La mort au trousse...[Seraphyne]

Depuis ma dernière rencontre avec Ismérie, j'étais plutôt perturbée par la possibilité de voir la forêt complètement dévastée, mais j'avais déjà sauvé la vie de mon peuple, ce qui était le plus important. J'avais décidée donc d'y retourner pour vérifier la casse, particulièrement inquiète pour les hommes arbres a qui nous avions offert assistance et protection et qui eux n'avaient put quitter la forêt. Par chance, ceux ci s'étaient replié, et je trouvait surtout des symboles et des statuts détruite. Sans la possibilité de rejoindre l'autre dimension du temple, les Kashra, sans aucune cible, s'en était donc prit aux constructions pour satisfaire leurs soifs de vengeance. Pour des êtres immortels, il devait être particulièrement frustrant de voir des êtres capable de passer outre leur mortalité en rendant leurs âmes au puits dans lequel ils enfermaient d'habitude l'âme de leurs hôtes. La mort était une étape de la vie, elle se devait d'être respectée, et tiré une âme de son sommeil était un sacrilège qui méritait une peine exemplaire. J'étais toutefois satisfaite, ma tactique avait fonctionné une fois de plus, et j'allais agrandir encore la fureur de mon adversaire. Dans la colère et la haine, Ismérie était plus impressionnant de face, mais commettait plus d'erreur stratégique. C'était exploitable, car il n'était plus le stratège disposant toujours d'un coup d'avance sur ses adversaires. Je me moquais bien de ce qu'il pouvait faire en ce moment. Il allait probablement encore essayer de comploter contre ma personne et me mettre des bâtons dans les roues, mais je savais maintenant quoi faire...

Cette guerre était devenu une partie d'échec entre lui et moi. J'avais des pions, lui les siens, et nous disposions ses derniers sans états d'âme sur l'échiquier de la vie. Lorsque nous parvenions a en mettre en échec un, il tombait dans la mort et l'on le retirait du jeu pour un monde meilleur, l'objectif n'étant pas de faire un véritable échec et mat, mais un échec au roi ou a la reine...Si l'un de ses deux pions étaient détruit, alors la guerre cesse. Car que cela lui plaise ou non, lui même n'était qu'un pion des dieux, tout comme moi. C'est comme si la faucheuse elle même jouait aux échec avec d'autre dieux, et allait prouver qu'elle était la divinité la plus redoutable de toute ! Et c'était a moi de m'assurer que sa tactique était bien celle d'un échec au roi. Dans le fond, la position d'Ismérie pouvait presque d'un certain coté paraître plus saine que la mienne, mais je n'avais nullement l'intention de paraitre gentille, simplement juste, ce qui avait une énorme différence ! Je quittais la forêt l'esprit plus tranquille pour diriger mes pas vers la plage d'Otian, qui me permettait d'observer l'océan que j'appréciai tant.

Il y avait toutefois quelque chose d'assez grisant a faire ceci : la sensation d'être enchainé a la terre alors que la mer pouvait offrir la liberté. Il y avait tant d'autre horizon que le continent d'Erade, et pourtant le destin du monde se jouait toujours ici. Quel injustice pour tout ceux qui vivaient ailleurs, obligé de supporter le diktat d'autre personne qui se pensaient plus puissante. Peut-être un jour viendra ou des royaumes puissant comme Orient réunirons leurs armées pour nous écraser tous et rendre le monde a tous ses citoyens, et plus seulement une poignée. Les alchimistes étaient les seuls a connaître quelques secrets des autres mondes, et pourtant, a long terme, ils devraient disparaître, car sinon nous ne pourrions revenir a l'Eden pur qu'Erade formait jadis. Cet océan me rendait nostalgique, il me faisait réaliser l'ampleur de ma tâche avec modestie. J'avais tant de chose a faire...Heureusement l'éternité devant moi, si je parvenais bien sur a déjouer les plans d'Ismérie...

Toutefois, je ne devais pas être fixée sur cet homme. Lui n'avait aucun projet de civilisation. Pour un chef, il n'avait d'obsession que de m'éliminer moi et Azure afin de régler une affaire personnelle vieille de plus de deux milles ans. Azure et moi étions de la même famille après tout, mais qu'importe. Les bras croisés, j'observais la mer avec un sourire, il était rare pour moi de profiter d'un moment de tranquillité. Un bruit ce fit entendre derrière moi, et le tigre blanc de Chimera Erade fit son apparition, m'observant avec inquiétude. Je me demandais comment il vivait la mort de son maitre, et je protégeait cette créature féroce envers et contre tout. Me penchant quelque peu vers lui, je flattais sa tête de ma main gauche, recherchant a le rassurer. Quelque chose semblait le rendre anxieux, mais je me devais de veillez sur lui, c'était le dernier cadeau de mon frère en quelque sorte, et maintenant qu'il était mort, au moins, je devais veillez sur son fidèle compagnon, qui était peut-être encore plus vieux que moi. Que ma vie fut longue pour des découvertes si petite. Un moment passa, mais je me senti comme observée. Toutefois, pas une vision réellement hostile, c'était autre chose...Je tournais mon regard vers l'endroit d'où cela pourrait venir avant de dire d'une voix agréable

