armure dorée étincelante, était toujours aussi calme, de même que son frère jumeau. Ils étaient en revue de troupe, essayant d'adresser une parole encourageante a chaque homme, qu'il soit humain, elfe et même nain, l'important semblait être a leurs yeux l'union sacré contre les forces du mal. Enfin, Caledor et Aenarion se trouvait derrière, avec Anowen et Thorgil, a discuter des derniers détails. L'armée adverse avait répondu a la provocation, et la bataille fut disputé. Râ était bien sur resté avec son armée et parti combattre l'arme en avant. Il fut attaqué par une ombre et se défendit, il n'était pas difficile de deviner qu'il devait s'agir du cavalier de l'Apocalypse de la Vengeance. Malgré leurs difficulté et l'impossibilité apparente de tuer les cavaliers de L'apocalypse, les Elfes semblaient être parvenu a bannir ses abominations, alors qu'Anowen et Thorgil n'avaient pas hésiter a foncer dans la mêlée afin de gagner le temps nécessaire au bannissement des cavaliers. Même Macha avait affronter un cavalier, son regard ayant perdu toutes douceurs pour afficher un sérieux effrayant. Toutefois, sa robe verte portait le symbole de l'Ankh, l'éternelle renaissance qui était également sur l'armure d'Hathor lors de l'enterrement d'Azure. Mais contrairement a cette dernière, Macha y avait ajouter un cœur en son centre afin de symboliser son amour éternel.

    Une fois en haut, cela ne ressemblait plus vraiment a une tour mais une sorte de grotte a l'intérieur d'un volcan. Il y avait des effluves de lave en fusion dans la salle. L'épée de Khaine, toujours fantomatique, était enfoncer encore dans son socle et Aenarion s'en approchait. Au dehors, l'on entendait les cris de rage d'Ohrmazd qui s'en prenaient aux armées, et personne n'était capable de le contenir. Les mots de l'épée étaient devenu si envahissant qu'il était impossible d'en faire abstraction. Mais cette fois, Belgarath était épargner de référence personnelle. Il entendait ce qu'elle disait a Aenarion, lui donner le pouvoir de terrasser en dieu en devenant l'Avatar même de Khaine sur terre. Cela avait vraiment quelque chose d'effrayant, mais il ferait face...Toutefois, un bruit de pas se fit entendre. Macha courrait, et derrière elle, Râ avançait d'une manière plus calme. Son armure dorée avait subie moult dommage et certaine blessure saignait encore, mais cela ne semblait pas le déranger outre mesure. Enfin, une autre personne faisant son entrée, Valeera Sanguinar, le visage, décolletée ainsi que les armes en sang, l'appel de Khaine ayant probablement était trop fort pour qu'elle puisse rester sur le champ de bataille. Même ainsi souillée par le sang démoniaque, elle conservait une stature toute Elfique et une grande beauté. A bien y réfléchir, Luhiel n'aurait telle pas quelques liens avec ses femmes magnifiques.

    Aenarion se retourna et Macha stoppa net sa course, elle semblait sur le point de craquer. Elle aussi avait souffert et était couverte de blessure, mais elle était toujours vivante. Le visage de Râ était marqué. Sanguinar au contraire semblait aux anges, elle avait hâte de voir l'Avatar en action. Mais un conflit continuer de hanter son esprit, au fond d'elle, elle sentait que cela n'était pas la bonne décision. La Race Elfique elle même était a la croisée de ses chemins, partagée entre la volonté de sauver le monde ou sauver son peuple, son amour, les personnes qui leurs sont chers...Belgarath put constater qu'il n'y avait plus que deux portes, garder par des Amazones de Ra, reconnaissable a leurs cimeterre et le symbole de l'œil sur l'armure. Une longue discussion s'engagea alors entre les différents protagoniste, chacun faisant valoir sa propre vision des choses, Râ prenant le premier la parole