« N'ayez pas peur venez, il n'est pas méchant... »

J'aurais très bien put ajouter que je ne mordais pas non plus, mais je n'étais pas sure que ce regard m'est considéré comme hostile, et donc je préférais largement demander avant tout. Inutile de faire peur a cette personne, qui n'était probablement pas avec Ismérie...Donc pas hostile.

Nombre de messages : 13 Age : 36 Date d'inscription : 21/11/2009

Depuis 3 ans que je parcours le monde, j’avais déjà vu l’océan plus d’une fois. Au début de mon aventure sur le monde d’Erade, j’avais été embauché par une compagnie maritime qui transportait beaucoup d’objet de valeur, je n’étais que simple cuisinière. Notre bateau fut attaqué par des pirates, mon insolence et ma forte tête n’évita le viol collectif et séduit le capitaine des pirates, je fus sa protégée pendant un temps, jusqu’au moment ou je me suis lassé de lui, et avait décidé de lui faussé compagnie.

J’aime revenir ici contempler le vaste océan, cet horizon infini qui offre une liberté absolue. Je ne suis pas encore réellement au courant de mes pouvoirs, et j’étais de me douté plus tard ce qu’il allait pouvoir m’offrir. Mais je sais déjà ce que je suis, c’est un bon début. On m’a expliqué le malsain que je ressentais envers les êtres humains mais aussi envers la nature, apparemment il n’est pas près de partir, qu’importe, j’ai toujours vécu ainsi et cela continuera encore.

Normalement l’endroit ou je venais regarder l’océan était désert, mais pas aujourd’hui, je n’ai pas envie de dérangé les gens, et j’avais envie d’être seule, malheureusement je fus repéré a cause de l’animal à coté de la jeune femme. Je soupirai, vu que je n’avais pas la réputation d’être une lâche ni une froussarde, je décide de me montré.

Mes cheveux en bataille, une légère coupure sur la joue, je n’avais guère fière allure, mais cela était le cadet de mes soucis, la jeune femme sur la plage m’intrigua au plus au point. Je la trouvais bien grande, pourtant je ne suis pas petite, mais à coté d’elle, j’avais l’impression d’avoir perdu dix centimètres. Sa peau avait l’air vivant, des nuances ce dessinait sur son visage, et oh mon dieu c’est yeux, étrange totalement blanc. Était-elle aveugle ? Apparemment non, mais c’est connu quand on perd un sens, les autres se développe beaucoup plus. J’étais assez porche d’elle, et la défigurera de bas en haut, jamais je n’avais vu un être ainsi. Bien qu’étant une femme, elle n’attira fortement, elle devait plaire à beaucoup d’homme.

Moi non plus je ne mords pas, mais je ne voulais pas vous déranger. Pour ma part j’aime être ici seule, c’est très reposant.

Je ne montrai pas agressif mais lui fit comprendre au son de ma voix qu’elle avait légèrement perturbé mon planning.
Oui du repos, j’en avais souvent besoin, je parle du repos de l’esprit, car celui-ci n’arrêtais pas de tourné et tourné, je devais toujours faire quelques choses ou préparé un défis quelconque. Ici, je pouvais me vidé de cela et emplir mon âme de paix.

Elle se montra finalement. Elle n'avait pas fière allure, avec une coupure sur la joue, mais je m'intéresser surtout a l'aura qu'elle dégageait. Bien qu'elle n'était pas contrôler, elle était puissante, cela je pouvais le ressentir. Mon regard brillant n'était pas due a une cécité, mais a une sur-dose de magie, quelque chose que j'avais depuis ma plus tendre enfance. J'étais fille et petite fille de maitre de guerre s'étant attiré les faveurs de nombreuses divinité. Avant de porter le gantelet de la mort, mon corps de démone fut meurtri par quatre marque maudite des puissances de la ruine. Je n'avais pas vraiment de regret, ses marques m'ont apportée de la puissance, sans elle, je serais probablement morte, mais j'en avais terriblement souffert parfois. Aujourd'hui, les choses étaient plus facile, mais je n'oubliais pas ceux par quoi j'étais passé, le poids de mes péchés qui m'avaient tant pesé alors que je rencontrer pour la première fois le tigre blanc. Elle était grande pour une humaine, mais je la dépassais encore en taille, j'étais une elfe, naturellement plus grande et élancée. L'avantage, c'est que l'on ne pouvait que difficilement ne pas remarquer ma race, a cause des oreilles pointues. Mon âme devenu véritable réceptacle magique donnait a mes yeux cette lueur, peut-être que c'était cela qui crée les reflets de mon corps également, a moins que le gantelet n'y joue un rôle, après tout, il me transmettait la parole de la divinité la plus crainte du monde d'Erade.

Elle répondit qu'elle ne mordait pas non plus, ce qui signifiait finalement que nous avions eue la même idée. Elle pensait être seule, ce qui signifiait que je dérangeait. Il était étonnant que nous ne nous somme jamais croisée jusqu'à présent, lorsque l'on m'appelais encore Morathi, je venais souvent ici, pour avoir l'esprit clair afin de rédiger les discours d'Aurore d'Otian, notre reine regrettée, dire que maintenant, j'étais la régente de ce royaume...Comme quoi, l'ascenseur social peut marcher, même si je reconnaît avoir eue un énorme coup de pouce, je me doit d'être honnête avec moi même. Toutefois, peut-être que je pourrais lui apporter un peu d'aide et de réconfort. Les chimères, la race et non les quatre divinités des pierres sacré des Malarians, étaient des créatures de la nature que je connaissais bien, comme toute celle d'Erade. Je me demandais si seulement elle réalisais qui elle était. Le tigre ne me lâchait pas d'une semelle, apparemment il était vraiment inquiet pour moi, ce qui était touchant. Toutefois, il n'eut aucun regard hostile vers la nouvelle venue, comprenant qu'elle n'était pas une menace. Je souriais avant de répondre.

« Vous ne me dérangez pas, j'étais venue pour la même raison que vous, mais a vrai dire, l'espoir d'être accompagné peut parfois être le plus fort. Le pouvoir isole, et un peu de compagnie ne fait jamais de mal, sauf si elle est mauvaise bien sur. »

Je m'asseyais sur le sable. Mon aura magique n'avait pas l'air particulièrement agressive, mais les têtes de morts qui ornaient ma tenue étaient parfois capable d'effrayer mes interlocuteurs. Elle n'étaient que le symbole de ma fonction, et je me devais de les porter comme le reste. Beaucoup prenait la mort pour une mauvaise divinité, alors qu'elle était miséricordieuse, tout était une question de volonté, il fallait vouloir apprendre cette culture, le véritable sens des choses, ne pas s'arrêter aux apparence. D'une manière machinale, je fit appel a la chronomancie pour refermer sa plaie. Je trouvais qu'elle avait un jolie visage qui méritait d'être mis en valeur, alors je l'avais réparer en espérant qu'elle n'en prendrais pas ombrage. Je lui rendais service, mais il y avait des personnes qui n'aimait pas qu'on les aident...

« Vous avez un joli visage, même s'il semble tourmenter...J'ai prit la liberté de le réparer avec mon pouvoir. Je peut manipuler le temps pour rendre a chaque chose l'éclat de son passé comme la vieillesse du futur. Mais je manque a tout mes devoirs de politesse. Je me nomme Hathor. »

Bon j'étais connue ici, mais je ne savais pas si elle vivait dans le royaume ou si elle était juste de passage. Le tigre vint s'allonger a coté de moi et je prit le temps de le caresser avec un petit sourire, parfois, il ressemblait vraiment juste a un gros chien capricieux celui la ! Mais c'était agréable d'avoir un compagnon se souciant de sa personne. J'étais inquiète pour Azure, mais ce n'était pas le moment de penser a ce genre de chose. Je tapotais doucement le sable a coté de moi avant de reprendre la parole

« Je vous en prie asseyez vous, a moins que vous ne préfériez que je vous laisse, dans ce cas je comprendrais... »

Si elle voulait vraiment être seule, alors j'aurais déjà suffisamment parue pour un boulet, ce qui me changeait ! Toutes les personnes que je croisais avait peur, la simple vue du gantelet de Râ les terrorisaient au plus haut, et j'avais le droit au génuflexion devant, et la trahison dans le dos. Donc mine de rien, cette perspective pourrait presque me paraitre agréable...Toutefois, hors d'un point de vue nombriliste, j'étais aussi consciente que l'on avait parfois besoin d'être seul, même moi j'en ressentait parfois la nécessité...