    « Caledor est mort...Tu n'est pas obligé de faire cela. Moi aussi je ressent son appel. Tu a une femme et un enfant, Tyrion un frère jumeau. Moi je n'est pas d'autre famille que mon armée, elles sont toutes préparer a me voir mourir un jour...Laisse moi devenir l'Avatar a ta place Aenarion, ne la laisse pas souffrir... »
    « Non Râ tu te trompe, Khaine n'acceptera que lui...Soit il prend l'épée, soit nous devrons faire face sans son aide ! »
    « C'est plus grave que cela, il ne s'agit pas seulement de nous deux...Mon amour, ne tire pas cette épée, ou nous serons tous damnée ! »
    « Quoi ? »
    « Ne dit pas n'importe quoi pour sauver ton petit foyer Macha ! Nous somme la race la plus belle de ce monde, comment pourrions nous être damné, nous les fils favoris de la nature ? »
    « Par notre vanité ! Réveiller l'Avatar du dieu de la guerre sauvera peut-être le monde d'Erade, mais condamnera la race des Elfes a une éternité de damnation et une lente agonie ! Ne pensait tu pas qu'il valait mieux disparaître brutalement ? »
    « Avons nous le droit d'abandonner les autres au noms de la survie de notre race ? C'est une responsabilité au nom d'Erade même que nous devons prendre ! »


    Le lourd poids de la tâche semblait assommante...Le choix était simple...La porte de la lumière et abandonner l'épée, ou la porte des ténèbres et la tirer de son fourreau. Il n'y avait pas de demi-mesure...


    A/ Laisser l'épée
    B/ Prendre l'épée.
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Belgarath

Belgarath

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Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] _
MessageSujet: Re: Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath]   Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] Icon_minitimeVen 22 Jan - 18:22

Une nouvelle fois la porte s'était ouverte, était ce la dernière fois je ne le savais pas, mais une chose était sur je partais de cet endroit, je n'avais pas envie d'autre chose, cette histoire d'épée hantait le prince, cela se ressentait dans cette scène ho combien étrange mais surtout, très brouillée, elle ne semblait pas refléter la réalité, je ne savais pas réellement ce qu'il avait vécu, mais j'avais l'impression de ressentir les mêmes choses que ce prince que ses pensées étaient dans ma tête, peut être était ce pour cela que je voyais toutes ces scènes, toutes ces images et peut être n'étaient elles pas dut à la tour elle même, mais je ne pouvais pas véritablement le savoir, ce n'était que des suppositions étranges et des lieux que jamais je n'aurais cru côtoyer de ma vie, j'étais un homme qui se considérait déjà sur le déclin, mon coeur était dans un état si impropre qu'il aurait été difficile pour un démon de le manger, mais même s'il ne me restait qu'une poignée d'année à vivre, alors je voulais les vivre pleinement et surtout mourir sur un champ de bataille, défendant bec et ongle mes idéaux et ceux que j'aimais, mais je ne voulais absolument pas mourir dans mon lit sans autre forme defin que celle d'un homme agonisant dans ses propres excréments.
Quoiqu'il en soit les tableaux continuaient eux aussi, m'offrant un panel de visions assez impressionnante mais je m'attardais toujours, je voulais prendre mon temps pour connaitre cette histoire, la comprendre et surtout comprendre pourquoi on me la montrait à moi, pourquoi moi? Je me posais souvent cette question et je n'avais aucune réponse, moi qui avais tout, j'aurais put faire une formidable carrière d'orateur à la tour des nuages où j'y aurais vécu paisiblement, épousant probablement une jeune fille de la ville que je préférais aux nobles ou quelque chose dans le genre, mais là non, lorsque je refaisais le point c'était assez affolant, j'avais du m'exiler, apprendre, tuer, traquer, chasser, mentir, aimer, et plein d'autres choses en l'espace finalement de peu de temps; ce peu de temps qui avait fait de moi celui que j'étais aujourd'hui, un homme voulant le bien mais extrêmement fatigué et qui ne savait pas combien de temps encore il pourrait parcourir l'Erade, non je ne mourrai pas à 80ans, loin de là, je me donnais jusqu'à 35, 40 tout au plus avant d'aller dans les abysses de ce monde pour y purger ma mort ou dans n'importe quel endroit où nous nous rendons après notre trépas.