Nombre de messages : 13 Age : 36 Date d'inscription : 21/11/2009

Elle parlait de pouvoir, le pouvoir isolait, je n’été pas intéressée par cela. Pour moi, il aveuglait et rendait l’être humain bête et finalement pour moi, il en devenait impuissant. Tous les hommes qui avaient essayés de me conquérir étaient tous des hommes corrompus par l’argent. Je ne pouvais qu’agréer les paroles de l’elfe.

Je ne crois pas être de mauvaise compagnie tous dépend de la personne que j’ai en face.

J’eu un léger sourire à la fin, elle n’avait pas l’air d’être désagréable et ne dégageait pas de mauvaises ondes. J’accepte facilement les personnes qu’elle que soit leur origine et même leurs alignement, il y a des moments je me sentais tellement mal dans ma peau que je pouvais comprendre le fait d’être rejeté par les autres. Mais les personnes qui m’insupportait par-dessus tous était ses petits gens qui croyaient que parce qu’il maitrisait un peu de magie ou avait de l’argent, pouvait conquérir le monde. Ils étaient tous bercés de douces illusions.

Je sentis un léger picotement sur ma joue, la ou une branche m’avait foutée de plein fouet lorsque pris d’une de mes folies. Naturellement, je posai ma main sur ma blessure, elle n’y était plus. Toisant mon interlocutrice qui me regardait d’en bas, je lui jetai un regard interrogatif. Sa robe, ses symboles de tête de mort ne m’étais pas inconnu, un déjà vu, mais assez vague. Elle répondit à ma question, ainsi elle avait le pouvoir de contrôlé le temps, bien grand pouvoir à ne pas mettre entre les mains de m’importe qui. Si elle avait pus réparé mon visage, elle pouvait surement accélérer le vieillissant de mon corps, perceptive non réjouissante, mais je savais que je n’avais pas à faire à m’importe qui.

Son prénom m’interloquât, je fis la moue comment cherchant de ma mémoire ou j’avais bien pus l’entendre. Et m’assit à coté d’elle, répondant à son invitation. Le tigre gardait un œil sur moi et ne semblait pas voir m’accorder sa confiance de suite. C’est normal je faisais pareil.

Cherchant dans ma mémoire ces symboles et ce nom. A voila, cela remonte à six mois, dans une quelconque taverne, j’avais croisé un étrange émergement qui tenait un discours incohérent sur la mort et ce faisait appeler elfe du temps, il est vrai que sa peau avait la même couleur que la femme devant moi. Je ne savais pas ce qu’était devenu celui qui se faisait appeler elfe du temps, mais le petit peuple en avait peur et à partir de ce moment la, il n’était plus tolérer. Je n’avais guère prêté attention à son discours parlant de Ra, d’Horus, de la Grande Faucheuse. Je ne me souvenais pas de mon histoire, alors pourquoi je m’intéressais à celle des autres. Je murmure :

Les elfes du temps…..

Mais j’enchaine rapidement, me présente à mon tour

Séraphyne, j’erre de ci de la dans les différents royaumes, actuellement à la recherche d’un emploi.

Pour moi il était impossible qu’elle me propose quelque chose, nous étions trop éloignés dans notre physique, elle prenait soin de son apparence pas moi, à quoi bon trainé avec une souillonne comme moi, je ne lui attirai que la honte.

Elle fit la moue a mon nom, recherchant probablement ou elle l'avait entendue. J'allais vraiment devenir une star, maintenant que j'étais l'élue a la place d'Azure. Je me demandais pourquoi je ne l'avais jamais su avant. Probablement que les dieux du Chaos que je servais avant n'ont jamais voulu me le dire, et m'ont manipuler en réalisant qu'il ne pourrait jamais arrêter le cours de l'histoire afin que je forme Azure a me remplacer, misant toujours sur mon sang pour remporter la victoire. Mais le plan avait échoué, Azure avait un esprit trop fort pour se laisser corrompre par les puissances de la ruine. Je lui avait fait connaître toutes les tentations du monde, et s'il en était ressorti noir, son statut d'Elfe avait fait de lui un grand maitre de la pénombre. Quoi qu'il était resté proche des Elfes du Soleil, une chose qui était incontestable. Elle accepta toutefois de s'asseoir a coté de ma personne, depuis combien de temps je n'avais pas eue de personne ayant osé s'asseoir aussi près de moi ? Une éternité, je devais dire que cela n'était pas forcément désagréable. Elle faisait partie de la nature, donc des personnes que je me devais de protéger. Elle se présenta sous le nom de Seraphyne, expliquant qu'elle était sans royaume fixe, a la recherche d'un employeur. Si elle pensait que je ne la considérerait pas comme une employée potentiel, elle se trompait. Je n'avais pas manquée le fait qu'elle connaisse notre race, probablement que je n'étais pas la première Elfe du Temps qu'elle croisait, ce qui ne me dérangeait pas outre mesure !

Elle ne semblait pas être de mauvaise compagnie, tout comme moi, cela dépendait pour elle de la personne. Son apparence ne m'intéressait pas, je n'aurais aucun mal a lui changer de toute manière, je doute qu'elle refuse que nous lui tendions la main dans ce but, nous somme des Elfes, notre réputation en matière de raffinement n'est plus a faire ! La seule question réellement importante était son état d'esprit. Pour l'engager, il fallait qu'elle soit capable de comprendre et de respecter notre idéal au minimum. L'idéal serait qu'elle l'adopte, mais ce n'était pas n'importe qui qui était prêt a se lancer dans une croisade destructrice contre tout ceux qui avaient changer Erade afin de lui rendre son visage d'Eden originelle. Nous autre Elfe vivions dans le passé. Lorsque j'étais démone, j'étais persuadée que c'était parce que les Elfes étaient une race en déclins, qu'on ne pouvait plus rien pour eux, et que c'était la raison pour laquelle ils se raccrochaient a leurs passé glorieux. Mais en devenant moi même Elfes, j'avais réalisée toutes ses richesses, et le mode de vie si libre que mes ancêtres avaient menée avant l'arrivée d'Ohrmazd. Il était temps d'en finir avec ses maux et rendre au monde son image originel, cette femme apporterait-elle sa pierre a notre édifice ?

« Vous recherchez donc un emploi...J'ai peut-être quelque chose pour vous. Vous êtes forte, cela se sent facilement. Vous ne connaissez pas vos pouvoirs, mais ne vous en faite pas, cela viendra. Bien je ne vous demanderez qu'une chose concernant cet emploi. Je suis menacée maintenant partout ou je voyage. Un immortel a juré ma perte, et mobilise tout Erade pour m'éliminer. Si vous répondez juste, alors je vous engagerez. Je ne dit pas que cela sera un métier de tout repos, mais vous n'aurez plus le soucis du lendemain, et vous disposerez des connaissances de notre communauté afin de savoir qui vous êtes réellement. »

Je marquait une pause afin qu'elle imprime exactement ce que je disais. D'une certaine manière, cela ressemblait a la manière dont j'avais rencontrer Azure, a part que j'étais nue et que je l'avais volontairement draguer en lui parlant des puissances de la ruine. Maintenant j'avais vraiment la puissance nécessaire pour être le mentor de quelqu'un. Quand j'avais rencontrer Azure, je m'étais montrée comme l'ombre de moi même, je n'avais plus la force d'être réellement une force importante des puissances de la ruine. Aujourd'hui, j'étais la seule personne qu'Ismérie ne pouvait pas éliminer. Restait a savoir si le travail que je lui offrait ne l'effrayerait pas. Je veillerez a la préparer a cet affrontement, a cette guerre qui se préparait si toutefois elle acceptait, et qu'elle répondent correctement a ma question. Si elle n'était pas assez ouverte d'esprit sur la mort, cela ne servirait a rien, et je saurais voir si elle me mentait.

« Je n'est besoin de savoir qu'une seule chose pour vous engagez : votre idée de la mort. Pour le reste, ne vous en faite pas, l'on s'en charge. »

Je lui offrais un sourire rassurant. Tout était une question d'ouverture d'esprit. En réalité, bien qu'elle ne le savait pas, il n'y avait aucune réelle mauvaise réponse a cette question. J'étais persuadée qu'elle ne répondrait pas mal, et donc persuadée qu'elle ferait un bon garde du corps pour moi.

Nombre de messages : 13 Age : 36 Date d'inscription : 21/11/2009

Je souris, depuis que je savais se que j’étais les gens de magie pouvait sentir se qu’il y avait en moi, mais n’arrivait pas bien à le définir. Quoi qu’il en soit il sentait de la magie brute, et disait toujours que nous étions fort, ce n’était pas vraiment le cas aujourd’hui, mais si la mort me le permet, je pourrais arriver à comprendre comment marche se flux de magie dans mon sang.

Une femme menacé plus grande que moi, d’une beauté indéfinissable, qui ne demandait de la protégé, mais l’idée du test ne plus, rien n’était facile dans cette vie, cela donné un gout de challenge que j’appréciais particulièrement. Qui dit protégé peut dire fuite, mais aussi chasse. Intéressant !!
Sa question fut plus que surprenant, mais si cela se rattachait a son culte cela est normal, difficile de demandé a une personne de vos protégé alors qu’elle pense l’opposé de vous.