Le tableau montrant la reine était réellement magnifique et montrait à quel point elle voulait à tout prix défendre son peuple et ses convictions, entourées de ses fidèles jusqu'à la fin de tout, jusqu'à ce que dans l'univers infini se perde les cris incesecant des démons rencontrant les elfes, les uns et les autres périssant dans un immense bain de sang, mais avaient ils le choix? Les elfes avaient ils le choix pour leur liberté? Je commençais à comprendre peu à peu que moi aussi j'allais devoir me battre et que moi aussi je devrais faire des choix à l'instar de ce prince ferais je les bons au bon moment, cela, nous ne pourrons le savoir que lorsqu'ils seront fait.

Le portrait suivant me fit sourire, non pas en voyant les elfes de la pénombre, mais en voyant ce nain, j'adorais écouter les légendes des nains pendant mon enfance, déjà à l'époque ils avaient disparu mais je les aiment bien avec leurs manières et leur franc parlé, ainsi que leur manière de combattre, ils étaient pour moi le peuple même qui symbolisait le courage et la volonté de faire le bien et de faire avec leur taille des choses gigantesques. J'avais été triste étant enfant lorsque l'histoire s'était fini par la fin même du peuple nain, alors en revoir un là, au milieu de tout ces elfes, oui cela était réellement bien et réellement enrichissant, cela faisait chaud au coeur quoique l'on puisse en dire, cet archétype du nain était très amusant et je me disais qu'avec quelques mètres de plus il ressemblait presque trait pour trait à ce vieux Torak que je n'avais pas vu depuis bien longtemps maintenant. L'armure pour barbe était certainement la plus belle invention de ce peuple et montrait toute leur fierté! J'aimais décidément beaucoup ce peuple que je n'avais jamais connu, le tableau suivant m'amena à un conseil, et finalement ce que je pensais aujourd'hui c'était déjà fait par le passé, un conseil avec toutes les races, l'Erade réunis autour d'une même table pour décider tous du sort commun de ce monde, c'était réellement encourageant pour moi et j'aspirais à revoir un jour un même conseil se tenir mais en des circonstance plus lumineuses bien entendu. La guerre et la peur les avaient rapprochés, j'espérais que la Justice et la paix pourraient faire de même.

Le couloir avait été moins long ou peut être était il passé plus vite, peu importe je me retrouvais une fois de plus sur cet escalier en colimaçon qui me faisait faire le tour de la tour, j'étais désormais très haut, presque au dessus des nuages, ce qui se démontra par la température extérieure qui avait considérablement baissé et l'air encore plus rare rendait pénible mon ascension, ma tenue bien éraflée de ma petite escapade dans les montagnes me rendait peu présentable mais surtout elle ne me tenait presque plus chaud, quoiqu'il en soit mon attention fut attirée par la scène qui se jouait, elle était si proche que je pus lire le traité presque clause par clause comme si j'étais à la place du Prince, oui leur plan semblait risqué, mais que faire d'autre? se laisser tuer un à un sans réagir, non j'étais aussi d'accord, mieux valait mourir vite qu'à petit feu en se terrant comme des animaux apeurés, la scène passa rapidement sur la jeune prêtresse qui, selon moi, semblait prise dans une crise de désespoir qui l'avait amené, après de long pleurs à faire quelque chose d'insensé, à faire quelque chose dont une personne saine d'esprit n'envisage que lorsqu'elle sait qu'elle va mourir et qu'elle ne peux plus reculer devant l'évidence même de son trépas; ensuite chacun des héros fut montré, comme un ultime rassemblement, un ultime passage en revue avant que nous ne disparaisse, avant que tout ne se fonde en un seul et même univers et puis la bataille éclata, simple boucherie sans nom où les héros se faisaient, où les légendes se construisaient et où les pleurs à venir se faisaient sentir comme une ombre latente planant au dessus de la tête de chacun, le bucheron était certainement le plus courageux selon moi, Râ le plus téméraire, les Jumeaux les plus tactiques, Macha arborant la même croix que celle d'Hathor à quelques détails près, la plus désespérée et les Apocalypses, les plus abominables, mais le combat ne pouvait être interrompu, j'étais spectateur impuissant traversant les âge comme un voyageur passant son chemin et faisant défiler sa vie sous ses propres pieds.

Voilà enfin que j'arrivais en haut de la tour, une sorte d'étape ultime où l'illusion était totale, car les pierres remarquablement taillées et tout simplement parfaites avait laissés place à une grotte étrange et difforme, il me semblait entrer à l'intérieur d'un volcan, l'illusion était si puissant qu'il me semblait en sentir les flammes, j'étais seul avec Aenarion, le prince se tenait devant l'épée qui m'avait tant fait souffrir auparavant, mais cela ne semblait plus être, pourquoi, je ne le savais, mais même mon ouïe était trompé, car j'avais l'impression que juste en dehors, se tenait véritablement le combat, la vraie guerre, Ohrzmad à l'extérieur déchainant toute sa haine et le jeune prince envouté par la parole de l'épée, je l'entendais clairement, cela me faisait réellement de la peine pour cet elfe, mais avait il réellement le choix? Quoiqu'il en soit des bruits de pas se firent entendre et les formes fantomatiques de Macha, Râ et l'elfe de sang me traversèrent pour aller voir le jeune Prince, en regardant bien Valeera et son éclatante beauté malgré son corps maculé de sang de démon, j'eus l'impression parmi ces magnifiques visage de dames elfique d'y apercevoir par moment Luhiel, comme si elle était composée d'un peu de chacun d'eux et cela me rappelais pourquoi je la considérait comme je la considérait...

Me retournant je constatais que deux protes étaient là, je n'y avais pas encore prêté attention, étaient elles apparues? ou au contraire étaient elles là depuis le début? Qu'importe, elles étaient au nombre de deux, gardées par des gardes de Râ, certainement les plus puissantes guerrières de ce monde, mais pour le moment je fus interrompu dans mes pensées par les voix très claires de chacun des protagonistes, Valeera voulait voir le Dieu de la guerre sans aucun doute, mais une question plus importante se posait encore, voir la race elfe tomber ou l'Erade tout entière? Mais j'avais réfléchis à ce choix moi aussi, logique après tout, en montant les escaliers interminables et j'étais arrivé à la même conclusion que Râ, notre dignité ou notre égo ne vaut pas le sacrifice de tout un monde, mieux vaut être damner et sauver le monde que de laisser choir tout espoir de réussite... non, il n'y avait qu'une seule solution et alors que je pensais dans mon esprit à tout ce que j'avais vu jusqu'à présent, je fis le geste, comme si j'ôtais réellement l'épée de son fourreau oui c'était cela le choix qu'avait fait le prince, j'en étais sur...

Ôter l'épée de son fourreau...
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Helianna Von Aqual
Amirale des Océans
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Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] _
MessageSujet: Re: Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath]   Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] Icon_minitimeSam 23 Jan - 20:38