Je n’avais pas besoin de réfléchir longtemps dessus, j’avais déjà une idée la dessus, et je ne pris pas des gants pour lui plaire, la franchise était ma plus grande qualités mais aussi un défaut difficile de corriger.

La mort…La mort me permet tous simplement de profité pleinement de ma vie, a quoi cela faire des économies, si pour demain mourir bêtement dévoré par un quelconque animal sauvage, ou le cœur qui lâche. La mort est la pour nous dire que notre vie est courte, elle ne saurait pas la, la vie serait bien ennuyant.

Je ne savais pas bien comment expliqué correctement ma pensé, mon idée, mais le principal était la….

Je gout au fruit de la vie a plein dent, pour que celui de la mort me soit agréable et que je n’ai pas de regret.

Je tourne mon regard félin vers elle, convaincu ou pas, qu’importe mon chemin ne s’arrête pas la.. je continue seul ou accompagné. Mais une question n’échappa quand même

Qu’entendez-vous par le reste….. et pourquoi Nous ??

Jouir de la vie a chaque instant, profité de chaque chose qu'elle nous offrait et la vivre a pleine dent, sans se soucier du lendemain, était une chose noble que je respectais. Elle put lire mon approbation dans le regard, elle n'était pas très loin de notre manière de pensée, et sentait que même la mort pourrait lui apporter de nouvelles réjouissance, qu'elle n'était pas la fin de tout, mais le commencement d'un nouveau voyage vers une autre destinée, atteindre enfin le domaine des dieux, un endroit parfait. L'humain était conçu pour vouloir son bonheur, c'est ce qui la poussé dans la voie du mal, recherchant toujours le plus simple, rapide, séduisant. Toutefois, cette femme était différente. En tant que créature de mère nature elle même, elle en avait vu beaucoup plus que d'autre, et elle pouvait donc se montrer bien plus ouverte que ne le serait l'un des nobles d'Otian. Une vie de régence était toujours difficile, surtout que ma nature me prédestinais désormais a vivre dans les arbres, ressentant chacun des bienfait de dame nature, plutôt que dans les palais de la civilisation. Mais je me devais d'assumer mes responsabilités. Engagée dans une lutte a mort, non pas pour le salut de ma propre âme, mais pour celui de l'Erade entier, je n'avais pas le droit de faire faux bond a mes responsabilités. Il avait eu confiance en moi, comme je l'est fait, il m'a tout apprit, ou plutôt réapprit. Tant de passage m'étais revenue, mais je n'avais désormais plus peur. Je faisais face en sachant que mon âme sortirait de toute manière grandit. Toutefois, sauver cette terre serait une tâche plus ardu que de sauver mon âme...Je mourrais un jour, c'est un fait, in-changeable, immuable. Toutefois, je n'avais pas le droit de m'en aller sans être sur qu'Ismérie ne pourrait plus atteindre Erade.

« La mort n'est pas la fin de tout. Au contraire, elle est le début d'un grand voyage. Vous avez parfaitement compris le sens de la vie et de la mort malgré votre existence bien courte. Vivre ou mourir n'a finalement que peu d'importance, nous luttons pour le destin de cette terre, et non nos propres vies... »

Je me levais, avançant de quelque pas, fixant le soleil d'un regard déterminée. Faire face, ne jamais se montrer faible, voilà mon lot quotidien. C'était aussi pour cette raison que j'appréciais particulièrement les moments de calmes comme celui ci. Je pouvais faire le point avec sérénité et me reprendre afin de rendre ma vision plus claire. De tous les Elfes, nous étions les seuls dotés du don de voyance, mais l'avenir n'est pas écrit, et l'arbre des possibles est une science inexacte. Qu'importe, je ne craint pas de voir ma propre mort, ma seule hantise est de découvrir une terre ravagée par les Kashras, un Erade que je n'aurais guère put sauver. Contrairement aux ombres, je n'affirmais pas connaître de peur, mais les miennes n'étaient pas personnelle, mais tournée vers un but commun parfaitement altruiste. Et ceux même si ma mission consistait aussi a moissonner des milliers de vies aux noms de cet Eden originel, ses races maléfiques qui avaient osés souiller notre sanctuaire, nous leurs feront payer au centuple le prix du sang. Curieuse, la jeune femme me demanda ce que j'entendais par « nous » et « le reste ». Mine de rien, il s'agissait d'une bonne question, et je me retournais avec un sourire, me montrant engageante, elle n'avait rien a craindre de moi. Ici, nous serions dans un havre de paix.