    Il prit le pommeau de l'épée. Macha hurla désespérément pour essayer de lui faire changer d'avis, que tous ses murmures n'étaient que mensonge, que l'œuvre du dieu du meurtre ne pouvait être que destructrice, que jamais il ne viendrait en aide des Elfes. Valeera Sanguinar voulu un instant la faire taire de la manière la plus radicale possible, mais d'un seul regard, Râ parvint a maitriser la situation. Celui ci prit les épaules de la jeune femme, comme pour l'empêcher d'aller plus loin alors qu'elle pleurait toutes les larmes de son corps. La blonde n'en pouvait plus, elle aurait voulu voir ce cauchemar, celui dont elle avait rêver chaque nuit, ne pas se réaliser. Pourquoi fallait t'il que le destin l'emporte, alors que le grand Caledor lui même était déjà tombé ? Lorsque l'épée sorti enfin de sa stèle, elle hurla comme si une lance venait de lui transpercer le cœur, alors que la poigne puissante du seigneur des amazones parvenait a la maintenir en position malgré qu'elle essayait de se débattre. Toutefois, même ce vétéran de mainte bataille, qui en avait déjà trop vu pour un seul homme, même a la longévité elfique, trouva le spectacle des souffrances d'Aenarion insupportable. Seule Valeera Sanguinar, subjuguée par la débordante énergie du dieu de la guerre, c'était prosternée devant l'image de l'Avatar afin de lui rendre un hommage qui lui semblait digne de sa puissance. Les veines du jeune homme prirent une teinte rouge vif, comme si le sang qui coulait en lui devenait une véritable lave, alors que sa main gauche baignait dans le sang, un sang qui semblait impossible d'effacer et qui coulait éternellement. Son corps s'enflamma et sembla prendre une taille démesurée. Comme si le voir souffrir autant parvenait a lui donner une force hors du commun ou peut-être parce que Râ lui même n'en croyait pas ses yeux, Macha parvint a se dégager et le général fut propulsé plusieurs mètre en arrière, se relevant péniblement a cause des blessures qu'il avait subit au combat.

    Valeera s'était relevée, contemplant l'Avatar de Khaine avec une admiration sans borne. La créature faisait bien six mètre de haut, tout en flamme, une forme elfique, bien qu'avec un visage peut-être encore plus allongée. Une chevelure de cendre comme la portait les guerriers de jadis et des runes sur son torse et son visage, il était couvert d'un pagne et n'avait plus rien a voir avec Aenarion. Maintenant, Belgarath était totalement a l'extérieur de la scène, pour une raison inconnu, Macha tournait le dos a l'Avatar, regardant Râ et Valeera avec une lueur de haine et d'incompréhension, elle venait de tout perdre a cause d'eux, le fanatisme de la dévote avait rejoint le pragmatisme du général et avait engendrer l'une des plus puissante créature d'Erade. Pourtant, Râ restait perplexe, il semblerait que même l'Avatar ne soit pas assez puissant pour venir a bout d'Ohrmazd, en tout cas a ce qu'il pouvait en estimer. Toutefois, son regard plein de réflexion fut plus surprit par le coup de théâtre auquel il fit face. L'épée de Khaine portait un bien triste surnom « la faiseuse de Veuve », pourtant, la Mort Hurlante, le nom de l'épée de l'Avatar, vint traverser le ventre de Macha avec une violence inouïe, pour le plus grand plaisir de Sanguinar qui tira le glaive de Khaine et poussa un puissant hourra, ne prêtant même pas attention au regard outrée de Râ qui ne comprenait pas pourquoi l'Avatar avait pourfendu la jeune femme. Cette dernière regarda sa blessure, comprenant bien trop tard son horrible sort, mais ne semblant pas le regretter. Sans lui, elle considérait sans doute que sa vie elle même n'avait plus aucun sens...L'avatar ne semblait pas capable de distinguer ses alliées de ses ennemis, et prudemment, il retira Valeera de son chemin de marche afin qu'il puisse partir au combat.

    Les fantômes disparurent en cet instant, les deux portes fusionnèrent pour donner un portail spatiaux temporel que le magicien put prendre. Il avait réussit l'épreuve. En l'empruntant, il put retourner au rez de chaussée. Hathor assise en tailleurs, toujours en pleine méditation, était belle a voir. Mais derrière elle, Râ apparut en fantôme, tenant le corps de Macha le regard triste, comme ci tout ceci n'avait été finalement qu'une erreur. Ainsi, la ressemblance physique entre les deux étaient devenu frappante...Cette dernière, consciente que tout ceci était fini, rouvrit les yeux et laissa la petite rejoindre les bras de Belgarath avant de se tourner vers le fantôme avec un regard triste.


    « Grand père attend ! »

    Mais celui ci disparut, il n'était ici qu'un fantôme de l'histoire comme un autre...En levant les yeux, je put remarquer une fresque représentant l'avatar de Khaine pourfendant Ohrmazd assez fort pour que la nature tournent enfin son regard sur Erade. Même s'il fut finalement défait, l'avatar du Dieu a la Main Sanglante avait remplit son rôle et permit a Erade de continuer d'exister, mais a quel prix...En y réfléchissant bien, cette fresque était probablement présente depuis le début, mais nous n'y avions jusque la même pas fait attention. J'étais anéanti, j'aurais tant voulu discuter une ultime fois avec mon grand père...Toutefois, je décidais de rester forte pour ne pas inquiéter celui qui avait passé l'épreuve, alors que celle ci avait déjà été éprouvante moralement. Vivre toutes les émotions d'Aenarion, alors que les sentiments et pulsions Elfique étaient bien plus forte que les humaines, devait avoir été une épreuve particulièrement difficile. Mais de ce fait, lui aussi entendrait raisonner l'appel de Khaine dans son cœur, et les douces promesses de la faiseuse de Veuve...

    « Ainsi fini Aenarion de défenseur, héros d'Erade et fossoyeur du peuple elfique...Une bien triste fin pour un homme si courageux. Mes félicitations, vous avez fait preuve de courage devant tout ceci et avez fait un sans faute. »

    Je lui fit de nouveau face. Serait-t-il capable de résister a l'idée de partir en quête de cette épée légendaire ? Je n'en savait rien, même les légions du Chaos n'avait jamais osé partir en quête de l'épée. En tout cas, il savait maintenant que Râ était mon grand père. Certain des Elfes qu'il avait vu était encore en vie aujourd'hui et il devait réellement se poser beaucoup de question au sujet des personnes qu'il avait put reconnaître dans cette tour. Mais il y avait un temps pour les questions et un temps pour l'action. Pour le moment, nous n'avions pas vraiment le temps de partir dans une lente explication des choses qui avait fait de moi l'héritière de la place de régente du royaume d'Otian le temps que Naila apprennent le difficile métier de reine. En tout cas, ma place n'était plus ici. D'un signe de la main, je lui indiquait de sortir. Cette tour n'avait certes pas révélé tous ses secrets, mais nous en resterions la pour l'instant, aller dans d'autre méandre de la magie de celle ci serait bien trop dangereux a l'heure actuelle. Une fois dehors, je repris d'une voix monocorde

    « Reprenez votre pierre, et découvrez la vérité, votre vérité. Je n'est qu'une seule chose a vous demandez : ma nièce est maintenant la seule véritable famille qu'il me reste. J'aimerais que vous preniez soin d'elle correctement, je suis sur qu'au fond de votre cœur, vous comprendrez de qui je parle. Ne vous inquiétez pas pour moi, j'ai des ailes, je suis libre... »

    Ecartant les bras, je plongeait dans le vide en fermant les yeux, le regard souriant...Mais alors que ma chute semblait interminable, le son d'un Grand Aigle qui passait par la vint me récupérer et me permettre de terminer ma descente très rapidement. Ainsi, Belgarath avait put comprendre comment j'avais fait pour arriver bien avant lui au sommet de cette tour sans aucune difficulté...

    => Test réussit, Niveau 3 atteint !
    Sans Faute : Bonus : la pierre d'Aldur est maintenant utilisable afin de converser avec le dieu de la justice.
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Parfois il faut savoir ouvrir les yeux [TEST Belgarath] _
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