« Félicitation vous êtes engagée ! Le nous concernent beaucoup de personne en même temps. J'ai deux grand devoir en ce monde. Le prince d'Otian lui même m'a confier la tâche d'être la régente de ce royaume que je défend. Et je me doit de guider mon peuple, les Elfes du Temps, sous les oracles de la faucheuse. En échange de vos services, je consent a vous offrir tout ce que vous considérerez comme nécessaire pour accomplir votre tâche. Je doute que vous voudriez traverser le château d'Otian ainsi Lady Seraphyne. Ainsi, mon peuple d'Amazone vous aidera du mieux qu'il le pourra. Pour le moment, laisser moi vous offrir un cadeau de bienvenue. Tendez moi votre épée, rassurez vous, je n'en aurez que pour quelques minutes, je vous la rendrez ensuite. »

Je tendis les deux mains. Cela ne consistait pas a un adoubement réelle. J'allais offrir a son épée, belle mais somme toute classique, une véritable finissions elfique avec des runes magique qui lui permettrait de mieux utiliser ses pouvoirs. Un gage de ma bonne foi et de ma reconnaissance en quelque sorte. Pourquoi agir ainsi ? Parce que la fraternité était une chose qui n'était pas vaine pour nous. Le poids de la culpabilité de nos fautes, alors que nous avons jadis levé nos armes contre nos propres frères, restera a jamais dans notre âme, mais si nous ne combattons pas pour sauver cette terre des souillures du mal, alors nos péchés seraient définitivement perdue. J'espérais qu'elle ne prenne pas mal le fait que je lui faisait remarquée que sa tenue n'était pas réellement adaptée a une vie a l'intérieur d'un château comme Otian ou a l'intérieur de notre grande forêt refuge, ou le temple de la faucheuse était édifié. Mon regard restait engageant, elle n'avait rien a craindre, juste me faire confiance. Elle allait me protéger, en contrepartie, je lui offrirais mon aide et ma lumière comme guide a travers les ombres de ce monde...

Nombre de messages : 13 Age : 36 Date d'inscription : 21/11/2009

Discutant de la vie et de la mort, j’écoutais attentivement les paroles de l’efle. Apparemment je rentrais dans ces critères de sélection, et me voici donc embauché en tant que garde du corps. Si elle estimait que j’étais capable de la protégé tant mieux, j’allais maintenant entrer dans un monde qui n’était encore inconnu. J’avais connu un peu la bourgeoisie humaine mais jamais je n’avais approché les sphères du pouvoir. J’étais souvent resté dans parmi la populace, plus les brigands, les marins et autres gens commun. Ma vie de vagabonde me convenait ainsi, mais aujourd’hui je prenais un virage radical. Peut être que j’avais découvrit mon passé, même si cela m’étonnais beaucoup.

Je reste assis alors qu’elle se leva profitant des rayons du soleil, bienveillant en se soir de printemps. J’esquive un sourire sur sa remarque pour la vie de château, j’avais su m’adapté au mode de vie qui s’offrais à moi. J’avais connu de magnifique robe, orné de perles, et aussi des parures somptueuses. Mais je ne m’attache guère a ces cadeaux, en général des que je quittais l’homme qui croyais m’avoir que pour lui, je les revendais rapidement au marché noir, j’en tirais toujours un bon prix, qui me permets de vivre pendant quelques temps.

Ne vous inquiété pas pour la vie de château, je saurai m’y faire. Même si comme vos sœurs, je suis plus amazone que Lady. Je suis un peu un caméleon

Une mode de femme, cela me plaisait, Erade était dominé par les males, se croyant dominant et imbus de leur personne. Savoir que des femmes dans se monde pouvait être au même niveau que les hommes me plaisaient énormément. J’avais en moi une force, qui me permettais de battre les hommes les plus costaux, mais je la contrôlais encore mal, des fois je pouvais me ramassé de sacré raclés. Mais je jouissais toujours de voir un homme à mes pieds, abattu par mes coups lors d’un combat.

Je sortis l’épée de mon fourreau, elle était simple et légèrement abimé. Je n’avais pas eu le temps de la faire réparé. Le pommeau était fait d’or blanc, un petit plaisir que je n’étais accordé. Bien que la lame soit simple, le pommeau avait été finement ciselé par un maitre artisan du Royaume AmiLian. La base on pouvait voir une tête de lionne, je ne sais pas pourquoi j’ai demandé cet animal, mué par un instinct je me sentais proche de ce félin.
Je lui tendis la pomme de l’épée dans mes mains, la lame légèrement rouillé montrait des signes de fatigue. Qu’allait donc faire, mon esprit était en ébullition, allait donc voir la magie elfique à l’œuvre ? Je restais dans le silence, regardant le spectacle.

Elle connaissait donc la vie de château. Cela n’était pas aussi surprenant que ça, étant donné qu’elle était une belle femme, elle avait du attirer les regards de courtisans plus ou moins riche persuadé que leurs richesses matériel suffirait à retenir la belle chimère dans leurs couches. Mais l’on ne retient pas la nature en chaine, un jour, son instinct fini toujours par reprendre le dessus et elle réclame son droit le plus précieux, sa liberté absolue et si belle en un monde de contrainte et de faux semblant. Seraphyne incarnait très bien cette image de la nature, mercenaire libre offrant ses services avant de les reprendre pour des raisons qui devaient sembler obscurs à ses employeurs. Je lui offrais une chance différente. La veuve que j’étais ne risquait pas de lui faire la cours. Et même si je comptais bien sur la soutenir financièrement, ce n’était pas la dessus que je comptait lui offrir le plus de choses. Notre héritage spirituel était fort et puissant bien sur, mais si je l’avais sélectionnée pour faire partie de mes gardes du corps, c’est aussi parce que j’étais sur qu’elle serait capable de comprendre et d’assimiler cet héritage, ce qui lui permettrait également de savoir qui elle était réellement. Ses talents de guerrières étaient bien sur également une bonne raison de l’engager, l’expérience du combat restait quelque chose de rare, et il n’était pas difficile de lire dans ses yeux qu’elle la possédait.

La lame qu’elle me tendit était somme toute classique, un peu rouillée et abimé car la demoiselle n’avait pas eue le temps de la réparer. J’allais donc pouvoir rapidement remédiée à cela en lui offrant un nouvel éclat. Mes gantelets de métal me permettaient de ne pas craindre de prendre l’épée par la lame tranchante de celle-ci. Je l’observais quelque peu, admirant un pommeau particulièrement travaillé, plus que la lame, probablement une volonté particulière de la chimère. La Chronomancie était réellement un don particulier à ne pas mettre entre toutes les mains. Pour pouvoir agir en toute sécurité, il me fallait prendre connaissance de l’objet. Je pris le temps de caresser quelque peu la lame avec respect. Même quelqu’un d’aussi puissant que moi ce devait d’être patiente et humble devant certaine chose. Une fois sur de l’angle a prendre pour ne pas risquer de détruire la lame, je fermais les yeux et me laissait guider par mes talents naturelles en matière de forge. La lame prit une teinte bleutée et bientôt chauffa, pour devenir aussi rouge que lorsqu’elle sorti de l’enfer qui en fit une épée. La tenant d’une seule main, je laissais l’autre dessiner des motifs magique sur la lame, des inscriptions elfique qui signifiait que cette lame avait été amélioré en signe d’amitié, et je signais d’un œil de Râ, le symbole de grand père restant la marque de notre race.

Il ne me restait plus donc qu’à accélérer la course du temps sur la lame pour la ramener dans le présent. C’était presque invisible à l’ œil nue, de petite distorsion temporelle entourait la lame qui avait changée. Cela n’avait pas duré plus de trois minutes dans la réalité, mais la lame venait de faire deux voyages de plusieurs années afin d’acquérir une finition Elfique digne de ce nom. L’empoignant par la garde, je la laissais refroidir avant de décrire quelques mouvements avec. Bien sur, elle était très différente de l’épée des morts, artefact divin, mais j’avais obtenu un résultat que je jugeais satisfaisant. Lorsque je tendis la lame a sa légitime propriétaire, je lui permis de contempler une lame bleutée avec des inscriptions elfique. Avec un sourire, j’expliquais les modifications que j’y avais apportées

« Ses runes sont des marquages Elfique qui signifie que vous êtes une amie. Elles permettent également à l’épée de servir de réceptacle magique, très utile si vous combattez avec un mage. J’ai prit soin d’équilibrer le poids pour faciliter l’utilisation de l’arme. Quand a la couleur bleue, j’avoue, c’est une fantaisie personnelle. »

Je lui laissais reprendre son arme et réalisé ce que je venais de lui offrir, tout en songeant a la suite. Avant de la menée vers la forêt, ou je lui trouverais une tenue adéquate afin qu’elle puisse rejoindre le château, ainsi que prendre du repos, il fallait tout de même que je sache si elle avait des questions. Je me devais de veillez a ce qu’elle sache exactement dans quoi elle s’engage.

« Si vous avez des questions sur quoi que ce soit, n’hésitez pas. Je vais vous menez dans la forêt du temps ensuite, ou vous pourrez choisir l’accoutrement qui vous conviendra le mieux pour rejoindre le château. J’aime choquer les nobles qui cachent leurs vices derrière une fausse vertu, mais la encore, cela n’est que personnel. »